bandeau
avatar Guest
Login|Inscr.
sign
Commentaires de EDLA avatar
fiche
Trier par : Date | Support | Nom | Note
30 commentaires
Champions: Return to Arms play2
EDLA

le 14/02/2008
Edité le 14/02/2008
5
Le scénario (que se soit en mode "gentil" ou en mode "méchant) n'a rien de bien original (mais bon, cela ne constitue pas une véritable tare, au vu de ce genre de jeu). Les personnages (enemis ou alliés) ne font pas preuve d'un charisme ahurissant, mais bon, on n'y prête pas attention. Question esthétique, rien à dire, c'est du bon boulot. De belles mélodies accompagnent nos pérégrinations sanglantes, même s'ils ne sont pas très nombreux. Il est dommage, qu'il n'existe qu'un nombre relativement restreint de tableaux (au demeurant très vaste). Résultat : la durée de vie est en réalité assez faible (les raisons qui expliquent pourquoi, il m'a fallu une éternité pour que je l'achève, ne se situent pas dans les caractéristiques intrinsèques du jeu). Au final, on a affaire à un hack'n slash des plus classiques, dont la véritable force se trouve comme toujours, du côté du mode multi-joueur.
Suikoden Tactics play2
EDLA

le 14/02/2008
8
un excellent tactical rpg avec un très bon système de combats, de belles compositons musicales et le scénario éclaircit certaines zones d' ombres de l' histoire de Suikoden 4. L' esthétique du jeu n' a rien d' attrayant mais cela n' a jamais été le point fort de cette Saga. Au final, je le préfère au 4ème volet.
The Legend of Zelda nes
EDLA

le 14/02/2008
6
- Mon premier jeu video : quelle entrée en matière. Bien que ne comprenant rien, à l'époque au système de jeu (je n'avais que 5 ans), ce fut une véritable révélation, et le début d'une longue et intarissable passion. Aujourd'hui, le jeu a certes vieilli, mais rien que pour le plaisir de découvrir les fondements d'une saga légendaire, il mérite que l'on s'y intéresse. D'une grande difficulté, comme le signale Allesthar dans son test, il m'aura fallu un sacré bout de temps, pour pouvoir en déceler la fin.
Phantasy Star III: Generations of Doom md
EDLA

le 14/02/2008
7
- Malgré un grand nombre de défauts rédhibitoires, il reste un jeu très prenant (d'autant plus qu'il fut mon premier véritable classical), avec de belles idées (dont le système de génération, unique en son temps).
Xenogears play
EDLA

le 14/02/2008
Edité le 14/02/2008
8
- Il est difficile pour moi de nier ses formidables qualités : le scénario (exceptionnel), la qualité (remarquable) des dialogues, le charisme (édifiant) des personnages, les mélodies (sublimes), l'ambiance (d'une puissance immersive indéniable), rien à critiquer à ce niveau. Les raisons de son absence dans mon top 10, sont à regarder du côté du gameplay : franchement, je suis loin d'être un adepte du système de combats de Xenogears. Et ce ne sont pas les phases de méchas, qui vont me convertir. Surtout, j'ai en horreur les phases de plateformes, trop approximatives à mon gout (à moins que je ne sois une pauvre loque dans ce domaine, ce qui est très probable). Je ne compte plus les heures perdues, à errer dans les dungeons, pour ce seul et unique motif. évidemment, je ne peux pas non plus passer sous silence, la manière dont a été traitée le deuxième cd, même si on ne peut pas à en vouloir aux développeurs, bien entendu. Toutes ces raisons, qui expliquent pourquoi Xenogears ne parvient pas pour moi, à atteindre les cimes de la perfection, auxquels il était pourtant promis. Il constitue toutefois, dans tous les cas, un incontournable.
Mystaria: The Realms of Lore sat
EDLA

