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Atelier Ayesha: The Alchemist of Dusk > Commentaires :

Atelier Ayesha: The Alchemist of Dusk

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5 commentaires
Bao

le 18/10/2014
Edité le 18/10/2014
6
Avec cet épisode j'ai l'impression que Gust a tenté une sorte de remise à plat (ou du moins une parenthèse) dans sa série en proposant quelque chose qui cherche à s'éloigner du moule de base des Atelier, ce qui est passé par le bannissement ou la modification d'éléments récurrents (adieux punis !). L'univers et la direction artistique sont bien plus cohérents et j'ai bien aimé ça, il y aussi une volonté de proposer un 'vrai' scénario et un vrai background même si c'est fait relativement maladroitement et que c'est assez fade, sans oublier le casting qui reste amusant faute d'être vraiment intéressant - seul Keithgriff, à travers duquel passe les éléments sur le background, est vraiment sympa. Le fait d'avoir 'réduit' le jeu à un seul objectif à atteindre est une très bonne idée qui laisse une liberté totale au joueur, et il faut vraiment faire exprès pour ne pas exploiter vu la tonne de chose à faire et que la progression - ainsi que les outils pour la suivre- sont très bien foutus et très intuitifs. Par contre j'ai moyennement apprécié la refonte du système d'alchimie sur le fond et sur la forme : son utilisation et sa manipulation ont été hyper-facilités et ça réduit grandement le peu de difficulté du jeu avec une utilisation basique, et on peut carrément l'atomiser en creusant un peu (et le custom des armes / armures pue méchamment). A l'inverse c'est le système de combat qui a grandement été amélioré, Gust a enfin pris la chose au sérieux même si on l'exploite rarement à fond justement à cause de la facilité de l'ensemble. Enfin pour finir bon point sur le système d'obtention des fins, on en a enfin fini avec ce système de déclenchement totalement bordélique. Bref c'était sympa.
Yamaneko44

le 08/05/2014
6
Un Atelier assez moyen au final, assez pauvre dans son histoire, comme dans son système de jeu.
Cela étant, il reste agréable à jouer, pour peu que l'on trouve les astuces pour crafter un équipement de badass.



RyleFury

le 28/01/2014
Edité le 29/01/2014
8
C'est toujours aussi agréable de jouer à un Atelier de ce style. Comme d'habitude il y a un grand nombre de scènes et il est difficile de s'ennuyer avec tout ce qu'il y a à faire. Cependant, il y a un hic dans cet opus de ce qui faisait un des charmes de ses prédécesseurs, l'alchimie !

L'alchimie, qui faisait partie d'un grand challenge dans les anciens opus, a été simplifiée dans celui-ci. Dans Atelier Meruru, le challenge fourni par l'alchimie était considérable, sachant que créer certains objets sans jamais pouvoir en acheter prenait beaucoup de ressources et un temps considérable à synthétiser. Il fallait avoir une très bonne organisation pour optimiser son temps. Cependant dans celui-ci créer un objet met beaucoup moins de temps et on peut tous les mettre en magasin afin de les acheter plus tard et donc ne pas perdre de temps. De plus, lorsque l'on fabrique un objet, ce n'est pas 1 seul échantillon mais entre 3 et 5 en même temps. On peut donc obtenir 5 objets en 1 seule journée, en mettre un en magasin pour en acheter une multitude plus tard, et ce dès le début du jeu. D'ailleurs on ne peut plus synthétiser d'armes ni d'armures mais des objets permettant de leur procurer des effets (c'est pas terrible comme système). Les armes et armures s'obtiennent dorénavant en tuant des monstres et en ayant de la chance. Après il y a quelques améliorations dans la synthèse en elle-même. Afin d'obtenir des effets précis pour un objet ou accessoire, il faudra jouer sur les techniques de synthèses, et c'est tout de même bien fait et pas si évident que ça en a l'air. Le problème étant qu'on peut finir le jeu aisément sans s'en soucier.

Les requêtes se font un peu différemment bien que la base reste la même. Il faudra donner des objets bien précis à différentes personnes se trouvant à différents endroits (pas de quêtes aléatoires). Un journal est mis à disposition afin de s'y retrouver dans les différentes tâches à effectuer. Les tâches sont pas mal du tout dans celui-ci et peuvent être assez variées et très nombreuses, que ce soit pour l'histoire principale ou pour les différents personnages du jeu. Il y en a beaucoup mais ça n'est pas si difficile que ça à gérer surtout à cause de l'alchimie trop simplifiée.

On remarque que Gust s'améliore tout de même au fur et à mesure de leurs jeux pour nous fournir des zones plus intéressantes. Il y a, comme à la façon d'un Atelier Totori ou Meruru beaucoup de petites zones, mais dans ce cas il y en a aussi pas mal de grandes, des ruines principalement.

