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Duke's Journey!
Par Mac Old Field, le 02/12/2011 à 05h45 (1183 vues)
Catégorie : Divers
Rhéa-ménagement

Je contemple une brêche dans le ciel. La bouche ouverte, j'observe la pluie. Je vois un puits et m'abreuve à l'envers de ce que l'on souhaite habituellement, où la poussiére dessine un chemin au travers des lumiéres qui rassemblent, éclairent les passants, aveuglent les citadins, m'éblouissaient jadis. Je vais le suivre maintenant et trouver où rafraîchir mes os, lustrer mes yeux, étancher ma soif. La ville attirante, sa foule comme des mouches, leurs fontaines larges et spacieuses d'aprés ce qu'ils en disent, ne me donnent plus envie. Je vais quitter la Terre pour un lopin de nuage qui peut leurs sembler vain, ce qui m'attire parce qu'ils s'en éloignent. Moi, l'imberbe à rebrousse-poil qui se remplume de liberté, déplumé d'excédents, pour un carré de feutre qui ne ressemble à rien, loin de ce qu'ils espèrent, de ce qu'ils recherchent, du commun des sédentaires, à l'axe d'une rue qui n'est pas la leur, seulement riche en ma possession. Une piéce unique du commun d'un premier espoir, moi qui suis de la dernière goutte, hanté-diluvien, né d'un néphilim et d'une mère humaine, rebelle à mes gênes, mais fidéle à celle qui m'a porté. A moi de rendre son titre, moi qui l'ai quittée pour une autre maison, aujourd'hui déchue. Je me rends à nul part que tout le monde quitte. Le contraire du paradis sur terre, doré au soleil des hommes, faits de murs et de fer, qui ne m'assied plus à sa table, bien trop ronde pour être honnête, même si je le suis. De toute façon je n'ai pas la place et serait bien trop lourde! Je rends les meubles comme des armes et me fais passager des oiseaux tel un omvnitorinx, un ange qui s'est exclu, un pére de Merlin avant qu'il ne soit descendu. Un corbeau d'albâtre des montagnes qui ne casse pas de mine à un canard, moins boiteux que l'arbre qui cache la cabane, d'un nez d'aigle en lieu et place d'un plus camard, à des lieues même des hautes ou basses plaines ou des campagnes. Ou peut-être n'est-il qu'un albinos d'albatros aprés tout, chauffé à l'intincelle divine au dessus des étendues d'eau. Faut voir avec quelle maladresse ils atterrissent, ce qui me collerait bien à la peau, voire la remplacerait. Le secret divulgué aux albatros, qui peut nous la rendre douce!. Comme eux, si tant est qu'ils existent à vos yeux, j'emmigre en V, m'aligne et me relaie, d'un esprit qui me cohabite, jeune et pourtant de milliers d'années. Un V de liberté et d'instinct de sur Vie, pas surfaite, en mon âme et surface, en amont de la vôtre, à l'amant du coeur, à l'avant profond, comme je l'ai écrit par le passé, un projeté qui se réalise aujourd'hui, sans autre buée que due à ma respiration. Des gestes libres de colombes d'avant les ouvertures, des entrées des parcs, des grilles d'Eden. Des esprits immaculés avant d'être souillés de plaies, badigeonnés d'argile et de boue. Des âmes tombées sous l'épée avant que ne tombe le ciel à genoux. Seul je V par delà les bateaux, mon toit comme une coque renversée. Je vogue même au-dessus d'eux alors que vous les croyez libres, faisant grand cap, et moi peu de cas, des bonnes espérances. La mer comme dernier retranchement, alors que j'en ai fait le tour, d'où la brêche comme je la vois, dans le ciel d'aujourd'hui, le bleu sans matricule au dessus des eaux en suspend. Je gouverne, hisse les voiles à mon gouvernail fin comme un balot, haut comme trois mâts et je dumbulle à la dumbo, à la fois sage et sot. Je jette mes antennes, éteins mon scanner et plie ma vigie. Mon ancre à ton ancre, tes maillons à mes maillons, que je monte et que tu transcendes, que nous rejoignons. Une vie de conduite comme je la navigue, bonnant m'allant, du bout en train en fin de pont. V d'Ouest en Est, voies d'Λge, du Nord au Sud, de leurs nids au mien, mon point de repére aux centres cardinaux, à l'envers des oeufs et pour toi, contre vent et marées, dans l'eux sens contraire, me tenant debout, pris aux nues, comme nos mains se prennent. Possédés d'un esprit qui n'est plus d'ici, pour une brêche qui me rappelle, si tu n'y es pas déjà, de bouche à bouche à oreilles, passant de l'une aux autres, ventriloquants, que nous inhalons et qui nous avalent tout d'un goût, qui se déploient en deux. Puis des paralléles se font face, nos yeux demi-clos qui ne s'oublient pas, quand bien même l'on s'évade, de traverses en solitaire, de l'absence d'esprits qui se fusionnent, ou séparés de la présence, parce que l'autre reste au-dedans de nous.