le 18/07/2007
Edité le 23/07/2007
7
- Des graphismes peu reluisants, des personnages et des ennemis peu charismatiques, desservis par 1 character design pas franchement folichon, des villages ultra réduits en terme d'espace), une animation défaillante, une histoire archi-classique (avec des rebondissements moyennement crédibles), le tableau n'est de pas prime abord à son avantage. Et pourtant Mystaria recèle bien des qualités. Commençons d'abord par son immense point fort, son système de combats. On a notre disposition un bon panel de classes, et surtout un nombre hallucinant d'attaques. Ajouter à cela une grande variété de champs d'actions, des reliefs qui ne sont pas là uniquement pour faire office de décors (elles peuvent en effet constituer des éléments d'obstacles), des cartes assez grandes (rien à voir avec les maps ridiculement étroites de FFT), et on obtient une dimension stratégique indéniable. Autre bon point, une bonne marge de liberté est offerte au joueur (il est possible de parcourir les dungeons dans l'ordre que l'on souhaite). Appréciable. l'ambiance heroic-fantasy est bien retranscrite, et les compositions musicales non seulement d'être dans le ton, sont de grandes qualités (quoique un peu répétitive). Au final, Mystaria est un titre de qualité, qui mérite amplement que l'on s'y intéresse, à condition de pardonner les lacunes techniques. PS : un script uniquement anglais, est loin de constituer à mes yeux un défaut. Quand l'on voit les traductions françaises de l'époque (au hasard, ff7,...), on se dit que ce petit tactical-rpg bien sympathque, a échappé au pire.

Suikoden III play2
EDLA

le 11/07/2007
Edité le 30/10/2007
8
- Un épisode très ambitieux dans ses fondements. Une trame générale passionnante ou s’entremêle inévitablement trahison, complots politiques guerre, tragédie. Des personnages hautement charismatiques, au design sublime (la magnifique Chris,…) et à la psychologie très travaillée. Un intervenant en particulier, réservera aux fans de la saga, bien des surprises. Le Trinity System qui invite le joueur à suivre l’histoire à travers plusieurs points de vue différents, constitue une excellente idée et s’apparente à celui de la fantastique Trilogie Shining Force 3. Le revers de la médaille est l’obligation faite au joueur de revisiter un grand nombre de fois les mêmes lieux et d’effectuer de multiples et incessants aller-retour. De plus, l’habituelle carte du monde des 2 premiers épisodes, n’est plus ici de mise (ce qui réduit grandement la sensation de liberté). Par ailleurs, le rythme de l’intrigue est très irréguliers et comporte de nombreux temps-morts (ou l’on s’ennuie ferme) comme le chapitre de Thomas par exemple. Au niveau des graphismes, le bilan est mitigé : si les décors s’en sortent honorablement avec un bon niveau de détails, la modélisation des protagonistes est en revanche, des plus minimalistes (notamment au niveau des mains). Heureusement que les expressions faciales sont assez bien rendues, tout comme les effets spéciaux (notamment lors de l’exécution de magies), Sympas mais sans plus. Carton rouge en revanche, en ce qui concerne les mouvements des personnages, d' une rigidité affligeante. La conséquence immédiate est d' amoindrir la crédibilité de la mise en scène. Les mélodies que l’on doit au trio Michiru Yamane, Takashi Yoshida et Masahiko Kimura (+ Himekami) sont certes de bonnes factures (mention spéciale au thème exceeding love de l’opening, l’une des plus belles intros jamais crées, ainsi que celle de l’Ending, tout simplement sublime), mais restent un ton en-dessous des compositions musicales de Miki Higashino. L’ambiance est toujours aussi immersive, même si l’on pourra regretter la prédominance du caractère sombre de l’univers, au détriment de la tonalité humoristique (nettement moins marquée). Du côté du système classique de combats, rien de bien révolutionnaire, même si ce n' la présence du concept de Skills (permettant de customizer les statistiques de nos combattants), de paire, et du timing des différentes attaques, ajoute un zeste de stratégies des plus appréciables. Rien à signaler en ce qui concerne les duels, si ce n’est l’ajout d' 1 jauge d' avantage. Rien de bien nouveau non plus sur le plan du QG, des forges d’armes, des runes,... Le système des grandes batailles, reposant sur le concept du jeu de plateau, est assez bien conçu, même si l' on pourra regretter de ne pas avoir une entière maitrise, sur les actions que l' on souhaite réaliser. L’inévitable quête des 108 étoiles est toujours facultative, mais reste indispensable à l’obtention de la véritable fin, et surtout réserve une surprise de taille. Je ne dirais rien pour ne pas spoiler, mais sachez qu’elle permet d’éclaircir les zones d’ombre du scénario. Au final, ce 3ème opus fait honneur à la prestigieuse saga des Suikoden, mais n’atteint le niveau mythique des 2 premiers épisodes (ainsi que le 5ème volet désormais), en raison de la présence d’un certain nombre de défauts rédhibitoires.
Suikoden IV play2
EDLA