Les combats sont encore plus stratégiques que dans Atelier Meruru car il y a en plus cette fois-ci la gestion du terrain à prendre en compte. Les attaques ont soit une portée solo ou sur un zone plus ou moins grande. Il est donc préférable de prendre le terrain à son avantage, sachant qu'attaquer un ennemis par derrière comme un gros lâche assure un coup critique. Ceux qui auront fait le jeu dans sa totalité se rendront compte qu'il y a en fait pas mal de boss dans le jeu. Ils apparaissent très tard et pour la plupart après l'histoire principale. Les boss faisant partie de l'histoire principale ou des persos sont nuls, dans le sens pas très coriaces et c'est bien dommage... Certains boss optionnels sont cependant extrêmement forts, comme le dragon noir ou le big boss version 2 dans le DLC gratuit ou encore les boss du DLC payant. Heureusement qu'ils étaient là... C'est à ce moment-là que j'ai compris que les techniques d'alchimie servaient à quelque chose (tout à la fin du jeu). Parce que lorsqu'un jeu de ce genre est trop facile, l'alchimie perd tout de suite de son intérêt...

Le scénario m'a déçu, car pour une fois je m'attendais à quelque chose d'intéressant. Les personnages du jeu ne sont pas terribles et ultra stéréotypés. Il faudrait raser le mot "cute" de ce jeu, devenant vraiment horripilant à force et vraiment très lourd (quelle mode à la con). Le seul personnage intéressant est Keith, qui est l'élément le plus important de l'histoire. Le début du jeu est franchement réussi. On apprend que votre sœur a disparu comme par enchantement en plein milieu des ruines et Keith, venant de loin, semble en savoir beaucoup sur le sujet. Il indique qu'elle est encore en vie quelque part et que la clé du mystère est l'alchimie et certaines fleurs. Un mystère comme celui-ci peut amener pas mal de bonnes surprises. Cependant, après avoir terminé l'histoire principale et la fin la plus intéressante du jeu (la vraie), on se rend compte qu'on ne sait presque rien de tout, juste quelques explications bateau sont données... Espérons juste que les mystères s'éclairciront dans Atelier Escha et Logy.

Les musiques sont comme d'habitude de très bonne facture avec certaines vraiment très bonnes pendant les scènes qui vous resteront surement en mémoire. Il est loin d'être impossible de tout faire en une partie, étant donné que je l'ai fait avec un bon nombre de mois d'avance... Le système d'alchimie rapide et simplifié y est pour quelque chose et à cause de ça le tout devient beaucoup plus simple à gérer que dans les autres. On peut avoir toutes les fins en une partie sans avoir à faire tout un tas de trucs pour une fois. Si vous faites le jeu à 100%, il vous suffit de garder votre sauvegarde avant la fin et selon les réponses que vous donnerez vous aurez une fin particulière.

Donc quelques améliorations au niveau des zones et des combats sont à prendre en compte. Le scénario, bien que décevant car on s'attend à plus est tout de même bien meilleur que dans les autres Atelier sur PS3. Il est juste dommage que l'alchimie dans cet opus casse une bonne partie de la gestion qui faisait partie d'un des plus grands charmes de la série et que les boss principaux soient aussi faciles à battre. Mais il y a tout de même un très grand nombre de scènes rendant le jeu toujours aussi dynamique et agréable à jouer. Je le trouve moins bon qu'Atelier Totori et Meruru et même peut-être Rorona, mais malgré ses défauts, on s'amuse toujours autant.
Morm

le 23/05/2013
Edité le 12/05/2014
6
Premier jeu Gust à mon actif, je ne savais pas trop à quoi m'attendre en lançant cet Atelier Ayesha :

+ Une liberté d'action très agréable
+ l'Alchime, bien foutue et très addictive
+ Ambiance légère et rafraîchissante
+ Battle system réussi
+ une jolie direction artistique

+- une OST oscillant entre le très bon et le médiocre
+- Une histoire banale, mais qui se laisse suivre

- un peu à la masse techniquement
- Des personnages vraiment trop cons

-- Beaucoup trop de dialogues inutiles

Au final, malgré des personnages stupides et surtout trop bavards, j'ai pris un certain plaisir à découvrir ce monde, réaliser des bombes de ouf et essayer de finir le plus de quêtes possible avant la fin du temps imparti. Les combats sont vraiment prenants, ça manque juste cruellement de gros boss-fights qui permettraient de les exploiter à fond.

Un petit soft rafraîchissant à faire entre deux gros RPG.
Canicheslayer

le 09/04/2013
Edité le 26/12/2014
8
++ Garanti sans Pedobear
++ Un univers (et une ambiance) délicieusement étrange. Particulièrement au début du jeu.

+ Les pistes signées par Daisuke Achiwa sont excellentes
+ Système de combat dynamique.
+ Character Design sympathique.
+ Durée de vie parfaite pour un Atelier.
+ Une histoire simple (ou plutôt "fil rouge") mais touchante.

+- Apparemment, je suis le seul à penser que la difficulté a été (un peu) revue à la hausse - par rapport à la norme Atelier...
+- Le système d'alchimie est simplifié par rapport aux autres épisodes (plusieurs objets par synthèse)...ça risque de déplaire aux puristes !
+- Une héroïne toute mignonne mais un peu trop nunuche à mon goût !
+- Techniquement en retard mais il y a du mieux.


Technique : 7
Bande son : 8
Scénario : 7
Durée de vie : 8
Gameplay : 8

Note % : 83
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