Que semblerait le monde sans toi, maintenant que je te connais. Je mourrais à en crever si je le retrouvais comme avant. Me T'ai, je ne peux m'empêcher. Si tu me quittais, je me quitterais aussi, aussi si je suis parti, c'est pour me rejoindre et t'accueillir, au sommet de mon puits qui fait le beau, le temps, parfois la pluie, comme je suis, si tu me souhaites. S'aimer comme l'on s'est émis.

Mdit:
"1 mot, 1 seul, qui ne peut exprimer ce qu'hier, je vivais et que je vécus, sentis, vis ou ressentais. Comparé ou décrit, le mot, même choisi, serait bien faible et loin de la réalité présentée. Alors je t'écris simplement je t'aime, comme de la veille au lendemain, comme il (l') est aujourd'hui".

Ndit:
"Debout, éveillée, non réveillée, ne jamais se réveillée, vivre Le Songe, Le Rêve. Vivre comme Revivre avec cette certitude de vie ou de mort. Vie en Ta présence, Mort en ton absence, si douloureuse absence! Plus vivante que jamais, qu'à "toujours", plus Amoureuse que jamais, qu'à Toi pour toujours! Avec ce Nous, + qu'1 mélange, 1 fusion. Fusion d'accords parfaits, de corps parfaits (ou presque, dixit P.C). Dans leurs sntmts, leurs émotions (motions 2 censure s'abstenir), leurs échanges, quels k'ils soient (voire soyeux, et soyons... [voire Cendre et Cendrillon?!, nda]). Allongeant les heures, les minutes, distordant le Temps pour de + de V & M, ou V en M, parce ke se quitter, se séparer et + k'1 supplice, même si amoureuses, fougueuses retrouvailles. Pour un Amour de catastrophe naturel, il est un tsunami, une avalanche, une éruption volcanique, un tremblement de 2 Terres. Un raz de marée d'Amour passionel... Je t'aime tant, tellement Mon A mour!!! Toua Toi, Touta Nous!"

Mdit:
"De mon nuage, je te fais signe, ce qui n'est pas difficile, ni de comprendre, ni de m'atteindre, puisque des nuages, il nous est donné d'aimer, et se sont donnés, et nous avec. Sur des nuages, nous avons faits l'amour et la pluie, qui nous renvoient nos images, le ciel et la terre, du coucher au lever, tous deux à porter."
"Bonne nuit N, que mon souffle te porte, comme tu me souffles, mon corps là-haut, aussi parfois tout bas en "rêve", tes mots doux à mes oreilles..."

Ndit:
"Que nos nuages, gonflés de vie, d'amour, de perles de sueur comme autant de gouttes d'eau, étanchent la Terre et l'Arbre. Ainsi la Terre revêtira le manteau nourricié verdoyant et l'Arbre grandira jusqu'ô nuages sauveurs, bienveillants, afin de les remercier en leurs noms. La Terre nourrira l'Arbre qui ancrera ses racines jusque dans ses profondeurs, ses entrailles, pour ne faire k'1. Et comme pour témoignage d'1 réalité dés"or"mais évidente, 1 main divine gravera en lettre d'or sur l'écorce "V+M = Æ" (pour un Amour-Eternel), comme le feraient des enfants. Je t'aime mon Amour(eux) transi, comme je le suis 2 tt ce ke Tu es et seras... Suis dans tes bras, pareille à la nuit passée... Bonnes Nuits, toutes à venir et Avenir..."
"Aprés ces épanchements d'Amoureux acharnés et harnachés l'un à l'autre, j'ai lu la dédicace de ton livre ["Quelle chose étrange que la fin du monde", d'Ormesson, nda(!)] posé dans un tiroir, sous mon lit, mon coeur juste o 2ssus. Y est noté "...pour que l'on reste ensemble..." suivi de petits points grandissants jusk'o symbôle infini, c ce ke tuveux?! c l'Engagement ke tu as abordé 7 nuit, suite à nos nuits (ki ne sont ka Nous)... Gros Bizzzzous mon Bébé..."

