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Riviera: The Promised Land

drpg psp amerique
Riviera: The Promised Land
Le retour de la terre promise
A l'origine sorti sur Wonderswan Color, Riviera a connu sa petite heure de gloire avec son adaptation (sortie aux USA) sur Gameboy Advance. C'est donc presque sans surprise qu'on le retrouve aujourd'hui sur Psp, dans un portage qui n'amène finalement pas grand chose, mais qui permettra au plus grand nombre de s'y essayer, grâce à la sortie européenne prévue pour le mois de mars.

Les Grim Angels

Il y a mille ans, une guerre opposa les démons et les dieux. Acculés et sur le point d'être annihilés, ces derniers utilisèrent leur dernière solution: ils se sacrifièrent pour invoquer des Grim angel, anges destructeurs aux pouvoir dévastateurs possédant des armes appelées Diviner. Le rapport de force s'inversa et les démons furent vaincus. Avant de disparaître, les dieux laissèrent l'île de Riviera aux mains des esprits. Des années de paix s'écoulèrent, mais cette période heureuse touche à sa fin. Les démons semblent de retour et Riviera est à nouveau menacée...
Vous incarnez Ein, un Grim angel qui a pour mission de servir les dieux. Accompagné de Ledah, il doit aller régler un incident impliquant les "vils" esprits de Riviera. Alors qu'ils sont sur le point de conclure la mission, Ein est subitement envoyé à Riviera par la protectrice des esprits, vidés de toute mémoire. Le voila seul, amnésique, au milieu de ceux qu'on lui a appris à détester...
Pourtant, dès les premiers instants, Riviera semble chaleureuse et accueillante. Les Grim Angels seraient ils manipulés?
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Un petit air de Valkyrie Profile

Si Riviera est un jeu atypique qui est d'une originalité assez énorme, il m'a tout de même fait penser dès les premiers instants à un monument du RPG, Valkyrie Profile. Un héros guerrier au service des dieux, une suspicion sur les intentions de ceux-ci, un mentor (Ledah) qui leur est fidèle, le scénario propose quelques parallèles. Mais c'est surtout de part son système de jeu et son ambiance que ce Riviera m'y a fait penser. Le jeu ne suit pas les codes du genre, et tout comme Valkyrie Profile une gestion des actions est indispensable. Au fil des écrans (chaque écrans représentent une zone) de chaque chapitre, le joueur récupère des points d'actions qui lui permettent ensuite d'effectuer des actions tel qu'ouvrir un coffre, fouiller un endroit suspicieux etc. Vous l'aurez compris, vous ne dirigez pas directement le héros, tout se fait par l'intermédiaire d'ordres (donnés via les flèches directionnelles), les phases d'exploration se réduisent au strict minimum, parfois en temps limité. Régulièrement, votre dextérité sera soumise à rude épreuve pour éviter les pièges. Le seul moyen de les éviter est de réaliser la séquence à l'écran, à la manière d'un Shenmue. Assez déroutant au départ, le système de jeu est finalement assez plaisant et change des traditionnels RPG. Dans les villages, vous pourrez en revanche faire ce que vous voulez indépendamment de vos points d'actions, mais il y a très peu à faire, tous les équipements et objets se récupérant uniquement dans les donjons.
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Overdrived

La majeure partie du jeu se passe dans les donjons, et qui dit donjon dit combats, et dans ce domaine Riviera excelle. Le jeu utilise le tour par tour sur vos trois personnages, la fréquence d'action de chacun étant déterminé par leur initiative. Originalité, toutes les actions se font via des objets. Vous voulez attaquer? Utiliser l'arme de votre choix. Lancer une magie? Choisissez l'objet magique adéquat. Cependant, une bonne gestion stratégique de la part du joueur est vite requise car on ne peut emmener que 4 objets dans chaque combat pour trois personnages. Un maigre degré de liberté, en somme, d'autant que chaque objet possède une durée de vie limitée. Au fur et à mesure des combats une jauge (appelée Overdrive) se remplit, permettant de débloquer les attaques spéciales de chaque arme. Plus l'affinité du personnage avec l'arme est grande, plus l'attaque spéciale sera puissante et la consommation de la barre importante (sur 3 niveaux). Chaque arme à ses propres caractéristiques: nombre de coup, zone d'action, effets spécifiques etc. Ces combats ne sont pas aléatoires, mais placés de manière fixe. Que les bourrins se rassurent, le leveling à outrance n'en est pas pour autant impossible.
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La progression par l'objet

