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The Legend of Heroes: Trails through Daybreak > Fiche complète du jeu

The Legend of Heroes: Trails through Daybreak

Informations Générales

Plate-forme : ps5

Aussi sur : nxn pc play4

Genre : crpg

Nombre de joueur(s) : 1

Appartient au(x) groupe(s) : Kiseki, The Legend of Heroes,

Aussi appelé : The Legend of Heroes: Kuro no Kiseki

Nom original : 英雄伝説 黎の軌跡


Développeur(s) : Falcom

Chara-designer(s) : Katsumi Enami

Compositeur(s) : ???

Statistiques 12 membres l'ont fini (Temps moyen: 84h)
15 membres le possèdent
3 membres y jouent
7.5

europe 05/07/2024
Site officiel
Editeur : NIS America
Disponible également en dématérialisé

amerique 05/07/2024
Site officiel
Editeur : NIS America
Disponible également en dématérialisé

japon 28/07/2022
Site officiel
Editeur : Falcom
Disponible également en dématérialisé

The Legend of Heroes: Trails through Daybreak > Commentaires :

The Legend of Heroes: Trails through Daybreak

7.5

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4 commentaires
Medion

le 28/09/2025
7_5 nxn
Avec son univers intéressant, son bon casting et ses combats dynamiques, Trails through Daybreak est encore une entrée réussie de la saga.
On regrettera juste un manque de rythme par moment et des donjons trop longs pour ce qu'ils ont à proposer, mais globalement, il donne envie de se plonger dans la suite.
Schwarztraum

le 26/07/2025
8_5 ps5

Après un épisode Reverie non sans défaut mais original pour conclure tout l'arc Crossbell + Erebonia, on atterrit enfin à Calvard avec plein d'impatience.

La représentation de la République est globalement réussie : on trouve ainsi un melting-pot de cultures, comme on s'y attendait, entre inspirations du Moyen-Orient, de l'Extrême-Orient mais aussi une mégalopole moderne en hub principal, Edith. La capitale est un vrai plaisir à découvrir, avec ses nombreux quartiers et ses cinémas à l'intérêt certain.

Si le jeu ne parvient pas toujours à atteindre les ambitions qu'il poursuit, compte tenu du budget serré de Falcom, on ressent tout de même un grand plaisir à embarquer en voiture pour découvrir les diverses coutumes et villes de Calvard. C'est d'autant plus le cas que l'OST est sublime, avec des thèmes parfois même sous-exploités tant on aimerait les entendre plus longtemps (notamment celui du palais d'Oracion).

C'est d'autant plus le cas que l'histoire est ici prenante de bout en bout, avec certes un passage à vide au début de la deuxième moitié - habituel dans la série -, mais un début impeccable ainsi qu'une finale très sympathique. En l'occurence, le scénario est porté par des personnages très bien écrits, un groupe plus intéressant que jamais et surtout une qualité de dialogue qui rappelle les meilleurs jours de la série (les développeurs ont compris que l'humour était extrêmement important pour s'attacher aux personnages). Un gros coup de coeur pour ce cher Aaron et ses sarcasmes incessants.

Un autre point fort de Daybreak nous vient du nouveau système de combat basé sur le positionnement des personnages, qui apporte un énorme vent de fraîcheur après l'efficace (mais recyclé) tour par tour basique que la série nous proposait jusque là. Si l'ensemble prend un peu de temps pour être pris en main, et s'il y a toujours quelques problèmes de visibilité (altérations d'état...), on remarque qu'on ne s'ennuie quasiment pas en combat. Il y a même de sacrés challenges (notamment au début du jeu mais aussi le boss final) qui nous poussent dans nos retranchements. Bravo pour la prise de risque !

Avec tout cela, on se dira que le jeu est d'une excellente qualité et mériterait même peut-être un 9. Malheureusement, il y avait tout de même trop de petits écueils (jamais rhédibitoires, certes) que pour me dire que Daybreak puisse être au même niveau que Zero ou même de TOCSII...