(oui, we sweet, des suites à suivre .. °° ∞ )

Mdit:
"Bonsoir N, espérs que tes journées d'"office" se passent bien, de lunes noires pour ma part, (indépendantes de ma volonté)du monde internet en rade, cinéday à la main, plusieurs mains, lecteur CB hs, pbl confiserie, caisse pi r'encore, avec (...) pour couronner le tout, (sans te parler (et te l'avoir écrit!) du syndrôme client/roi envers moi, membre du personnel, qui s'efforce à la fois d'être efficace et courtois, au rendement sans rentre-dedans), (et tjrs pas de nouvelle d'une retraite aux bougies où je pourrais aussi te poser)... Un jour fait pâle l'autre. Heureusement qu'on a la nuit pour "réparer". (...). Bonne nuit mon Amour, je pense à Toi, jour, même comme celui-ci, et nuit, "comme" toutes les nuits, trés fort dans ma tête, je t'embrasse."

Ndit:
"(...)!, 6non, Mon Bébé d'Amour, la Nuit sera, comme elle peut l'être sans Toi, ni Bonne et surtout reien du tout, insignifiante, car tu n'es pas là! Une nuit sans Toi c comme une riviére sans diamants, un cien sans étoiles, un été sans soleil, une rose sans parfum, ou dans le T'aime du moment, un sapin de Noêl sans cadeaux! Devrais dormir, mais peux pas, T'es sans Moi & Moi sanbs Toi. Suis si bien lovée dans tes bras, ...Eden quand j'y suis, Enfer de ne plus y être et d'y avoir goûté... Un Enfer renfermant Le sabler qui nous rythme et nous anime, gardé par un cerbère Maitre ES Temps! Dieux que je maudit ce Sablier, lui si relatif! Son sable nous échappe, nous glisse entre les doigts lorsque nous sommes, et colle, bouchonne lorsque nous ne sommes plus. Un Sabler à détruire pour faire de son sable une plage au soleil levant ou couchant (selon notre humeur), qu'à Nous et que pour Nous? Nous Robinsons de l'Amour, échoués pour touj... TM"

En reproduisant ici l'échange, ce n'est pas veiller debout à mon image, dos à ton image, fier sur mes deux sabots, dessus tes petits pieds, mais de garder par écrit l'emmersion comme l'immersion d'immo d'air'et de passions, qui NOUS habitent, NOUS animentent, nous fait s'évader de nos gonds, aux rendez-vous des artistes en herbe, aux galants des chevaux sur la berge. TMoi comme MToi, un tout qui comme unique, aim'être à LA ronde, MI FA liés, comme ils le sont à la portée. Même si ce n'est pas Versailles, avec faste et courbette et tout le tremblement des accompagnements, genre Haendel à la cause de la couronne sur ses Water proufff. Un joint suffit, dans le même bain, même un joint qui fuit, parce qu'un joint fait pas tout, comme l'or sur la plume ne garantit pas nécessairement l'immortalité, que dans le m'a tu lulu des nécessités, du moins "chez" certaines. J'écris cela pour plus de contraste avec les robinets trop voyants, de ces portes pégnoirs plaqués qui murent les prisons, aussi brillantes que les pupilles d'écervelées (mais promis, je ne touche pas aux radiateurs et t'en mets un ou deux de côté, frileuse comme tu es, comme un bémol ou un diése entre deux notes, Mi Fa pour ne pas les rappeler, au LA du diapason comme des ondes calor). Qu'importe le canal tant qu'il y a de l'âme, même si la pluie est froide ces derniers temps. Nous sommes dans le même bain et pas qu'une fois l'an, familier, et pas seulement parlant, mais toujours écrit, comme on se le dit, et le fait souvent, à la bonne fortune comme à celle du pot, comme l'eau désaltére et nettoie, élimine parfois... (faudra quand même s'y essayer un jour au sens premier, prendre un bain ts les deux, l'un de nos pieds dans le même sabot, je te laisse choisir!) Mais diable aux pieds fourchus, pas de ces baignoires clinquantes et flashy, grandes à trois syphons, à trois étoiles, aux trop pleins de robinets qui font tourner les têtes, à se visser le leurre et se pendre au collier, avec l'apparât des puissants, confortablement installés dans leurs lectures, touchant du doigt l'excitation qu'elles procurent, d'intrinséches propriétés. Pas de ces Fantasy de collection d'Arlequin renouvelables qui ne font toujours pas dans le chanvre mais qui s'essayent au marché, du Néo-roman photos des recycles d'Arthur et de sir Lancelot, tous deux bobos beatniks en tenue Dark-amant transpirant la grotte plutôt que d'Armand' ambiant nu sous ses cocottes. Raffinerie des parois, des riviéres à sorcières, des mines à déments, l'ancien paysage balnéaire transformée en station d'épuration lovenique arkanienne.... Un faux-semblant de vernis de savon de baignoire qui ne le serait plus, qui ferait glisser, retournait et noierait dans les méandres les esprits qui écrivent l'histoire... - "Au nom d'Archiméde!, de vif à mort, de ma baignoire devenue ma tombe, qui ose troubler mon tromblon de sa douchette, qui ose flouer mon image à la croisée des trouvailles et des conduits?, fussent-ils étranges à vos yeux d'étrangers, au lieu de renflouer le fusionnel dans les intimités, l'imaginaire à l'original, du vrai de brut que l'on sculpte à son image, comme il peut être dévoiler, "partager", un jour ou pas, si tu le veux..." De l'imagination débordante d'une et d'un seul, ou d'une collectivité, d'un côté comme de l'autre, privée ou rendue public, à deux ou à des milliers d'exemplaires. Se concrétisent, se voient pratique, les images de leurs réalités, qui se reportent, se rapportent, des relectures parfois détournées que nous nous réapproprions, comme des références au passé, un passé rendu actuel, ou de notre présent nouveau, que des enfants viendront piocher... Un état naturel que nous nous appliquons, selon des lois universelles, comme d'un corps plongé dans l'eau, à l'Amour que l'on se fait, aux extraits de déluge, à la pluie qui nourrit, à l'arbre à nuages, au sable des mers, à Toi et moi..., pour en venir et en revenir toujours à nous parce que l'on s'aime, comme on s'offre et donne le monde quand c'est comme ça, de tout ce qu'on a trouvé de plus précieux en lui! Je T'aime et m'inspire, de toi et de ce que tu m'écris, mon Amour, Soeur à mon Ame, aussi bien quand tu t'exprimes, en lettres qui me sont capitales désormais, comme en toute simplicité, culte et cultivée, tes départs en quête, d'amour comme tu l'es pour moi, comme quand je te découvre, et prends soin de te lire, comme l'on prend son bain, se pâme sous la douche, seul d'habitude. Je n'ai plus à me cacher aujourd'hui. De l'eau bénie qui purifie, je n'ai plus besoin... ...D'amour et d'eau fraîche comme on dit.