En effet, une fois le prologue passé, le joueur peut s'entraîner quand il le veut dans les donjons. Bien pensées, ces phases permettent de progresser dans l'utilisation des objets. Chaque perso possède des affinités avec certains objets, et plus l'affinité est grande plus le nombre d'utilisation requise pour le maîtriser est élevée. A chaque objet maîtrisé par un membre de l'équipe, celui-ci progresse en caractéristique. Obligation donc de varier les objets utilisés et de ne pas se cantonner à la même routine indéfiniment. A noter que les objets ne se dégradent pas pendant les phases d'entraînement, vous n'aurez donc aucun regret à y passer du temps. Le seul petit regret que j'éprouve vis à vis du gameplay est le faible nombre d'objets transportables en même temps. On se retrouve très vite puis très régulièrement à devoir jeter des objets pour récupérer le nouveau, ce qui force à faire des entraînements systématiques pour maîtriser un objet inutile mais qu'on n'est pas sur de retrouver plus tard après l'avoir jeté au profit d'un autre. Pour finir, sachez que vous pourrez choisir votre petite préférée (Ein n'est accompagné que par des filles, petite saligot!) au travers de questions régulières au cours du jeu. Fia, Lina, Serene ou Cierra, à vous de choisir!
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Taillé pour la Psp?

Le jeu a subi quelques changements pour sa sortie sur Psp.
Le plus notable est l'ajout de doublages, très nombreux tout au long du jeu et de qualité. Cela ajoute à la qualité générale de la bande son, déjà très bonne grâce à des mélodies réussie.
Le deuxième point est évidemment d'ordre graphique. Le jeu est maintenant en 16/9 (Psp oblige), et a eu droit à une petite refonte. Si la qualité accrue des arts est indéniablement plaisante, les sprites eux, me laissent une impression mitigée. Moins mignons, ils ressemblent à des sprites passés par une sorte de "lisseur" automatique. Personnellement, je n'adhère que moyennement à ce changement.
Pour le reste, rien n'a fondamentalement changé, le jeu a ce petit charme qui scotche le joueur et donne envie d'avancer sans jamais s'arrêter, malgré la relative répétitivité du gameplay. Le tout est soutenu par une bande son de très bonne facture, même si là encore ça manque de diversité. Découpé en 7 chapitres principaux, le jeu dure une vingtaine d'heures, durée fortement dépendante du temps consacré aux divers entraînements.
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Riviera est un jeu toujours original et frais. On aurait pu attendre un peu plus du passage sur la portable de Sony, mais ne boudons pas notre plaisir, ce très bon Rpg est enfin accessible au plus grand nombre, et c'est déjà ça de pris.

28/01/2008
  • Système de jeu original et réussi
  • Ambiance magnifique
  • L'ajout des doublages
  • Répétitif
  • Les sprites un peu bizarres
7

TECHNIQUE 3/5
BANDE SON 4/5
SCENARIO 3.5/5
DUREE DE VIE 4/5
GAMEPLAY 4.5/5
Riviera: The Promised Land > Commentaires :

Riviera: The Promised Land

7
6.5

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11 commentaires
Riskbreaker

le 29/03/2016
6
Ce qui m'a toujours marqué dans les titres qui composent la série des ***Dept. Heaven***, c'est leur interface. Riches en éléments graphiques, en données chiffrées, pour un rendu presque intrusif sur nos écrans, elle se démarque grandement de toutes les autres productions du genre. Un design unique.
Et j'aime ça.
Que ce soit dans *Riviera*, dans *Yggdra Union*, *Knights of the Nightmare* ou les autres, l'interface visuelle est omniprésente et moi, ça me marque. Pour le meilleur.

