Me concernant, 2016 a longtemps été le prolongement de la fin d'année 2015 : une orgie de...
Et puis, le miracle eut lieu...
Final Fantasy XV a tellement été annoncé, repoussé, re-développé qu'il en était devenu une sorte de running-gag, remplaçant dans les cœurs des fans ce bon gros Duke Nukem Forever. Ainsi lorsqu'un énième petit report a été annoncé en cours d'année, je ne fus sûrement pas le seul à me dire que ce ne serait encore pas pour cette année... Et pourtant !
2016 a aussi vu le retour de Fire Emblem, trois ans après un épisode Awakening un peu mitigé, avec non pas un mais trois épisodes narrant différemment l'histoire de la même guerre selon un choix que l'on va faire tôt dans le jeu. Un retour aux différentes facettes.
Le premier proposé se veut comme le plus accessible. S'il peut se révéler quand même challenging, pour peu que l'on décide de mettre la difficulté maximale et les morts définitives des unités, il pêche par ses scènes niaises, son scénario un peu plat et surtout ses missions un peu trop lisses et sans folie.
Bien sûr, les bonnes idées de gameplay sont là et le jeu n'est pas foncièrement mauvais, mais on reste tout de même loin de la qualité des anciens opus.
Il me restera donc à faire Revelations en 2017, afin d'éclaircir les dernières zones d'ombre, en espérant qu'il soit plus proche de Conquête que d'Héritage...
J'ai profité du reste de l'année pour me faire un peu de retro gaming et faire quelques titres que je voulais faire depuis quelque temps.
Neugier: Umi To Kaze no Koudou
Petit Action-RPG sans prétention, Neugier sent bon les premières heures de la Super Nintendo avec ses graphismes un peu dégueus et ses sonorités déjà dépassées. Mais il propose quand même un bon petit challenge à base de die/fail and retry qui peut occuper les amateurs quelques heures.
Royal Stone: Hirakareshi Toki no Tobira
Je lorgnais dessus de longue date, et je n'ai pas été déçu. Royal Stone est tout simplement l'un des plus beaux jeux de la console, et propose un gameplay à mi chemin entre les vieux Shining Force et Fire Emblem (avec des villages !), ainsi qu'une histoire qui se laisse suivre et que l'on peut enfin comprendre grâce au patch anglais disponible. Malheureusement, l'ergonomie n'est pas toujours géniale pour choisir ses actions ou effectuer ses achats. N'en reste pas moins un challenger très intéressant pour les Shining Force, références du support, qui restent supérieurs avec leurs missions mieux pensées et leurs scénarios un peu plus poussés.
(Pour les curieux, aucun rapport avec notre ancienne ministre :hinhin:)
Mercenaries Saga 2: Order of the Silver Eagle
Un petit T-RPG à l'ancienne sans prétention, découvert grâce à un membre de Legendra. Tout fleure bon le classicisme à outrance, du gameplay au scénario, mais ça se laisse plutôt bien jouer et l'ensemble est assez joli. Le jeu justifie sans peine son faible prix.
Après une année 2014 pas forcément incroyablement excitante au niveau des sorties de RPG, 2015 promettait déjà plus. Le problème, c'est qu'entre un boulot particulièrement chronophage, une vilaine blessure au genou et la naissance d'un bébé en fin d'année dernière, le temps et l'envie n'étaient pas vraiment au rendez-vous.
Petit bilan léger et peu pertinent.
Sinon, l'année a été occupée par 8 autres RPG de plutôt bonne facture.
Disgaea 4: A Promise Revisited
Déjà entamé fin 2014, j'ai enchaîné sur le post-game. Pas grand chose à ajouter dessus, si ce n'est que je suis impatient de faire le 5 cette année.
The Legend of Zelda: Majora's Mask 3D
Suite de mon marathon Zelda cette année, après les trois épisodes de l'an passé. Et c'est la vénéré Majora's Mask qui est passé dans ma 3DS Rien à redire, sa réputation n'est pas usurpée, c'est clairement le Zelda le plus original que j'ai touché, et le concept est sacrément bon, même s'il peine finalement à se renouveler et en devient un peu prévisible.
Transistor
Transistor, c'est la combinaison élégante d'une ambiance envoûtante, d'un système de jeu réussi, d'une narration originale et d'une esthétique parfaite. Certes, le jeu se boucle trop vite et ne propose que peu de challenge, mais qu'importe, Transistor restera une expérience incroyablement marquante.