le 11/07/2007
Edité le 13/02/2008
8
- L'épisode le moins réussi de la Saga (je mets à part les 2 Suikogaiden, ainsi que le bizarroïde Gensôsuikoden Card Stories). Cependant, les différentes faiblesses dont souffre cet opus, ne se sont pas révélées à mes yeux, suffisamment importantes pour que je profère un jugement négatif à son égard.

- L’histoire de Suikoden 4 est sans doute la moins bien travaillée de la Saga et on ne peut pas dire non plus, qu’elle soit narrée avec un rythme très soutenu. Néanmoins, celle-ci se laisse suivre très facilement, sans jamais que l’ennui finisse par pointer le bout de son nez. Les personnages ne figurent sans doute pas parmi les plus marquants de la Saga, mais restent attachants (le travail de Junko Kawano sur le character design est très réussi même si j’éprouve une préférence pour celui de Fumi Ishikawa) et relativement intéressants (notamment Troy, Graham Cray, Elenor Silverberg, ainsi que Kika).

- Les thèmes musicaux sont loin d’être inoubliables, mais s’agencent parfaitement à chaque situation. Les graphismes ne trônent certes pas parmi les plus beaux de la PS2, mais restent assez agréables à l’ œil (malgré une prédominance pour le teint grisâtre). La modélisation des personnages est de bonne facture (d’un niveau en tout cas, supérieure à celle du 3ème épisode), les décors revêtent un bon nombre de détails et les effets spéciaux (notamment à l’exécution d’une magie) sont ma foi, très jolies.

- Le système classique de combats ne trahit pas les bases de la Saga et reste efficace, malgré le fait de ne plus pouvoir constituer, qu’une équipe de 4 personnages (au lieu de 6 habituellement). Les duels ont gagné en crédibilité, en grande partie imputée à une nette amélioration de l’animation des personnages. Les phases de batailles navales sont assez bien pensées et l’on se prend vite au jeu.

- Le point fort du jeu réside dans son ambiance, d’une grande force immersive. Véritable ode à la gloire des mers, celle-ci participe grandement au plaisir de la découverte d’une nouvelle région du monde de Suikoden (même si les sensations de liberté et d’immensité n’ont rien à voir avec celles que l’on peut ressentir dans Skies of Arcadia et dans une moindre mesure, Zelda : The Wind Waker), avec toute les contraintes que cela implique (notamment les poussives phases de déplacement en bateau). Par ailleurs, le thème de la piraterie est plus longuement abordé dans cet épisode (de mémoire, seul Suikoden 1 en avait fait l’écho à travers les personnages d’Anji, Leonardo et Kanak).

- Au final, j’ai fini par grandement apprécier Suikoden 4 malgré toutes ses imperfections.
Final Fantasy Tactics play
EDLA

le 11/07/2007
Edité le 04/02/2008
8
Points forts :

- Une histoire passionnante.
- De beaux graphismes (enfin pour l' époque).
- De superbes compositions musicales (de l' oeuvre de Masaharu Iwata et de Hitoshi Sakimoto) et collant parfaitement à l' ambiance (captivante) de l' univers d' Ivalice.
- Un système de " jobs " d' une grande richesse et offrant de customiser à sa guise, nos différents guerriers.
- Des quêtes annexes qui valent le coup.

