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The Legend of Zelda: A Link to the Past

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The Legend of Zelda: A Link to the Past
Cette review est inutile.
A quoi bon revenir sur un jeu déjà retourné de fond en comble par la terre entière ? Il va encore falloir se replonger dans la guerre Sega-Nintendo de l’époque. Revenir sur la magnifique leçon que ce titre a imposé à la concurrence. Réviser les fondements d’une série incroyablement populaire, ... Non, franchement, ceci n’est pas un test. Bien trop superflu.
Plutôt un souvenir de joueur. Celui d’un temps où nous avions des myriades d’étoiles dans les yeux, où nous vivions littéralement l’aventure de Link. Un temps, ... foutrement révolu.
Nous sommes le 21 septembre 1991, le jour où Nintendo nous a mis la claque.

La base même du royaume d’Hyrule

Une nuit d’orage.
Link reçoit un message télépathique de la princesse Zelda. Il est temps de la sauver. Seulement l’oncle de Link n’est pas de cet avis et impose à notre jeune homme de rester au lit. Faisant fi de cette recommandation pour le moins absurde – Link est un héros tout de même ! – notre garnement se précipite au château délivrer sa douce. Il y retrouve son oncle, salement amoché, qui lui confie son épée. Pratique pour tuer du cochon maléfique.
Cinq minutes plus tard, Zelda est avec Link. Mission accomplie.

Première rupture et énorme pied de nez à la plupart des jeux d’aventure de l’époque : sauver la princesse n’est plus le but ultime de la partie mais une simple formalité d’une quinzaine de minutes. Complètement anodin de nos jours mais sacrément étonnant pour l’époque.

Les surprises scénaristiques de cet épisode reposent uniquement sur ses principes de narration. Et quand on connaît un peu le bonhomme en charge du projet, Shigeru Miyamoto, dur d’être surpris. Tout doit servir le gameplay. On construit le scénario sur des bases solides de jeu et non l’inverse.
Le résultat ? Une aventure variée relançant sans cesse l’intérêt du joueur. Une princesse à sauver qui se transforme en chasse aux médaillons pour ensuite traverser les failles spatio-temporelles, retrouver divers cristaux et enfin, la pyramide.

Le scénario tient sur quelques lignes. Il est simple dans son fond, novateur dans sa forme. Et pourtant l’aventure est riche, variée et prenante. La preuve par Miyamoto que la richesse d’un jeu vidéo ne se traduit pas par un scénario complexe et alambiqué mais par la juste alchimie entre une narration intelligente et un bon gameplay.
The Legend of Zelda: A Link to the Past
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The Legend of Zelda: A Link to the Past

Un gameplay entre modernité…

Ce troisième volet reprend la vue aérienne du premier Zelda. Un retour aux sources bénéfique qui, lié à une multitude d’ajouts novateurs pour l’époque, arrivait à nous offrir une sensation de liberté encore rarement vue.

On disposait de grandes zones de jeu dans lesquelles nous pouvions enfin nous déplacer en diagonale (!), un scrolling remplaçait les écrans fixes des maps, une toute nouvelle interaction avec le monde s'instaurait. On pouvait couper les buissons (!), taper des poules pour la première fois dans la série (!). L'inventaire était enrichi, des bocaux sont apparus pour contenir plusieurs items distincts (et quelques fois étonnants), on visitait une multitude de grotte secrètes, l’ocarina permettait de se téléporter et surtout, on se souvient du jeu des deux mondes parallèles, l’Overworld et le Darkworld.

Véritable idée majeure de cet épisode, Link peut désormais, grâce au miroir magique, se rendre dans un monde parallèle. Les cartes sont sensiblement les mêmes, mais le monde des ténèbres, lui, est en proie à la dictature de Ganon. Ce qui, bien évidemment, joue considérablement sur l’aspect de ce dernier. L’intérêt est que certains chemins inaccessibles dans l’un le deviennent dans l’autre. Et inversement proportionnel. C’est futé ! Et surtout très plaisant à parcourir.

Du coup, on ne cesse de passer au peigne fin chaque pixel de ces deux mondes pour y dénicher le petit passage caché qui nous amènera bien gentiment au prochain fragment de cœur. Encore aujourd’hui, bon nombre de jeux se cassent les dents sur ce genre de concept. A Link to the Past, lui, non. Un incroyable level design, jamais compliqué, jamais frustrant. L’exploration reste plaisante et fluide tout en restant incroyablement cohérente. Du génie.
The Legend of Zelda: A Link to the Past
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…et traditions

La formule globale est calquée sur celle du premier opus : une zone d’exploration immense délimitée en sous-parties, celles-ci accessibles grâce à des objets bien précis trouvés dans des donjons ou annexes. C’est simple, c’est bien. Pour le reste, on équipe nos armes au bouton que l’on veut comme bon nous semble et on part taper du monstre dans Hyrule pour retrouver les médaillons et cristaux.