Ys Origin
Des années que le jeu trônait sur mes étagère en attendant de me présenter les origines de la série, sans Adol. Un gameplay explosif, quelques morceaux géniaux, mais globalement un peu moins de variété que les autres opus de la série. Solide, quand même.
Tales of Hearts R
Tales of Hearts, c'est le Tales of poussé à son paroxysme : du niais, du niais, et encore du niais, mais un système de jeu au top et une réalisation soignée. Un bon portage, en somme.
Chroma Squad
Chaque année, la scène indé propose des bonnes petites surprises, et en cette année 2015, Chroma Squad fut sans aucun doute l'une d'entre elle. T-RPG tourné autour de l'univers des sentai, le jeu alterne les scènes loufoques et désopilantes avec des combats bien funs, sans oublier une bonne petite dose de customisation. Le tout, saupoudré par des pixels à l'ancienne et des sonorités 8-bits bien punchy.
Final Fantasy X-2 HD Remaster
Je dois bien l'avouer, pendant quelques heures je me suis dis que finalement, FFX-2 c'était vraiment cool et que sa mauvaise réputation était un peu usurpée. Mais en fait, à force de subir des délires ridicules servis par un casting au rabais et une bande son un peu nulle, tout en enchaînant des quêtes sans intérêt, j'ai du me rendre à l'évidence : un gameplay 5 étoiles et une belle réalisation ne font pas tout.
Samsa and the Knights of Light
Autre jeu de la scène indé, Samsa and the Knights of Light nous vient d'Espagne. Très laid, le jeu brille par son humour et permet quelques petites activités dans un monde minuscule dont on a fait le tour en quelques minutes. On se marre bien, on prend du plaisir à faire monter son équipe composée parmi 22 personnages potentiels, on repense aux jeux de notre enfance, et puis après 4h de jeu, on en finit avec une aventure qui ne nous marquera tout de même pas beaucoup.
2014 fut une année très riche dans bien des domaines : Jeux Olympiques, coupe du monde de foot (le Mexique :'(), découverte des joies de la paternité...
Mais du point de vue des RPG, il faut avouer que la période ne fut pas des plus excitantes, d'autant que je n'ai pas vraiment pu me consacrer autant que je l'aurais voulu aux sorties de l'année. Ce fut surtout l'occasion pour moi de rattraper le temps perdu
Tout d'abord, 2014 au travers de trois RPG marquants.
2014, ce fut aussi pour moi un mélange de titres de tous ages plus ou moins marquants.
Child of Light
En 2014, les petites productions se sont aussi illustrées, avec notamment le très joli Child of Light plein de poésie et aux mécaniques bien rodées. En espérant voir plein de petits projets du genre lui emboîter le pas.
Final Fantasy Type-0
On n'y croyait presque plus, mais en cette belle année 2014, Final Fantasy Type-0 est enfin devenu accessible grâce à la sortie d'un patch de traduction complet !... de courte durée officiellement mais néanmoins facilement trouvable un peu partout sur le web.
Bon, on va pas se mentir, j'espérais quand même un jeu un peu plus ambitieux dans ses rouages, plus éloigné de l'Action-RPG primaire et bourrin que ce que Square Enix nous propose. En revanche, je ne m'attendais pas une telle claque visuelle tant dans la technique que dans l'ambiance et à un contenu aussi riche. A redécouvrir prochainement avec son portage HD.
Persona 4 Golden
Depuis le temps que j'avais promis à certains membres éminents du site d'enfin me plonger dans l'opus le plus accessible de la série, c'est enfin fait ! Et si mon avis n'est pas aussi dithyrambique que celui de la majorité, la faute à un scénario mal rythmé et une longueur globale qui fait ressortir le manque de renouvellement et l'intérêt nul des donjons, il n'en reste pas moins que j'ai vraiment apprécié l'ambiance générale, le système de points faibles, et bien sûr les petites séances de drague. Solide.
Spectral Force 3: Innocent Rage
Ayant une fascination inexplicable pour l'univers créé par Idea Factory, il allait sans dire que Spectral Force 3 me faisant fantasmer depuis sa sortie américaine en 2008. Après plus de cinquante heures passées à enchaîner les missions plus ou moins intéressantes, le constat est sans appel : le jeu est bien loin d'atteindre la qualité d'un Aedis Eclipse ou la profondeur épique d'un Spectral Souls II. Pour autant, j'ai encore eu du mal à lâcher ce titre indigne d'une Xbox360 avant la fin, la faute à ce petit charme indescriptible et à ma passion pour le Tactical-RPG.