. Points faibles :

- Un système de combats intéressants ou les nombreuses bases stratégiques, sont complètement gâchées par des aires de combats trop petites et des équipes de combats restreintes à un nombre famélique de 5 personnages !!!

- Des personnages hautement charismatiques, malheureusement desservis par un character design horrible.

- Un niveau de difficulté mal dosé et qui est de toute manière, ruiné par la possibilité d' une montée exponentielle en level, en frappant nos propres unités !!!

- Conclusion : un rpg qui aurait pu se hisser au panthéon des TRPG, s' il n' était pas frappé par des aberrations, pour le moins frustrantes,...
Tales of Legendia play2
EDLA

le 11/07/2007
Edité le 13/02/2008
7
- Les sévères notes que lui ont attribuées bon nombre de magazines me paraissent injustifiées.

- Au niveau graphique, la 3D est vraiment très fine, les textures chatoyantes et l’aliasing est quasiment absent. Les compositions musicales sont vraiment superbes (même si elles ne collent pas vraiment à la situation, du moins durant la première partie de l’intrigue). J’avais quelques appréhensions en ce qui concerne le doublage anglais mais il se révèle finalement d’un niveau convenable (surtout la voix de Norma Beatty, qui correspond parfaitement au caractère enjoué et pleine d’énergie de la jeune magicienne).

- Le système de combat ne trahit pas les bases de la saga et est comme toujours très fun à jouer (NB : mon maximun de hits s’élève à 201 et a été réalisé durant la première partie du jeu, lors du combat contre Tempest Gaet dans le Thunder Monument. Je dois toutefois avouer que le hasard a joué un grand rôle dans la réalisation de ce score). La fréquence des combats n’est pas très élevée mais comme le jeu est relativement facile durant la première partie de l’histoire, il n’est nullement nécessaire de faire du levelling (après cela se corse considérablement durant la phase du Character Quest) pour avancer dans le scénario. La structure des donjons ne fait pas dans l’ingéniosité et les puzzles en guise d’énigme sont assez basiques.

- Le scénario dans sa globalité est tout ce qui a de plus classique et les messages " moraux " sont d’une grande naïveté (à la limite parfois de la niaiserie), mais se laisse suivre très facilement. Le début du jeu est en revanche très étrange : les évènements se succèdent sans que la moindre cohérence et unité se dessinent (du moins en apparence).

- Ensuite, le fait de séparer la trame en 2 parties, tout en parvenant à maintenir la présence d’un fil directeur, constitue un coup de force majeur. Ainsi j’ai pris un grand plaisir à suivre l' histoire de chacun des personnages (notamment celle de Chloe même si Stingle se révèle finalement être un personnage sans surprise) durant le Character Quest, malgré une certaine répétition dans les dialogues (malheureusement, non doublés à ce moment-là) et une mise en scène pour le moins maladroite. La personnalité des protagonistes respecte les archétypes du genre (sauf pour Jay) et l’on s’attache rapidement aux différents intervenants du jeu. L’ambiance du jeu est excellente, légère (très proche de Grandia) et pleine d’humour. Cependant, devoir refaire durant la 2ème partie du scénario, les mêmes dongeons et enchainer les allers-retours, finit par agacer à la longue.

- Au final, Tales Of Legendia constitue pour moi un très bon rpg.
Modifir un commentaire :
X
$_$ >_< <_< :!: :!: :( :) :- :6: :a: :alien: :banana: :bat: :bave: :bear: :berk: :blush: :boss: :bounce: :bye:
OK
0 connecté
Legendra RPG V4.8.42 © Force 2024 - Mentions légales
Webmaster : Medion