Et il y a de quoi faire ! Ce troisième opus reste encore à ce jour le Zelda offrant le plus de donjons au joueur ! Pas moins de douze majeurs devront ainsi être franchis. Chacun avec son lot de monstres, de demi-boss et bien entendu, de big boss. N’allez pas non plus croire que ce nombre élevé est alors synonyme de facilité déconcertante. Si l'on n’atteint pas la difficulté d’un temple de l’eau d’Ocarina of Time, les derniers donjons d’ALTTP restent suffisamment retords pour mettre vos quelques neurones en ébullition. Une multitude d’étages, des environnements et textures bien distincts (glace donc glissades – sable donc sables mouvants – eau donc noyade – etc), ... On retiendra alors l’apparition d’idées géniales de level-design comme par exemple le fait de pouvoir tomber du second étage au premier, tout en gardant son placement sur la carte (engendrant alors toute une nouvelle mécanique d’exploration) ou encore la gestion des « étages » sur un même plan (un monstre sur une plateforme en haut d’un escalier ne pourra vous attaquer).

Tout cela tombe aujourd’hui sous le sens, mais en 1991, c’était nouveau et faisait d’Hyrule un univers gigantesque.
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Le souci du détail

A Link to the Past était beau sans être une tuerie graphique. Seulement la cohérence globale, le souci du détail et sa diversité visuelle en faisait une œuvre marquante.

Dès les premières minutes de jeu, par exemple, où l’on contrôlait un Link courant sous l’orage et la pluie. Les bruits de ses pas, le vent, les impacts des gouttes de pluie sur le sol, etc. Autant de petits détails qui servaient l’ambiance tragique de l'introduction.
De plus, il était évident que ce titre se devait d’utiliser les nouvelles features de la Super Nes. Mais là aussi, ce fût avec parcimonie, sans jamais en mettre plein la vue : le mode 7 présent lorsqu’on inspectait la carte du monde, les effets de transparence dans les Bois Perdus, diverses distorsions pour les warps et passages vers le monde parallèle.

A Link to the Past n’était pas une explosion de couleurs et d’effets en tout genre dans le seul but de nous décrocher la mâchoire. C’était plutôt un ensemble de petits détails qui venaient s’emboiter les uns aux autres et qui, au final, rendaient cet univers si réussi, si agréable et surtout, si marquant. C’est d’ailleurs sans surprise que ce Zelda reste un des titres de la SNES qui vieillit le mieux, facile d’accès et toujours agréable, quand un Soul Blazer pourtant diablement calqué dessus se prend un méchant coup de vieux.
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Un Koji Kondo magistral

Si Akito Nakatsuka avait pris sa place pour The Adventure of Link, c’est bel et bien Koji Kondo qui fut en charge de cet épisode.
Et quand on remet ce monsieur aux commandes et que la puissance du processeur audio de Sony lui permet d’aller plus loin dans ses compositions, on se retrouve à écouter des morceaux d’anthologie comme Overworld, Kakariko Village, Dark Mountain Forest ou encore Hyrule Castle. Certains tous droits tirés de The Legend of Zelda mais transfigurés ici pour une expérience vraiment unique.

L’OST de ce troisième épisode est de manière globale très « lourde ». On donne ici dans le mélancolique et le dramatique. Toujours avec des mélodies percutantes et marquantes, mais avec un son sourd, presque malsain, collant magistralement bien avec les différents donjons et mondes parallèles complètement dévastés. Même une simple piste comme Church, faisant pourtant référence à la création et aux divinités d’Hyrule, est ici presque dérangeante…
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Et après ?

Ce troisième opus n’est jamais tombé dans l’oubli et s’est vu plusieurs fois adapté et remanié.

Tout d’abord en 1997, sortait sur la Satellaview BS Zelda no Densetsu. Un titre faisant office de suite directe. 6 ans sont passés et vous contrôlez Mascot en l'absence de Link. Reprise des sprites et éléments de gameplay, c'est une bon moyen de prolonger l'aventure au travers d'un nouveau scénario.

En 2003, le titre est ressorti sur GBA couplé à Four Swords, histoire de rajouter du multi-joueurs. Hormis la baisse de qualité visuelle (résolution inférieure à la Super Nintendo) et sonore (chipset sonore de très mauvaise qualité), cet épisode s’est vu quelque peu remanié avec un donjon inédit et une attaque tornade plus puissante. Certaines pistes audio et la voix de Link sont reprises d’Ocarina of Time. Quelques NPC voient même leur frimousse refaites pour mieux coller à la mythologie globale des titres futurs.