[Dans la foulée de mes "petites" retouches, Ndit:
"D'amour et d'eau fraîche "avec Amour en eau chaude", visiblement. Décid'aimant notre album regorgera d'images inédites et inoubliables! Quid'ébauche l'autre? S'il faut (le) vivre, alors vivons, puiske nous le sommes de nouveau (d'1 grâce bénie réciproque). Tantra, Tantra pas, je te promets aucune frustrante coupure (d'eau?!) (7 fois si, promis)...]
...
Mdit:..., euu, ne dit rien, mais n'en pense pas moins, et comme jonction à ce que tu m'envoies, miaou je citerai un texte ancien encore "exclusif" qui irait bien là aussi, en attendant mon retour de chez le buraliste, parce que, comme tu le sais, je n'ai plus d'unités, grrrr!!!, frustration, tu peux pas savoir, ou plus savoir av ton récent forfait d'illimitée, et moi, ben non, + l'air encore maintenant, alors, puisque c comme, euu, c comme ça, je relèverai le défi, puisque tu m'y autour rise, no more comment, si ce n'est ce petit texto qui date un peu, mais qui se veut encore plus d'actualité.. "C'est pas qu'il pense avec, comme il cogite, mais quand il pense à elle, parfois elle s'agite...", euu N, tes textos comme des miens sont de plus en plus interactifs, même un sceau d'eau me suffirait plus, j'suis plus sûr de rien, eeuuu, et paradoxalement, à ne pas s'en inquéter mon Amour, si tu vois CE QUE JE VEUX!!!... dire...]

Et si notre histoire peut prêter sujet à caution, par nos écrits nous la jurons fidéle... Aprés, peu importe ce qu'ils deviennent entre d'autres mains, d'y croire ou non, sous d'autres yeux, comme d'y mettre fin. D'un côté de l'histoire deux passagers, de l'autre des passages clandestins ... Un passe-partout et puis des clés, notre monde comme il en est plein, partiellement divulgué, qui reste à découvrir et qui le restera longtemps, avec tant de choses qui nous surprennent déjà, et qui nous surprendront encore. Impossible de savoir précisément mais dieux qu'"ils" sont beaux, chauds, vastes et vierges, si vous saviez, pas permis comme c'est pas fini, dans nôtre monde à nous!!