Notamment, il y a un terrible manque d'à-côtés, même pour les standards de la série. Reverie était un vrai parc à thèmes, et on s'attendait à au moins retrouver ici un quelconque mini-jeu qui nous donnerait l'occasion de respirer...mais rien !

Il y a en plus de cela un profusion de problèmes récurrents à la série, comme le manque d'inspiration des donjons et la longueur de certains segments - et ce malgré la qualité des dialogues. On sait que chez Falcom, les donjons servent avant tout à l'histoire plutôt qu'au gameplay, cet aspect étant plutôt mis en avant sur les Ys.

Mais tout de même, je n'ai jamais eu de vrai plaisir à traverser un seul donjon, puisqu'il n'y avait jamais une seule énigme. Je trouve cela tellement dommage, puisqu'autrement le jeu serait bien plus engageant dans son exploration. Une autre solution aurait été d'inclure plus de grandes zones ouvertes comme le désert, qui apportent aussi un rafraîchissement inestimable pour le joueur.

Vous l'aurez compris en lisant cette review ; cet opus est tellement bon qu'il aurait pu être au sommet de toute la série, avec un peu plus de travail sur l'exploration, un travail plus solide sur certains décors et une deuxième moitié plus condensée. Malgré tout, on adore tout de même la rehausse de la qualité de l'écriture, après une saga Erebonia globalement ratée à ce niveau-là. Espérons que Falcom continue à la mettre en avant, car c'est avant tout pour l'écriture des dialogues qu'on joue à Trails depuis près de 20 ans.


Zanxthiloide

le 05/08/2024
6 pc
Trails Through Daybreak démarre la saga Calvardienne de la longue..longue... très longue série The Legend of Heroes. Longtemps teasé à travers quelques rares scènes et témoignages, on peut enfin parcourir la seconde super puissance de la Zemuria aux inspirations culturelles inattendues.

Nouveau pays, nouveau casting, nouvel épisode d'introduction : cette 4ème saga n'échappe pas à la règle. Nous suivons Van Arkride, pour la première fois un adulte de 24 printemps mais -jrpg oblige- avec l'expérience d'un adulte de 34 ans. Reste tout de même que jouer un personnage déjà expérimenté donne un bon bol d'air frais à la série après avoir dirigé pendant presque un millier d'heure des enfants prodiges. Le casting reste néanmoins assez fade faute à une histoire qui peine à convaincre. Certes les joueurs sont habitués à un premier épisode relativement lent pour poser les bases d'une nouvelle saga, mais cette épisode est particulièrement creux.
Point de nouvelle révélation sur les agissements des antagoniste Ouroboros -dont l'aura est salement désacralisé dans cet opus-, ni sur l'éngimatique Docteur Epstein et la technologie Orbal pourtant au centre de l'histoire à travers la recherche des Mac Guffins Geneses -dont aucune information n'est révélé-. Le joueur devra se contenter d'un conflit avec des antagonistes vites oubliés et du passé mystérieux mais finalement inintéressant de Van.

Enfin, cet opus propose une grosse nouveauté : le système de combat est revu en grande partie. Le gameplay y gagne fortement en fluidité avec un passage exploration-combat "a-rpg" (du pauvre)-combat-exploration à la volée. Toutefois j'ai trouvé que le gameplay y perdait au change avec le nerf des master quartz qui étaient actifs 100% du temps remplacés par les holo core dont l'effet ne s'active qu'à l'utilisation d'un système de boost très limité. L'intérêt pour les game designers était probablement de rendre les combats plus intéressant en rendant les joueurs bien moins puissant, mais pour peu qu'on passe 5 minutes à équiper les bons quartz, la plupart des combats boss compris se résumeront comme d'habitude à spammer quelques s-breaks bien placés quelque soit le niveau de difficulté.