Passons. Il y a quand même un jeu derrière ces éléments graphiques.

*Riviera*, c'est donc un RPG à la sauce *Visual Novel* où vous passez le plus clair de votre temps à marteler la touche X pour passer les dialogues et grinder comme un porc dans le menu d'entrainement. Le jeu ne se résume qu'à ça. Lire et grinder.
Et il le fait bien.

Il se compose donc en une succession d'écrans fixes, dans lesquels vous pouvez quelques fois interagir en regardant un objet ou parler à un npc et cela, juste en appuyant sur une direction. Épuré au maximum de toute complexité, **il pourrait facilement trouver sa place sur le marché mobile d'aujourd'hui.**
Beaucoup de dialogues donc, pour un titre divisé en 7 chapitres (+ un huitième secret), de grind, et de combats à demi-scriptés. Et rien que ce système vraiment unique et original vaut le coup d'œil.

On discute, on franchit un écran, on trouve un coffre et ô joie, un objet à l'intérieur. Joie, certes, mais lassitude par la même occasion. **Car toute l'évolution de vos personnages s'effectue au travers de cesdits objets.** Chacun de ces items peuvent être maîtrisés (en les utilisant X fois) par un ou plusieurs des personnages composant votre équipe. Et c'est seulement une fois qu'ils auront été completés que votre personnage gagnera quelques points supplémentaires dans ses statistiques.
Pas d'expérience suite aux combats, pas de gain de niveaux, tout se fait via l'apprentissage de ces objets. Et pour le coup... Riviera n'en est pas avare. Il y a en à la pelle, à trouver et débusquer un peu partout, souvent là où on ne s'y attend pas. Grisant au départ, riche en découvertes et possibilités, il devient vite contraignant.
Car dès que vous en trouvez un nouveau, c'est synonyme de grind immédiat. Hop, un tour dans le menu "practice" et hop, 10min de combat pour compléter les jauges, en ressortir plus fort et enfin continuer l'aventure. Jusqu'au chapitre 3, on se plait grandement à jouer le jeu, mais après... cela devient trèèèès lassant. Surtout quand vous trouvez plusieurs objets d'un coup... Déprime. Préparez un petit film d'accompagnement pour passer le temps !

Cela dit, le jeu se prête fort bien aux petites sessions, ce qui permet d'atténuer la lourdeur du système.
On suite donc les aventures d'Ein, un petit ange déchu sensé obéir aux ordres des dieux et qui va – évidemment – découvrir que la vie, ce n'est pas tout blanc et tout noir, qu'il y a autre chose que des gentils et des méchants, ou du moins, que les points de vue peuvent s'inverser. Original n'est-ce pas ?
Et hop, **petite aventure en mode harem** avec lequel vous pourrez fricoter gentiment pour découvrir une mignonnette scène de bain et terminer l'aventure avec la fillette de votre choix. Attention, il y a une mineure et... un chat. C'est relativement drôle, assez frais et totalement innocent. On suit l'aventure et les dialogues sans trop rechigner.
Cependant, il faut être averti : **Riviera cumule tout de même tous les stéréotypes possibles** du domaine manga/j-rpg. Vous n'y échapperez pas. Le tout couvert de dialogues mielleux et nianian qui vous feront vomir quand vos héros s'insurgeront sur la méchanceté ô combien vile d'une succube qui ose menacer votre petit groupe de charmants bambins.
C'est niais, moyennement bien écrit, sans surprise et totalement linéaire. Voilà.

Graphiquement, ce portage sous couvert de remake PSP se porte plutôt pas mal. On lui reprochera l'interpolation numérique à base d'algorithmes de type xBR ou HQnX pour les connaisseurs (lissant les contours, mais rendant l'image approximative et trop vectorisée), mais on appréciera les artworks, les portraits des personnages omniprésents et certains décors sympathiques.
Musicalement, c'est aussi de bonne qualité. Peu de pistes véritablement mémorables mais force est d'avouer qu'elles se marient toutes parfaitement avec l'univers du jeu. Une bonne pioche donc.