Mdit:
"Coucou mon Bébé, je suppose que tu es levé depuis 1 p'ti moment, que tes mad'leines-café sont avalés... Alors j'prends just 5mn pour te souhaiter 1 meyeur journée k'hier et te dire 2 faire fi 2 tt c'ki peut t'faire chier, car suis avec toi (invincible, com dirait Muse). Bon bref, 1 excellentissime journée (même si moi pas là, flaton, flaton, peti patap...) pour mon bébé et surtt, le Most import: "Je T'aime". Bizzzzzous mon Coeur."
"Salut mon Bébé, juste un p'tit mess. pour te dire que j'pense à Toi, aux nuages qui sont autant d'aires de jeux, de plaisirs délectables, de repos pour l'autoroute du Bonheur et tout et tout... Et pour te dire aussi que je t'aime!!! Plein plein de courage pour tes qq dernières heures (t bientôt en W-E). Bizzzous mon Amour..."
"Si l'Univers, le Monde devait se refaire, il se ferait à notre image, il serait animal, végétal, minéral,... subliminal. Animal, tels une proie un prédateur, un prédateur une proie, selon notre Envie, notre bon vouloir, on se cherche, on se trouve, se délecte du goût de l'autre. Minéral comme la mer, l'océan charie les frileux galets pour que sable chaud deviennent, ou comme le frottement de 2 plaques peut donner naissance à une montagne, jeune, cachant, voire préservant, un sommet au dessus des nuages, que seuls 2 privilégiés de l'Amour peuvent atteindre. Végétal comme l'Arbre peut se nourrir de la Terre, tout comme lui peut lui insuffler la vie, elle se renouvelle de ses feuilles, devient humus, humour puis Amour, dans un cycle éternel. Enfin, Subliminal, puisque l'on se fait du bien, sans mal, l'un-l'autre, notre conscient inconscient (peut-être) en demande 2 l'autre, avec, dans et au quotidien, des images de Nous qui se greffent en continue, et tout ça parce que nous nous sublimons! Alors si l'Univers me condamne à T'aimer, je veux bien prendre perpétuité et rester menottée à Toi! Je t'aime mon Amour, tu me manques terribl. voire horriblement! Je t'aime et te souhaite bonne nuit, ossi bonne soit-elle."

C'est Là, comme longtemps depuis déjà, se rendent comptes, même s'il n'y a pas engagements comme tu l'entends, ou soumission au sens où va le monde, combien dans l'arbre à feuilles qui fait les nuages, l'on est responsable l'un de l'autre.

...

Mdit:
"Je te vois ce soir aprés ton taf, au contour d'1 biére, je sais que tu aimes et diras pas non, sauf prévu qui m'était imprévu, c le gage de ceux ki s'engage comme du premier des ki demande 1 rdv (mi-lol!). Tu finis "bien" à 10h30 ou 11h?, bah, à 1 demi-heure prés, ça me laisse de la marge... Je t'embrass & bon courage pour ce soir... (avt moi?).

Ndit:
"Ensoleillement qui ne vient pas l'extérieur, mais 2 l'intérieur, d'1 p'tit appareil ki vibre (mon bigo j'entends!). Ayé, ai la pêche (pu de saison mais avoir la clémentine, la chataigne ou la girolle ne sonne pas pareil). 6non, normalement c 10-30! Besoin 1sassiable 2 me voir (des fleurs dès le matin!) ou raison ki necessite (orties chagrin)? J''suis motivée moi (2 si bonne heure???). Un V sur Zi font M (comme nous le faisons parfois) TM fort!!!"

(¿?)

Ndit:
"C'est sur un(e) mess(e) LACONIque, que je souhaite à mon NOUNOURS, ...PRENELLE de mes yeux, que le MARCHAND DE SABLE soudoie, une BONNE NUIT, LES PETITS AMANTS se feront nuits douces. (Je t'aime Mon Amour), ça va, pas trop short à en mourir?!"

Mdit:
"Ton doux message m'est servi au réveil qui monte comme une note jusqu'aux oreilles et me donne envie de refaire la pareil..., (merde!, quand mêm 11h30!), ton décalage horaire (annuel?) sur moi. Msnackcre."

Ndit:
"Levée à une, à une heure, mais préférerais levés à deux, à quelque heure. Alors, Grace matinée Petit Coeur?! C'est bien, Kelly contente, car le guerrier doit se reposer. Et oui, 19h (de 19 à 23, ndr), grosse journée en péperspective!! A ce soir Petit Coeur et gros baisers nacrés..."

