Déterrage de blog
Cette année, le TGS aurait pu avoir un visiteur de moins en ma personne. Tommy et Hayward ne pouvaient pas venir et sans eux ce ne pouvait pas être pareil. Alors que j'étais résolu, Océane (ma nièce) me demande de l'y emmener. En bon tonton que je suis, j'accepte. Un geste que je ne regretterai absolument pas car je vais réaliser un vieux rêve de gosse joueur.

FIRST CONTACT:
Changement de taille pour le TGS: son emplacement. Exit le pourtant très sympa espace Diagora devenu trop petit, bonjour le parc des expos. Au vu de l'affluence des années précédentes, cela ne pouvait qu'être une bonne chose. Et pourtant,cela va mal commencer. J'arrive le samedi (seul jour possible pour moi) à 9h et déjà le parking principal est archi-plein et les parking annexes condamnés. En fait, un match de rugby aura lieu l'après-midi au stadium de Toulouse juste à côté et ces parkings ont été réservés pour les supporters. Bilan, les festivaliers vont devoir se garer où ils peuvent et parfois loin (1km en ce qui me concerne). Un soucis, à régler pour la prochaine édition, qui n'existait pas avant.
Nous arrivons donc à la file d'attente très longue. Je croise un voisin . Après 5minutes Océane et moi prenons la file de ceux ayant déjà leurs billets. Cyril (le voisin) prend l'autre file. Nous nous donnons rendez-vous à l'intérieur/ il est 10h30. Je n'aurais de ses nouvelles que 3H plus tard. En effet, si il ne nous faut que 30 minutes pour profiter du salon, ceux n'ayant pas pris leur billet à l'avance en sont pour leur frais, sous un froid de canard en plus.
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A L'INTERIEUR:
3 grandes salles accueillent donc cette édition 2012. L'avantageux gain d'espace se fait sentir: on circule bien mieux sauf au devant de stands très prisés comme celui de Marcus, Le Joueur du grenier ou NOOB dont la popularité de faiblit pas. Comme d'habitude, les stands de Mangas et animés se taillent la part du lion, les jeux vidéos un peu moins (vente et espace dédiés), sans oublier plusieurs stands "culturel". A noter qu'un espace "Retrogaming " était prévu mais je n'ai pu y mettre la main dessus (le dimanche peut-être) ce qui me déçoit pas mal.....
Shows musicaux, cosplays, projections d'animés, conférencse et multiples quizzs sont toujours de la partie. A noter un plus grand nombre de stands de restauration pour la plupart "asiatiques".
J'essaie de contacter Yaone mais elle ne sera pas présente sur le salon cette année. Tant pis, c'est le seul moment où je peux la voir.
On se promène, on bouffe et on fait pas mal de lèche vitrine: le temps passe bien vite

Après quelques achats "rétros" pour ma part et musicaux pour ma nièce, je file vers le stand de Pix'n Love. Je prend le bouquin sur SONIC et au moment de payer, je vois J'M DESTROY (ancien journaliste de JOYPAD, MEGAFORCE et plein d'autre). Mon sang de vieux gamer nostalgique se met à bouillonner. C'est comme un gosse que je lui demande une photo souvenir et tout ému que je pose à côté de lui...... Pour moi, ce mec vaut tout les Joueurs du grenier du monde alors imaginez.....
Puis viens le moment de partir et de rentrer à la maison. petit passage devant l'entrée qui accueille ceux n'ayant pas acheté leurs billet sur le net pour m'apercevoir que la file est encore bien longue en cette fin d'après midi.

AU FINAL:
C'est donc tout penaud que s'achève pour moi cette édition 2012 du TGS. Pas grand chose de bien neuf cette année mais un final en apothéose grace à Pix'n love et si je n'avais qu'un souhait à faire pour l'année prochaine, ce serait que AHL, l'autre grand de la presse vidéoludique, soit aussi présent et alors là je serai plus que comblé.

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