Et si vous passez outre ces défauts et cette linéarité presque oppressante, vous y trouverez un titre rafraîchissant, pas prise de tête, qui s'intercale merveilleusement bien entre deux titres plus sérieux. Une bonne entrée dans les *Dept. Heaven,* un titre loin d'être mémorable, mais quelques bons moments, le tout accompagné d'une chouette bande sonore et d'un doublage (US ou Jap) de qualité. Cette version PSP ne déçoit pas.
Selene

le 06/04/2014
6
Riviera est un rpg aux allures de point and click, très original, mais pas pour autant réussi.

Les personnages, un peu stéréotypés, sont toutefois agréables avec des artworks réussis et le petit côté jeu de drague est appréciable. Cependant, cette histoire d'anges ne vole pas très haut...

Il n'y a aucune liberté de mouvement ce qui n'est pas un défaut mais du coup, les décors répétitifs à souhait instaurent une certaine monotonie surtout dans les donjons. De plus, il n'y a qu'un seul village où on ne peut même pas y acheter des armes. Bon, faut dire que dans les donjons on en trouve en masse mais ça reste très aléatoire. Je n'ai d'ailleurs pas du tout accroché au système de level-up qui consiste à booster chaque arme que l'on trouve car il n'y a que comme ça que l'on peut augmenter un peu nos caractéristiques. Bref, il faut se motiver pour faire des combats d'entraînement...

Après, la traduction française est un petit plus vu que c'est assez rare sur psp. La bande-son est excellente et le doublage US de qualité.
On aurait pu se passer de ces insupportables bugs de feux-follets pour la version PAL...

Riviera est un bon petit jeu d'une durée de vie plutôt correcte et son principal défaut reste son scénario assez médiocre!
dandyboh

le 26/07/2013
6_5
Riviera est avant tout un jeu original. Le système de combat et de déplacement dans les donjons (parce qu'on passe 95% de son temps dans les donjons) ne ressemblent à aucun autre RPG connu (connu par moi, en tout cas). L'originalité ne fait certes pas tout, puisque le jeu est court, répétitif, le scénario moyennement intéressant, les personnages très caricaturaux (mais sympathiques et avec un joli design), les QTE un peu toujours les mêmes, les sprites lissés étrangement, et possède un bug rageant qui bloque complètement la console. Mais il a un je-ne-sais-quoi d'attachant, et une fois le jeu commencé, on n'a plus envie de s'arrêter avant de l'avoir terminé. D'ailleurs, on veut aller partout, tout voir, tout faire, et trouver le maximum d'objets différents.

Au final, un bon petit jeu, un excellent passe-temps, un RPG assez faible mais attachant et original, et bourré de charmes.

J'hésite maintenant à faire le donjon bonus (je l'ai commencé déjà), il paraît qu'il est presque infaisable à cause du bug des élémentaires, mais je vais essayer quand même, je verrai bien. Au premier plantage, je lâche l'affaire.
Albanbli

le 16/07/2012
7
Et pour ma part je m'attendais à un RPG de merde.
J'ai été agréablement surpris par les graphismes, très simples mais soignés. J'ai aimé naviguer au travers des huit chapitres et de l'histoire qui, bien qu'elle soit très simple, se laisse suivre facilement.
Mais la vraie force de ce jeu c'est le système de combat lié au nombre de points d'action hors combat. Je noterai juste le bug des changements de sprites des élémentaires qui obligent à gérer ces moments là avec un maximum d'attention.
Dark Sol

le 16/11/2010
6
Je m'attendais à tomber sur un RPG classique, j'ai été surpris, mais pas forcément de manière positive.

Les moins :

Le scénario n'est pas vraiment recherché et les rebondissements assez attendus. Le jeu se résume a une succession de donjons avec retour au village entre chaque. On se demande d'ailleurs l'utilité du village puisqu'à part parler aux habitants et déclencher quelques scènes gentillettes, on n'y fait pas grand chose. Le système d'objets avec nombre d'utilisations limitées est vraiment troublant, du coup, j'ai hésité de nombreuses fois a combattre avec telle arme de peur de la gâcher. Les QTE même s'ils partaient d'une bonne idée, sont beaucoup trop présents (surtout en ce qui concerne les coffres) et ardus à réaliser.