Mdit:
"Rire aux éclats, puis, aprs s'être repris, entre silence & music, 1 larme cool, du front de ses yeux, en demi-ton, un mono log(u)e à ta porte ki s'adresse à toi comme si t'étais là, & t'écrit ce qui suit: ni fantasme ni folie, puisqu'il agit en mon nom. Pas le "ça" des fantasmes mais le Moi des JE T'aime, N, heureux passionnément."

(NEWS! Chocolats qui me seront offerts aprés quelques autres échanges cités plus bas, "Cémoi c'est tout toi!", au packaging affriolant, qui s'ouvre mais pas tout, pas tout de suite, surprise au palais des coeurs craquants, marqueurs marquants sur notre carte. Plus qu'une pause, un jalon, une borne, un lieu-dit sur notre voie lactée, notre universaire histoire. Quitte à vivre dans un monde de brute, faisons nous notre propre publicité!, et puisqu'on nous assomme d'image et de symbôle, autant se les approprier, leur donner un sens, qui irait dans notre lien. Privatiser sans se priver une marque de chocolat copteright et se rappeller que nous sommes les seuls maitres au monde sur des millions de Cémoi devenus seuls, notre propriété... Aussi de palier à nos abs, Toi au super-marché, ou lavant et repassant le linge de ta maisonnée tout en ne séchant pas ta league "watchtowere" society, de ton manoir brainstorm cerebro isolé, happe-prenant au cours par cours comme au cyber-café-clope, de tasses et de taffes prisées, fumant sur une subcursalle délockée de sa trappe, tes postes aux avant-postes, sûre'équipés télémédiatiqueness, aux connections de guildes et ta guise aux réseaux, paradoxalement avec ton mousecomputer au seul coeur de péta sans flops (parce que malgré tout, tu as su rester les pieds ancrés sur mer!)..., et moi, ben moi balbutiant "beuh ba buseness b associés" du jargon des agents de confiserie de sa majesté, commerçant bec et ongles, sucrés colorants, tapant sueur et gouttes, plutôt parlant des lévres et des mains, d'un moi profondément tactile et sans écran, pendu devant mon arbre à bonbons à faire bonne figure d'Haribo sorti des sachets sinon j'étouffe, ma préférence aux vracs comme je me disperse, ou coucher aprés le taf dans ma souche ou ma chambre à penser, avec pour tout dernier cri, mon hublot plasma séché de 99 "TCO"(hé!), "ecology energy garanty", aux émissions plus qu'ergonomique...!!!)

Ndit:
"Encore 1 excellentissime soirée parce k'avec Toi! Des mots, des sentiments, des passions partagées, fruits 2 ce ke tu m'inspires, com tu peux ossi m'aspirer. Rien 2 langue 2 bois Tout 2 langue(s) vivante(s), et bien vivante(s). A tt à l'heure, je t'aime mon Amour!!!"

Mdit:
"N, MA VENUS, MON SOUTIEN, JE T'AIME COMME INVINCIBLE, UN "EROS", A DEMI TOI A JAMAIS INDEFECTIBLE"

Ndit:
"Toi demi Moi & Moi demi Toi! Un Nous, 2 personnes singuliéres aux yeux 2 Vous. Un Il & Elle à conjuguer au Présent et ki sait au Futur! Un Je & Tu Plus que Parfait(s), 1Conditionnel(s) l'un l'autre! JE T'AIME ET T'AIMERAI, ET T'AIMERAI, ET NE LE DIRAI JAMAIS AU PASSE; car le Temps et avec Nous!!! Repose tes membres fatigués, mon Petit Coeur tant Aimé. Une Bonne Nuit à Nous, pour une Bonne Vie à Nous!!!"

Ndit:
"Déscidémt, le best des réveils se sera fait avec Toi, dans tes bras!!! Je T'aime!!! N..."

Mdit:
"Bouuuh!, moi ce matin, obligé de me levé + tôt, je serais bien resté + longtemps, c'est comme si on me les av arrachés, je compte sur toi pour me les rendre, mes membres, av bizou qui "colle" et guérit"

Mdit:
"Je viens de lire ta bd à ton nom, de la collection "Encyclopédie des Prénoms"... Des "!!!" d'incredible (english version) & de crédits (VF), !!! sans arrêt, que j'me suis fait, sur chacun de tes traits de tes caractéristiques, une Encyclopédie à Toi toute seule !!!"

...!...