Un petit portage s'est aussi pointé sur la Virtual Console de Nintendo en 2006, la version SNES, brute. Mais nul doute que dans un futur proche, cet épisode viendra se rappeler à nous - dans une forme ou une autre - et fera des yeux doux aux retrogamers que nous sommes. Quant à savoir si la qualité sera au rendez-vous, ... C'est une toute autre histoire !
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The Legend of Zelda: A Link to the Past
A Link to the Past fait partie de ces titres qui ont marqué toute une génération de joueurs. Il a su apporter de vraies nouvelles mécaniques de jeu au travers d’une narration intelligente. Ses graphismes, son atmosphère, ses musiques et son gameplay sans faille ont fait de cet Hyrule un monstre de cohérence, un jeu hors normes qui a transcendé le genre. Une alliance magique entre modernité et traditions. Un chef d’œuvre de l’époque. Un titre qui se doit d’être sur toutes les étagères.

01/05/2013
  • Le gameplay parfait
  • La bande sonore
  • Le souci du détail
  • L'univers gigantesque
  • La cohérence globale
  • Sa relative facilité
9.5

TECHNIQUE 4/5
BANDE SON 4.5/5
SCENARIO 3/5
DUREE DE VIE 4/5
GAMEPLAY 5/5
The Legend of Zelda: A Link to the Past > Commentaires :

The Legend of Zelda: A Link to the Past

9.5
8.5

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58 commentaires
Albanbli

le 24/10/2019
9 nxn
Un nouveau run pour ce mythique jeu mais cette fois ci en mode speedrun ! Tout du moins, comment essayer de copier un run de 1h30 en tentant de passer les mêmes petits glitchs et autres, qui permettent de tracer à travers le jeu sans se poser de questions. C'est une expérience toujours aussi intéressante que je recommande quand vous avez déjà fait le jeu plusieurs dizaines de fois, ça permet d'apprendre à jouer d'une nouvelle façon.
Sphynx

le 14/11/2017
9 snes
Un éternel classique
Gatsby
le 01/08/2016
9 snes
En une phrase : ce jeu justifiait à lui seul l'achat d'une SNES.

Ce zelda est véritablement épique. Tant par sa durée de vie, son univers étendu et cohérent, la quête, en bref toutes les étapes à traverser pour arriver à son terme.
Si j'avais un reproche à lui faire ce serait le peu d'émotions que procure le jeu face à un link's awakening ou secret of mana.

Un grand classique qui mérite sa réputation.
kolibri

le 21/07/2016
8 wiiu
Un classique que j'ai littéralement dévoré. Quand on le replace dans son contexte, il est juste hallucinant. Les ajouts et améliorations par rapport au premier Zelda, dont il reprend le squelette, sont hallucinantes, et les graphismes, la bande-son ainsi que les donjons sont encore aujourd'hui exemplaires. Devoir jouer entre les mondes et les différents objets à l'intérieur même des donjons peut mettre le cerveau à dure épreuve. En plus de cela, le jeu est très varié au niveau des environnements, et est plutôt long, même en ligne droite.
Au niveau des reproches, je mettrai en avant une certaine rigidité dans les mouvements (impossible d'attaquer en diagonale par exemple), et un scénario qui tient sur un grain de riz, mais dans l'ensemble l'expérience est très bonne. Comme d'habitude avec Zelda !
Astram

le 21/08/2015
9 snes
Vrai classique de la SNES, Zelda The Triforce of Gold est un jeu réellement excellent.
On regrettera seulement son feeling de gameplay inférieur à celui de Zelda 1 en terme de précision.
Donni

le 14/08/2015
10 snes
Je l'ai fini hier pour la 3ème fois. ET mon dieu que j'ai pris mon pied. Combien de jeux vidéos donnent autant de plaisir qu'à leur sortie 23 ans après ?
Vraiment le plaisir est resté intacte, j'ai eu les mêmes sensations de bonheurs qu'en 1994 quand j'avais échangé pour 2 semaines ma Megadrive avec la SNES d'un pote de collège.

J'ai cette fois pris la peine de noter précisément le temps de chacune de mes cessions de jeu, pour savoir en combien de temps il se finissait en cherchant TOUT, sans aucune aide internet ou autre. J'ai mis 22h30.
Alors bon je l'avais fini une première fois en 94 et une seconde fois début des années 2000. Donc si quelqu'un l'attaque pour la première fois, ça sera plutôt 30/35 heures je pense, tout dépend du niveau du joueur.