Jikandia: The Timeless Land
Chaque année, je décide de donner sa chance à un petit jeu sans prétention. Cette année, ce fut Jikandia, un petit Action-RPG délirant jouant à fond la carte du rétro, et qui amuse le temps d'un petit après-midi... après lequel on l'aura vite oublié.
Gungnir: The War Hero and the War God’s Demon Lance
Derrière ce nom à rallonge se cache un énième Tactical-RPG réalisé par Sting. Une énième réussite, une nouvelle fois entaché par un mauvais équilibrage de la difficulté. C'est beau, ça sonne bien, c'est parfois dur, parfois simple mais c'est surtout un des meilleurs jeux du genre sur le support.
New Little King's Story
Y a pas à dire, Bao sait quand même bien prêcher pour sa paroisse. Alors que Little King Story ne m'avait jamais emballé plus que ça, son article sur le remake PSVita m'avait tout de suite donnée envie de me plonger dedans. Chose faite en début d'année, et sans regret, tant le jeu est mignon et vraiment prenant, même s'il ne faut pas en attendre des dizaines d'heures de jeu ou un scénario intéressant.
Dust: An Elysian Tail
En 2013, je fus l'un des rares à passer à côté du succès indie de l'année, le fameux Dust. Avec son chara-design réalisé par un écolier et son scénario convenu, le jeu pourrait presque passer pour trop amateur. Il n'en est rien. Avec sa 2D magnifique, ses musiques sublimes et ses affrontements ultra jouissifs, Dust parvient sans mal à convaincre et nous entraîner dans son univers mystérieux.
L'an dernier dans mon petit bilan, je faisais une résolution des plus improbables : enfin aller au bout du culte Zelda 3 pour parfaire ma culture assez limitée de la série. Et au final, ce n'est pas un, mais bien trois Zelda que j'ai avalés !
Cette année fut particulière car je ne sais plus pour quelle raison, j'ai décidé de sortir de sa longue sieste ma Saturn. Et là, après d'étranges et mystérieux phénomènes inexpliqués, je me suis retrouvé à acheter compulsivement un des meilleurs jeux de la création que je ne peux nommer… En effet le simple fait d'écrire ou de chuchoter son nom, semble attirer toutes sortes de malédictions… Ne croyant ni au vaudou ni aux esprits, mais en prenant qu'en même mon courage à deux mains, je vais parler en ce lieu, du mythique «Virtual Hydlide »... Heureusement pour moi, le supplice ne dura que 6 (longues) heures.
Mais mon attrait pour la Saturn resta inébranlable et je décidais de poursuivre mon aventure en explorant Dragon Force. C'est le premier jeu qui me donna envie de faire une new game+ sitôt le jeu terminé. En effet, si je souhaite refaire certains jeux de mon top 10 dans un avenir plus ou moins lointain, jamais je n'avais éprouvé l'envie et le besoin de le faire immédiatement après avoir terminé ma partie.
Dernière folie de l'année, j'ai acheté une deuxième Saturn (de seconde génération contrairement à la première qui est de première génération) ainsi qu'une Backup Memory. La Backup Memory étant destiné à jouer à Shining Force III premium disc avec des sauvegardes, ce qui est fort utile si l'on ne souhaite pas jouer 10h sans arrêt… J'avais tenté l'expérience en 2003, mais après environ 5h de jeu sans interruption, j'avais renoncé au défi car trop peu amusant à mon goût. Tremble Premium disc, bientôt tu seras sur ma liste de « RPG finis ». En plus de la console, j'ai eu le droit à un T-RPG. Étant amateur de RPG tactique et voulant jouer à la Saturn, je ne pouvais pas espérer mieux. C'est ainsi que n'écoutant que mon courage et ma soif de tactique, je me suis lancé dans Mystria, une aventure qui vaut la peine d'être vécue.
En plus des jeux sur Saturn, j'ai aussi eu la subite envie de modifier l'une de mes consoles afin de sortir l'image en NTSC 60Hz sur ma télévision HD. Mon esprit de bidouilleur ne fut pas rassasié pour autant, alors je suis parti sur une modification plus complexe et fait maison de ma seconde console. J'ai bricolé une petite carte électronique avec un programme spécifique qui me permet de choisir la zone et la sortie vidéo. Je ne rentre pas dans les détails car j'ai déjà postés des explications et des photos dans le forum de Legendra (ici pour ceux que ça intéressent)
Passons maintenant au bilan RPG de l'année.