Ndit:
"Si petit Coeur sommeille, dites lui bien que de notre nuage je veille. Je déposerai sur ses yeux de doux baisers amoureux, pour que sa nuit soit de voyages heureux. Alors je m'y ferai tendre passagère, et partagerai avec Lui, escapades buissoniéres. Bonne Nuit Mon Coeur... Ta Bergère passagère"
"La bergère désespère car le sommeil se perd! Le sabler brisé me laisse en tessons de cloches! Le coeur de l'horloge tourne lamentablement dans le vide, les aiguielles se font trotteuses et gambades pour ceux ki songent! Le marchand de sable est en vacances, dans chateaux et "pathé" il se lance (k'il s'y écrase!)! Le tic-tac n'a + la tactique! La berceuse c fé avoir, à s'entendre chanter, L c endormie! La p'tite histoire du soir é un livre à pages blanches! etc etc... Juste kelkes aphorismes pour dire ke j'arrive pas Dormir (en t'espérant une nuit + cl'aimante)!!! Grooos Bizzzzous mon Coeur, en attendant j'attends... (j'vé etre bien c'soir)... N k'arrive pas à faire DODO (saleté de piafs, izont d'la chance d'etre ét1 parce ke bibi te les orait soufflé!!!) [shrek alors?!, ndr] Bizzzous Béchots..."

Mdit:
"...? Tu vas me tuer si je te dis que moi, j'ai bien dormi? (av besoin), je me suis mm re-dormi une seconde fois, à demi-rêve, aprés lecture de ton 1er mess, mon précieux mono-light à portée, 03h00 qu'il était... Quoi dire mon aMOUr, qu'aprés m'être envoyé de sol à Morphée, moi qui te croyais av moi, tes traits, à t'en croire et te lire, aux siens, réappropriés, la salope!(jok). Serait-ce le côté obscur des métamorphoses comme de certains changements?..., bien que l'on a tjrs été 2 la nuit ts les 2, je ne te câche pas ts le plaisir, que dis, ts les plaisirs d'1 sommeil de grande (et à son) origine, ce qui me renvoie au début, non sur les roses, pas encore, mais désolé, vraiment, alors que je repassais notre bande sous ma couette, sous 1 toi où même la propriétaire n'y était pas. Questions. De quel propriétaire parlons-nous. Et de quel propriété? D'une maison, du royaume des songes, du monde de la nuit, du "toi" sténographié en question d'1 moi égoiste, ou inversement, ou plus "simplement" la montée en puissance d'1 déca décalage biologique et émotionnel, comme cela m'est déjà arrivé et ns arrivera encore. Le plaisir et son revers de pin's [Pim's?]. N, je t'aime et me donnes souvent envies, mm qd seul à y penser..."

"Seul toi que j'aime, ton corps en différents visages, sous de multiples facettes, aussi le tien propre comme il t'est sous tte tes coutures et ds ttes mes situatioons..."

"Coups rages, haut des espoirs, ta reprise pr ce soir, tiens la rampe mon Amour, mon A mantes, douce et brute. Beaume au coeur (ou chocolat! [prémonition?, écrit avt kdo choc, ndr]). Je te fais plein de Smacrunchs, avt que tu ne me mordes, avt que je ne "meumeurs". (S)Shake'spear, "Rango & Mouse", extraits.

Ndit:
"Si tes mess me font chauds o coeur, tu sembles avoi chaud ayeur (la torride hate'ant(r)e 2 me revoir peut-être, dit-elle petite péronelle). Et même si je m'égarais dans les limbes 2 la nuit, à la recherche d'1 temps de repos perdu, tu n'étais pas seul sous ta couette, Moi avec Toi! L'oeil bienveillant, je veillais sur toi, endorMI, ou SI(este) ou LA(-bas), 1 vrai mélodie du bonheur (pour toi)! Mais ma nuit dansait + sur 1 "Requiem for a dream" (va sur youtube écouter, si tu connais pas, tu capit'ras)! Soit plantade 2 titre, soit plantade symphonique, avec moi en plan insom(a)niake [Rappelons-nous ce que l'on s'est promis par la suite, à juste ce titre, le revoir ensemble, vie à divide-dvd, (et pourquoi pas lost in translation?)..., rajout ndr]. (...). Bizzzzois Courtois (+++ encore ou en-coeur) Mon Coeur... TM"

...

Mdit:
"Glop! J'ai Hâte 2 partager 1 autre de mes chocolats av toi, de la boite que tu m'as offerte! Notre gourmante et réciproque Empathie!"
(suite à ça, autour d'une boisson, euh, pas vraiment chocolatée mais bon, comme tu m'av fait la réflexion, discution sur l'altuisme du rongeur découvert récemment, particuliérement de la femelle. Ses copeaux de chocolat pour son repas servis sur un plateau, pour elle toute seule, son compagnon enfermé dans une boite transparente à côté. Repas copeaux copieux qu'elle entame (parce qu'elle aime faire la pétasse) puis, ds un cas sur 2 (c'est moi le 2 mais je m'en fous, la suite est à mon avantage), elle se donne le "mal" de le délivrer et de partager son repas.)