Après un Reverie poussif, Daybreak est dangeureusement décevant.
Bao

le 24/07/2024
7 ps5
Sacré flambleau dont a hérité Trails through Daybreak, car après un Trails into Reverie qui a mis un point final à l'épopée dans l'ouest de Zemuria, c'est à lui d'ouvrir le bal des évènements qui vont se passer à l'est. Et c'est une première aventure quelque peu mitigée.

J'ai eu un peu de mal avec l'histoire, j'ai trouvé qu'elle avait un espèce de parfum de ...spin-off ? Le premier jeu de chaque saga traine toujours du pied car il est là pour poser les bases, Daybreak n'y fait pas exception, mais la chasse au macguffin que représente l'histoire, impliquant à chaque chapitre des antagonistes pas foufous dont les motivations font sourciller, sans parler du chapitre final, poussif et qui sort littéralement de nul part, et du slalom permanent pour éviter d'évoquer les fils rouges de la série... plus ça avançait et plus c'était difficile de rester impliqué. Heureusement on peut toujours profiter de la fonction d'accélération, et le rythme / équilibrage du jeu est parfait, on a toujours la bonne dose d'exp et de matériels pour progresser.

Après il reste la partie construction de l'univers (plus importante que jamais après les évènements Cold Steel IV) et Falcom est toujours au top, même si c'est pas vraiment comme ça que j'imaginais Calvard. Toujours au top avec le casting également, Van est un excellent protagoniste qui n'a rien a envier à ses prédécesseurs, le fait que ce soit un adulte avec du bagage offre un changement bienvenu à la dynamique de groupe et comment sont abordés les évènements. On était habitué à jouer la bleusaille qui apprend et grandit, donc avoir ici un "grand frère" débrouillard, qui veille sur ses cadets et qui sent les embrouilles, c'est un changement rafraichissant. Ensuite ça reste Trails of, avec toujours des tropes de la japanimation dans tous les sens, on y échappe pas même si Daybreak a globalement un ton et des thématiques plus matures que dans les épisodes précédents. Par contre c'est moins au top niveau musique, je le place facile dans les épisodes les plus faibles à ce niveau.

Daybreak c'est aussi l'occasion d'une refonte du système de combat/personnalisation, et dans l'ensemble j'ai pas trouvé ça convaincant. On sent clairement la volonté de proposer quelque chose de plus poussé que précédemment niveau personnalisation, mais le système de Shards (basiquement : les quartz équipés donnent des capacités et on peut avoir des capacités différentes selon les combinaisons) peine à montrer son efficacité en dehors de certaines capacités bien précises, la mécanique de S-Points est bancale et invalide souvent le potentiel des Holo Core (nouveau nom des Masters Quartz), et le fait de devoir coller les perso les uns aux autres (pour profiter de boosts) est stupide, une régression par rapport au Bond System des jeux précédents. Le mix temps réel/tour par tour a un impact certain sur l'approche des combats, mais le fait de toujours devoir faire une entame en mode A-RPG du pauvre devient très vite lassant. Surtout qu'en plus, on ne peut plus dégager d'un coup les ennemis faibles du terrain... On peut comprendre que Falcom ai voulu se détacher d'un modèle qui cours depuis 7 jeux car le tour avait été fait, mais le système de Daybreak parait quelque peu maladroit face au flow quasi-parfait qui avait été atteint dans Reverie. A voir dans les prochaines opus comment ça va évoluer, il y a quand même du potentiel.

Le seul point vraiment indéfendable c'est l'interface de combat, c'est incompréhensible qu'elle soit aussi dégueulasse. Notamment la façon dont sont gérés les affichages du bouclier et du déroulé des tours, deux éléments primordiaux de ce nouveau système.

Daybreak est un jeu covid et la pandémie a joué dans son développement (y'a pas un seul mini-jeu !), donc je veux bien laisser le bénéfice du doute et voir ce que va donner Daybreak II, mais en l'état ça a été une aventure un peu poussive, heureusement les qualités narratives habituelles des jeux de cette série sont au rendez-vous donc ça aide à faire passer la pilule.
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