Top RPG 2014
2013, une année qui ne devait jamais arriver, et pourtant...
En cette année post-apocalyptique théorique, on retiendra bien sûr entre autres la mort de Mandela, l'éclosion de la philosophe Nabilla, la fin des séries cultes Dexter et Breaking Bad, la sortie de GTA V et évidemment, mon voyage de noce unanimement salué à travers le monde.
Mais 2013, c'était aussi pas mal de RPG attendus, pour un bilan personnel plutôt positif, même si l'on pouvait en attendre un peu plus. Un bilan personnel fortement placé sous le signe des consoles de Sony.
Sans plus tarder, podium !
2013, c'est aussi d'autres titres plus ou moins attendus qui se sont révélés convaincants, mais malgré tout pas toujours à la hauteur des espoirs placés en eux. Je me comprends.
Dragon's Crown
Très attendu en 2013, le titre marquait le retour de Vanillaware en Europe, quatre ans après Muramasa: The Demon Blade et deux ans après un Grand Knights History qui ne sera jamais sorti du Japon. Alors oui, c'est vraiment beau, oui ça défoule bien, et oui le mode multi est bien sympa. Mais après Princess Crown, Odin Sphere et dans une moindre mesure Muramasa, on pouvait attendre un peu plus de poésie et un gameplay plus fin.
Pour faire court : bien, mais peut mieux faire, malgré la bonne utilisation du tactile sur PS Vita. C'est à noter.
Fire Emblem: Awakening
Constat assez similaire pour le grand come back de Fire Emblem sur portable.
Awakening est un titre solide et réussi, marqué par le retour du système de génération. Mais il peine à se hisser à la hauteur des meilleurs épisodes de la série, la faute à un côté épique un peu absent et un scénario qui s’essouffle beaucoup trop vite après un départ des plus convaincants.
Je retiendrai tout de même d'excellentes idées de gameplay que j'espère retrouver dans les futurs titres de la franchise.
Disgaea Dimension 2: A Brighter Darkness
A chaque nouvelle sortie d'un Disgaea, c'est la même rengaine. Nippon Ichi nous ressert la même formule, avec des graphismes dépassés depuis des années. Et le pire, c'est que ça marche... au moins pour les fans.
Avec ce nouvel opus, le développeur joue à fond la carte du fanservice. On retrouve donc Laharl, Etna et Fionne là où on les avait laissés après le premier épisode, pour une suite dans la même veine. Si le gameplay toujours aussi riche et efficace ainsi que le fait de revoir des têtes connues fonctionnent à merveille, on peut tout de même regretter le manque de renouvellement et la présence trop rare d'un vrai grain de folie.
Bref, on s'éclate bien, mais on espère que le prochain épisode de la série placera la barre un peu plus haut.
Atelier Totori ~The Adventurer of Arland~ Plus
Lui, je ne l'attendais pas spécialement même si je suis fan de la série, après un Atelier Rorona un peu décevant dont il prend directement la suite. Sans surprise, il partage avec son aîné ce qui m'avait principalement rebuté : l'ambiance niaise et gamine.
Oui mais, en proposant un système de licence diablement prenant, un scénario plus intéressant, un monde plus vaste et un challenge plus relevé, Atelier Totori est beaucoup plus séduisant, surtout que sa technique un peu légère pour de la Playstation 3 est parfaitement adaptée à la PS Vita.
De bonne augure avant d'entamer Meruru Plus et Ayesha !
Generation of Chaos: Pandora’s Reflection
Imaginez mon excitation lorsque j'ai appris que deux développeurs que j'adore (Sting et Idea Factory) allaient unir leurs efforts pour produire le sixième Generation of Chaos !
Après un très bon cinquième épisode, la série prend un tout autre virage, et c'est finalement une évolution du spin-off Yggra Unison qui nous est proposé, un pur S-RPG en temps réel nécessitant d'exploiter au mieux tout ce qui se trouve sur les cartes au cours des missions. En dehors de quelques thèmes traités et du chara-design, pas grand chose n'évoque les vieux épisodes et la patte d'Idea Factory, c'est clairement un titre Sting, avec un gameplay intelligent mettant le joueur à contribution en permanence et son ergonomie typique qui en balance plein les yeux.