Le gros point noir vient surtout de la version PAL qui plante méchamment contre les ennemis élémentaires. Le jeu plante à chaque fois qu'ils changent délément. Le problème est tellement récurrent que j'ai laissé tomber l'espoir de faire le chapitre bonus.


Les plus :

Les personnages bien que très stéréotypés sont attachants et ont un design tout mignon. De plus leur doublage est particulièrement soigné. Les musiques sont agréables et le nombres de thèmes de combats assez importants pour un jeu aussi court. J'ai beaucoup apprécié le système de montée de niveau lié aux objets, ça change de l'expérience habituelle. Ce système est juste entaché par un nombre limité d'utilisation des objets. Du coup on passe un peu trop de temps en entraînement.
Le côté jeu de drague m'a fait sourire et certaines répliques manque vraiment de tact par moment.

Malgré tout ses défauts, Riviera m'aura fait passer de bonnes soirées.
kolibri

le 21/08/2010
Edité le 21/08/2010
7
Riviera, c'est un petit jeu très charismatique, qui m'a bien plu. Original, facile à jouer et intéressant, c'est le jeu qu'il me fallait ces derniers temps

+Les bonnes musiques
+Le design réussi
+Les persos attachants, renforcés par un doublage assez convainquant
+La difficulté correcte, qui sanctionne un manque de préparation tout en restant très abordable
+La durée de vie, à mon sens parfaite pour un jeu portable
+En français !

+- Le lissage de la version PSP, digne d'un jeu Sega 16 bits sur 360. Pas un énorme défaut selon moi, mais ça fait bizarre au début.
+- Le système de combat, qui casse pas des briques mais qui est sympathique à jouer

-Le freeze des élémentaires
-Quelques erreurs de traduction
-Assez répétitif tout de même


Oulan

le 21/11/2009
7
Une très bonne surprise sur la portable de Sony ! Acheté 5€ je ne m'attendais finalement pas à un jeu accrocheur mais j'ai vraiment bien adhéré au système de jeu par l'objet avec ses QTE et son système de Points d'Action.
Par contre, effectivement, un peu déçue par le scénario et le boss final (je me suis peut être trop entrainée ?). D'ailleurs je n'ai pas fuit un seul combat et je n'ai jamais eu de game over...
Seul GROS problème : le freeze de la console avec la version PAL, ce qui m'est arrivé 2 fois avec une heure de jeu à refaire derrière !!!
En tout cas, j'ai passé 25h sympathique dans les transports avec ce petit jeu !
Kanedo

le 25/08/2009
6
RPG sympatoche avec de bonnes idées : le level up par les competences,les armes "limité" en utlisations,les overdrives,le systeme de PA ...mais peche par un scenar ras des paquerretes (avec des retournement-que-t'avais-deviné-des-heures-avant) et des perso superficiels (bien que les saynetes avec l'equipe soit plutot sympa),une trop grande facilité (wut c'est le dernier boss ça ? ) et des graphismes qui ont mal supporté le passage a la PSP (les artworks sont assez beau par contre)
Bref parfait pour se detendre mais loin d'etre indispensable...

Mikaya

le 15/05/2009
8
Jeu excellent, original et beau comme tout même si la version PSP allonge tous le graphisme, l'univers les personnages et les effets en font vraiment un excellent jeu !
Luckra

le 09/04/2009
Edité le 09/04/2009
7
Un peu à part, Riviera se démarque grâce à un gameplay et une ambiance originals.
Même si le scénario est classique et pas du tout accrocheur (la fin est assez nulle ) et les personnages un peu trop stéréotypés, la 2D est sublime et les musiques magnifiques :eheh:.
Le système de level up par item est original et plaisant, j'aime moins les QTE qui sont souvent difficiles à réaliser et qu'on ne peut pas recommencer ).
Petite remarque : j'ai trouvé étrange que certains sprites de monstres ne correspondent pas à l'artwork que l'on voit pendant leurs Overdrives .
Au final, un RPG rafraichissant à tester .
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