... (même ds une voiture, Dieu Vigil, vs n'avez pas de droit sur nous, c'est comme une violation de domicile!... )

Musique en avant!

Mdit:
"N, MA VENUS, MON SOUTIEN, JE T'AIME COMME INVINCIBLE, UN "EROS", A DEMI TOI A JAMAIS INDEFECTIBLE"
(mince!, "invincible" j'av dit!, comme la chanson de Muse, sans m'en rendre compte, (comme + tard, le soir où tu m'av demandé si je l'avais fait exprés, ma face "non" posée sur un oui!, je te jure que je n'en pensais pas un mot, enfin ds le sens où je ne les entends pas, même si je te lis et m'en nourris, d'une alimentation qui influe sur le comportement comme de ce que l'on écoute, faut croire, et des voix...). Un espéce de sub-cube (cube zéro!, la cause aussi au dvd que tu m'as offert?!) de mon conscient aveuglé aux multiples de tes présences, diantre!, je ne vois pas d'autres explications, sans nul doute, la raison à toute cette "profusion", parcequ'en ++, à la moindre solitude et par manque de toi, je me repasse tes textos, comme pour mieux te sub-inhalés, sans savoir que tu pouvais m'être du Muse ré-arrange ds mes encas!, que j'avale comme de protéines, tonique cependant, d'une jeunesse gentillement pervertie..!). Comme tu reprends certaines de mes images anciennes pour mieux les ingérer, les tolérer à ta digestion, et t'en servir aprés tout, lavés des dessoupçons, régurgités "sous" ta plume, aprés tes coups de bec et de pieds dans mes plats. C'est fou de l'an vingt!, ce don d'une seconde jeunesse accoutumée aux cantiques comme aux chansons, aussi profanes qu'ainsi soient-ils, affublée de messages d'amour bleu blanc noir, qu'on les aime, les aimait ou non. Des versets ritualisés, laissés ou jetés dans la fosse, toutes ces versions reconverties, comme d'une nouvelle religion que l'on s'est faite aujourd'hui, fêtes nôtres, théo-bio EPthique, même si tu es parfois cucul et moi praline aux yeux des bourgeois, aux nez des grincheux, qu'EP n'ont pas ("- EPê?..., aPA"!, (n) noob-right!) (euh, et puis moi non plus d'ailleurs, pas même un seul des huit titres inédits, pour moi plus encore, faut pas déconner!).. Merle on s'en fout!, comme on l'est sûrement, mais je ne me moquerais plus si j'en vois des comme nous, pétillant la chamade, le coeur à pomme, des cambrais d'amour, des bêbêtes de chaleur en plein soleils couverts de bonus, gazouillant et se bécottant sous les fenêtres des passants comme si de rien n'était de leur balcon... DIEUX! FAITES EN SORTE QUE JE NE JURE PLUS DE RIEN!... et de nous laisser "partir", ensemble mais chacun ses disques, si ce n'est pas trop demander!!!, ...euh..., ...?, oui dieux, même si faut jurer de rien...) (TM!!).

Ndit:
"Virgin suicide - Forever young. Dansons avec élégance Dansons pendant un moment Le ciel peut attendre Nous regardons seulement les cieux Nous espérons le meilleur Mais nous nous attendons au pire Vas-tu lâcher la bombe ou pas? Laissez-nous mourir jeune ou laissez-nous vivre pour toujours Nous n'avons pas ce pouvoir Mais on ne dit jamais, jamais En étant assis sur un tas de sable, La vie est un court voyage La musique est pour les hommes tristes Peux-tu imaginer quand cette course sera gagnée? Tournons nos visages d'or face au soleil Faisons honneur aux dieux Nous sommes dans le ton (en harmonie) La musique est jouée pour les hommes fous Eternellement jeune, Je veux être éternellement jeune Veux-tu vraiment vivre pour toujours - à jamais Certains sont comme l'eau Certains sont comme le feu Certains sont une mélodie, d'autre le battement Tôt ou tard, ils s'en iront tous Pourquoi ne restent-ils pas jeunes? C'est si dur de vieillir sans raison Je ne veux pas périr comme un vieux cheval fatigué La jeunesse est comme les diamants au soleil Et les diamants sont éternels... Tant d'aventures ne pourront pas arriver aujourd'hui Tant de chansons que nous avons oublié de jouer Tant de rêves balançant hors du bleu NOUS LES REALISERONS (vivre maintenant, demain sera trop tard,... je t'aime +... Mon Coeur... )

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