Rien de transcendant, mais un très bon jeu dans un genre rare, sur une PSP qui continue de résister mais pourrait avoir du mal à passer 2014...
Et puis, il y a les oubliés, ceux qui traînent gentiment sur une étagère, dans l'attente de leur tour, entre deux CD de Patrick Juvet.
Bravely Default est sorti tard, trop tard, Ys:Memories of Celceta ayant eu mes faveurs sur l'instant. Les quelques (excellentes) minutes passées dessus ne suffiront pas à m'en faire une idée précise, d'autant qu'il semble que ses lacunes potentielles se dévoilent sur la fin.
Le dernier Zelda sur 3DS devra également attendre, surtout que j'ai décidé de reprendre Zelda 3 pour enfin le terminer ! RÉSOLUTION DE 2014, JE SUIS UN FOU.
Enfin, même sort pour Tales of Xillia, même si les avis globalement beaucoup moins enthousiastes me laissent moins de regret.
En espérant rattraper ça dès le début de l'année prochaine...
Chers lecteurs, je vous souhaite une excellente année 2013. Comme le veut la coutume, cette année aussi (avec un max de retard) je dresse le bilan de cette superbe année.
Avec la naissance de ma petite Lola, l'année était déjà excellente. Mais comme si cela ne suffisait pas, j'ai quand même réussi à finir 5 RPG cette année malgré le faite qu'un bébé ça prend un peu (beaucoup) de temps. 5 ce n'est pas beaucoup me direz-vous ? Que nenni, pour moi c'est un exploit, mon record personnel étant de 6 RPG fini en 2005. De plus une promesses est une promesse, et je vous avais promis de finir plus de 2 RPG en 2012 lors de mon bilan de 2011. Et oui, je suis un homme de parole. Maintenant, fini de raconter ma vie, allons dans le vif du sujet.
Top RPG
Il faut bien le reconnaitre, la production sur console de salon n'a pas été des plus florissantes cette année, et je me suis plus tourné vers les jeux sur portables et mobiles. Sur console de salon, tout juste ai eu l'envie de passer quelques heures supplémentaires sur Skyrim, qui restera comme l'une de mes meilleures expériences des dernières années.
Moins de louanges à attribuer au gros titre Square Enix de l'année, l'énigmatique Final Fantasy XIII-2.
Bonne année à tous !
2011 se finit, il est grand temps de faire un bilan de cette année qui marque la fin d'une génération de console dans les poches et le crépuscule dans le salon avec l'arrivée prochaine de la Wii U. Une année malgré tout bien riche en grands jeux, dont je n'ai malheureusement pu que très peu profiter...
Parce qu'il faut bien ressortir quelques RPG marquants de l'année, voici mon podium !
Bienvenu pour mon bilan RPG 2011
Tout d'abord, cher lecteur, je te souhaite une excellente année, une santé à toute épreuve et du bonheur à foison. Enfin, c'est avec un immense plaisir que je partage aujourd’hui avec toi mon bilan RPG 2011. Même si celui ci semble minuscule, il ne faut pas se fier aux apparences (en faite, si... lol ) en effet, ayant terminé que 2 RPGs, il m'est plutôt difficile de faire un classement très détaillé. Mais rassures-toi, j'ai quand même eu le droit de goûter aux joies d'un monument du RPG ainsi que d'avoir une vraie déception là ou je ne l'attendais pas (d’ailleurs personne n'a compris pourquoi... Ça se soigne docteur ? )
Top RPG
Okami (Wii)
Ce RPG est un joyaux et un hymne aux voyages. Dès le début, le ton est donné. Vous incarnez la déesse du soleil « Amaterasu » réincarnée dans un loup. Accompagnée par un artiste lilliputien des plus atypique, vous vous lancez dans une quête pour retrouver vos pouvoirs de jadis et ainsi défaire le mal. Votre périple vous permettra de découvrir un Japon imprégné de mythologie dans lequel vous allez errer de quête en quêtes dans un bonheur in-interrompue. Que se soit vos rencontres avec les PNJ, les ennemis ou les divers lieux visités, le monde d'Okami est d'une richesse rare et des plus mystique. Le ton léger, saupoudré d'humour est vraiment un délice. Le mal omniprésent dans cette histoire sera là pour apporter une touche de noirceur dans un monde qui aurait pu être parfait. Comme si cela ne suffisait pas, il est impossible de rester de marbre devants les graphismes. Le jeu est une estampe animée qui ne demande qu'a être exploré afin de révéler des tableaux plus beaux les uns que les autres. Les musiques ne sont pas en restent et collent parfaitement à l'univers qui s'offre à nous et cela pour le plus grand bien de nos sens. Pour ce qui est de la Wiimote, celle ci permet de contrôler la peinture on ne peut mieux. On a vraiment l'impression que la manette avait été créé pour ce jeu. Elle répond bien et c'est avec grand plaisir que l'on dessine devants nous ces esquisses afin de déclencher nos pouvoirs divins.
