







Après quelques jeux comme Star Ocean sur Xbox 360 où je me suis clairement pamée sur le sujet, il est temps de passer à un autre titre, celui-là sur PS3, pour lequel je commence à ressentir comme un léger vent de déception.
Après des mois de retard, White Knight Story (ou Chronicles, ou Shirokishi Monogatari: Inishie no Kodō ou bien encore 白騎士物語-古の鼓動-) est enfin sorti au Japon le 25 décembre dernier. Joli cadeau de Noel que les nippons se sont accordés me driez-vous... je n'en suis plus si certaine après avoir fait la chasse aux infos, images et vidéos le concernant.
Il faut prendre en compte dans cette critique un peu vitriolée qui va suivre qu'on m'a rabâché assez fréquemment les oreilles avec la beauté des graphismes Current-Gen, c'est donc pour cela que j'ai regardé avec des yeux ronds ce que l'on nous présentait là.
Commençons par le scénario qui débute dans le Royaume de Balandor.
en échec les plans des assaillants. En entrainant Cisna dans les profondeurs du château, il tombe sur une pièce d'armure qui, une fois équipée, le transforme en un immense guerrier connu sous le nom de White Knight.
On va commencer par étudier la dernière vidéo mise en ligne par Level 5 etqui consiste justement en un petit tuto de cinq minutes sur le mode online, les environnements, le créateur de personnages, les combats, l'équipement d'objets et d'armes, le tout commenté par la voix suave d'un narrateur nippon.
La vidéo commence par l'apparition de notre cher Leonard dans une ville. Premier hic, il semble que la population ait été décimée entre le gameplay de Level 5 et celui de Gamersyde. Deuxième souci, les quelques habitants présents sont pour le moins statiques et aussi réactifs que des moules sur leur rocher. Et ce n'est pas cette vicelarde de caméra (qui semble poser problème au testeur pour parler à une jeune fille en haut d'un escalier) qui semble vouloir améliorer les choses. D'ailleurs, la donzelle ignore effrontément les tentatives de communication de notre pauvre héros.
n'existe que peu de lieux d'habitation où l'on puisse entrer ou faire ses emplettes (ou alors le testeur n'a pas eu cette curiosité). La végétation est, elle aussi, frappée du même sort de pétrification que la populace, ou bien est-ce le vent qui n'existe pas dans les agglomérations de Balandor ?
La caméra semble encore plus vicieuse d'ailleurs qu'en ville, en témoigne la pauvre Yulie, coincée contre l'espèce de boeuf qui tire le chariot et qui tape dans le vide pendant 4 secondes. Aie...
On se retrouve dans la séquence où les Wizards ont envahi le château et où Leonard cherche à emmener Cisna. Le moins que l'on puisse dire, c'est que l'IA des ennemis est longue à la détente, on charge sa jauge, ils auraient eu le temps de tirer au moins deux fois, mais non non, ils sont sympas, ils attendent de se faire taper dessus...
réfractaire au character design qui semblait plus pointu sur les screenshots (galerie ici et là car j'ai été feignante sur ce coup là, il y en a environ 150... T_T)...A noter tout de même, pour ceux que l'histoire attire tout de même, qu'un Ebook paru sur le site officiel du jeu et qui se résume à une sorte de pré-quelle racontant l'histoire d'un précédent White Knight.
Medionle 05/01/2009 Edité le 00/00/0000 |
Je trouve ça plutôt juste moi |
Nightle 29/12/2008 Edité le 00/00/0000 |
Je trouve ta critique vraiment dure (et j'ai pas envie d'argumenter). |
Rukialive360le 28/12/2008 Edité le 28/12/2008 |
(merci pour ta précision ^^) |
PXLle 28/12/2008 Edité le 00/00/0000 |
Merci pour toutes ces infos et cette subtile analyse comparée Je ne savais pas que WKS incluait un mode online, donc là ça devient terriblement intéressant si ça reste gratuit qui plus est. De plus, tu sembles voulaoir classer ce soft comme étant un A-RPG... Au vu de la vidéo, je penscherais plus pour un RPG classique car les combats ont seulement l'air dynamiques... en fait, ils sont bien au tour par tour, tout comme FFXI et FFXII |