Bon j'ai pas réussi tout à fait à le buter à 100% à la loyale, j'ai tout débloqué et tout trouvé comme un grand, sauf que j'ai tout bêtement zapé (attention je spoil !) qu'on pouvait monté au niveau 4 son épée dans une certaine fontaine.. et il m'a manqué 1 quart de coeur sur les 24... AAaarrggh Bien dégouté quand après l'avoir fini je suis allé vérifier sur internet lequel me manquait (attention je spoil encore) : celui du jeu de pelle dans le monde des ténèbres. J'avais pourtant pris la peine de tout creuser, mais il faut persévérer et continuer à jouer jusqu'à qu'il vienne aléatoirement...

Bon bref, je vous raconte mon expérience de jeu parce que tous les bons qualificatifs ont déjà été dis dans les coms. Maintenant pour rattaqué un jeu que j'avais déjà fini 2 fois, et retrouver la banane des débuts, je pense que mon témoignage en dit long sur la qualité de ce Zelda. Je l'ai commencé y'a 10 jours, et je n'ai pas pu le lacher sans aller jusqu'au bout.

Difficile de dire que c'est LE meilleur jeu 2D de tous les temps, et puis certaines personnes n'accrochent tout simplement pas aux A-RPGs. Mais bordel, quel coup de maître pour l'époque ! Je rappelle qu'il est sortie en novembre 1991 au japon. Mon dieu, des joueurs japonais jouaient déjà à ça, pendant que moi j'étais sur MasterSystem dans ma campagne...

Les musiques sont fabuleuses, le level design relève du génie, les graphismes vieillissent super bien contrairement à d'autres jeux plus beaux à son époque, mais qui aujourd'hui vieillissent mal ou moins bien. Le bonheur de découverte est permanent, il n'y a aucun temps mort dans l'action, l'univers globale est super cohérent, l'ambiance est géniale, et encore une fois ce level design de ouf des 2 mondes, et ces musiques ...

Au collège je préférait la ludothèque MD a celle de la Super Nes. Les gros titres sur la Nintendo sont fantastiques, mais j'en trouvais beaucoup plus à mon gout sur la SEGA à l'époque. Par contre je dois avouer que ce Zelda III est peut être un des meilleurs jeux 16 bit qui soit, ou en tout cas assurément dans le TOP 10 de tous les jeux 2D de l'histoire, tous genres tous supports confondus.

Tout est bien pensé, rien est laissé au hazard, tout est parfaitement maîtrisé dans les moindres détails, aussi bien technique qu'artistique.
Zelda III est une perle, un coup de génie, un monument du jeu vidéo, définitivement.
Je vais essayer de me le procurer sur GBA.
anhhoi

le 30/05/2014
Edité le 30/05/2014
7_5 wiiu
Un Zelda mythique, avec ses musiques magiques, que j'ai refait récemment.
J'avais par contre oublié comme la maniabilité pouvait être raide aujourd'hui, fort désagréable parfois (surtout après avoir fait sa suite sur 3DS) avec une épée minuscule et l'impossibilité de frapper en diagonale. J'ai aussi trouvé (ce que j'avais oublié) que certains passages étaient loin d'être simples finalement : je pense notamment à des salles truffées de cases avec un visage lançant un projectile sur le héros, un boss saoulant qui nous fait chuter et oblige à recommencer le combat, et la perte de coeurs quand on reprend une partie..
Elekami

le 09/05/2014
9_5 snes
Probablement le Zelda 2D le plus complet avec des donjons en grand nombre, et un équipement très fournis. Le jeu est plus accessible que les deux premiers épisodes, mais conserve une part de challenge non-négligeable. Si la narration reste toujours en retrait, ce troisième Zelda charme par sa bande-son d'exception, son gameplay aux petits oignons et ses deux mondes mémorables.
Un grand classique du jeu vidéo, tout bonnement.
Toki

le 25/11/2013
Edité le 25/11/2013
8 snes
20 ans plus tard et je me décide enfin à terminer Zelda ALTP, mon 3eme Zelda

+ l'exploration et la liberté toute relative hein
+ l’ingéniosité du level design
+ la musique juste géniale et le main theme qui reste bien gravé en tête (une horreur)
+ plusieurs monde à explorer, je me doute bien qu'à l’époque ça devait être vraiment révolutionnaire^^

- les boss beaucoup trop facile (j'aime pas galérer dans les donjons mais j'adore souffrir contre les boss, dommage)
- pas de scenario..on a l'habitude
- pas même une petite gâterie de la part de Zelda à croire que j'ai fait tout ça pour rien..on a l'habitude

Du plaisir en barre, une aventure avec un grand "A" et une énorme autosatisfaction une fois le jeu terminé voila qui résume parfaitement bien ce volet. Preuve qu'un bon jeu le restera toujours malgré le fil du temps.
CitanKainUzuki

le 13/11/2013
10 snes
Meilleur Zelda pour moi.
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