Comme vous l'avez compris, c'est un RPG d'exception à faire absolument.
Déception RPG
Valkyrie Profile: Covenant of the Plume
Grand fan de Valkyrie Profile, je me suis laisser tenter par Covenant of the Plume. Si l'univers et l'aspect tactique du jeu me faisaient plutôt saliver, mon plaisir de jouer c'est rapidement effacé pour laisser place à une déception au goût des plus amer. Tout d'abord, je n'est pas accroché au système de combat que j'ai trouvé peu amusant et pas tactique pour un sou. J'ai toujours adoré le système de combats propre à la série des Valkyrie Profile ainsi qu’aux T-RPG. Malheureusement, j'ai trouvé ce mélange déroutant et loin du dynamisme qui faisait la force des opus précédents. La stratégie la plus payante, pour ma part, fut de rapidement encercler aux maximums les ennemis pour déclencher systématiquement les attaques spéciales les unes à la suite des autres. En laissant mes personnages regroupés, (presque) aucun ennemis n'a pu me résister. J'ai pourtant essayer de changer cette technique pour pimenter un peu les combats, mais à mon grand dam, a trop éparpiller mes guerriers j'ai systématiquement rencontré la mort. En employant cette stratégie des plus basiques, j'ai trouvé les affrontements bien trop faciles et peu intéressant... D'un autre coté, lors des missions de sauvetage, l'utilisation de la plume est quasiment obligé tellement les personnages guest sont mauvais (voir font n'importe quoi) ainsi que le boss est surpuissant. J'avais vraiment accroché à l'idée d'utiliser la plume ou non, pour assouvir la vengeance du héros et révéler des pouvoirs extraordinaires, mais le faite d'être obligé de l'invoquer alors que le plupart des autres combats sont d'une simplicité infantile me déplait au plus haut point. On nous impose son utilisation mais on nous fait croire que l'on a le choix... Par exemple, j'aurai préférer laisser mourir les guests plutôt que de sacrifier l'un de mes personnages.
Niveau scénario, je trouve que l'histoire met beaucoup trop de temps pour démarrer et lorsque celle celle ci deviens prenante, on arrive déjà à la fin du jeu. Une frustration de plus pour ce RPG. De nombreux joueur m'ont conseiller de refaire le jeu avec une autre fin pour vraiment profiter d'une plus grande profondeur du scénario, mais ayant horreur de refaire les mêmes jeux, je n'ai jamais pu me relancer dans l’aventure. L'ambiance ne fut pas nous plus au rendez-vous. Je n'ai jamais réussi à rentrer dans l'aventure. Les tavernes, où l'on doit lire énormément d'histoires les unes à la suite des autres sont des plus ennuyeuses, les cinématiques trop peu nombreuses et j'en passe...
Pour finir avec les mauvais point. coté musique, c'est décevant de voir à quel point la bande sonore du 1er Valkyrie Profile a été réutilisé sans vergogne dans cet opus. Je n'aurai pas hésiter de parler de pillage si ce n'est pas le même compositeur qui avait travaillé sur ces deux RPGs.
Heureusement, j'ai quand même trouvé un bon points dans ce RPG. En effet, j'ai assez accroché sur ce héros en soif de vengeance qui n'hésite pas a avoir du sang sur les mains (amis comme ennemis) pour arriver à ces fins.
Merci de m'avoir accordé votre attention et encore une fois, je vous souhaite une bonne et heureuse année 2012 ;)
PS : Promis, cette année, je vais essayer de finir plus de 2 RPGs
Pas grand chose à dire ici, voici le lien vers les photos/vidéos commentées.
MAJ : l'album était devenu privé, par la magie du saint esprit. Ajout des photos d'anthemis au passage.
Ca sera plus simple pour suivre les commentaires généraux ici que sur Picasa, et tout le monde peut poster.