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Ōkami HD

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Ōkami HD > Commentaires :

Ōkami HD

10
8.5

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OK
15 commentaires
Golden Leaf

le 26/08/2019
10 play3
Ce jeu était déjà formidable dans sa version originale et il n'a rien perdu - bien au contraire - de sa superbe dans sa réédition : la HD sublime cet univers majestueux. Et s'il n'y avait que les graphismes ! Okami se distingue aussi par sa bande-son, par ses dialogues, par la longueur et la variété de son aventure. C'est superbe, et original à la fois !
Albanbli

le 10/06/2019
8 nxn
Bon. J'ai bien compris que ce jeu a attiré beaucoup de monde et que beaucoup d'entre eux le trouvent génial. Pour faire simple, je dirai que c'est une sorte de Zelda en version culture chinoise. Et il est drôlement bien foutu. Il est logique, se déroule sans accroc et dans une grande logique. Il est beau. Bien narré. Et surtout l'histoire est comme un beau compte. Mais ça n'a pas pris avec moi, et je me suis fait chier pendant une vingtaine d'heures. Par la suite, ça a été plus agréable. Mais ça a été long à démarrer.
Luigi

le 07/11/2018
6_5 play3
Okami hd PS3 terminé en 48 heures.
Au final j'ai apprécié de parcourir cette belle aventure mais le changement de philosophie/structure au milieu de l'histoire (première défaite d'Orochi) m'a déçu. En effet dans la première partie, la structure est confinée (petite zone, petit village, peu de personnages) et a un rythme lent, du classique. Dans la deuxième partie on ne fait que survoler la carte, il y a plein de choses à faire, une douzaine de gameplay bien trouvé, plein de lieux, plein de personnages auxquels on ne s'attache pas. Honnêtement le déséquilibre entre les deux parties m'a un peu gavé... Au final un jeu mieux écrit et plus court aurait été plus intéressant et aurait aussi permis de passer un plus de temps sur les quêtes annexes...
Pour finir mes +/- et une petite note personnelle :
+
Direction Artistique sublime (paysages, perso, monstres)
Des personnages super-intéressants (surtout au début)
Un humour efficace
Le gameplay en général (pinceau, parcours, course)
Le game design bien foutue, on se balade avec plaisir et on s'approprie la carte car à taille humaine
Les bonus d'issun (musique et croquis) à la fin du jeu
Les aides du jeu qui veut que l'on finisse l'aventure (point de sauvegarde, voyante, journal, intervention d'issu)
Le voyage dans la mythologie japonaise et le Japon féodal
L'assainissement/floraison des zones
-
Le flou de l'image très prononcé au début et présent jusqu'à la fin
La structure bancale de l'histoire qui gache la deuxième partie du jeu, au final ils auraient pu faire deux jeux de 40 heures (genre digital devil saga part 1 et 2)...
Peu de moments très marquants ...
Combats assez intéressants et diversifiés mais pas mémorables



Mise à jour 12.01.2019: avec du recul je considère que la note donnée à l'époque n'était pas en ligne avec les défauts décrits. Probablement par conformisme donc je mets une note plus en ligne avec mon expérience très mitigée

Note: 6,5 sur 10
Ragna

le 30/09/2018
9_5 play4
Fraîchement terminé le merveilleux Okami dans sa version HD sur PS4, avec 94 heures au compteur de jeu, mais je dirais approximativement 75-80 vu que j'ai fait des pauses régulières pour manger et autre car le temps ne s'arrête pas en mettant pause.

Merveilleux, oui. Et je pèse mes mots ! Okami est contemplatif et doté d'une sublime direction artistique. Le charme poétique du Nippon folklorique opère dès les premiers instants de jeu et sa poésie nous emporte dans un courant enivrant où l'on reste un caillou et nous laissons guider par ce puissant torrent de magie. Un grand moment de jeu vidéo.

La première fois que j'y avais joué, cela remontait à environ 6 ans, et c'était sur PS2. Je possède d'ailleurs toujours cette version, mais je ne l'avais pas terminé à l'époque bien que j'étais arrivé assez loin. Aujourd'hui, je redécouvre ce jeu tant adulé dans toute sa splendeur. Mes souvenirs sont progressivement revenus à mesure de mon avancée, mais j'ai pris diablement plus de plaisir à le faire jusqu'au bout. Tout d'abord, la différence au niveau graphique HD saute aux yeux, c'est plus fin, plus lisse et mieux coloré que dans la version originelle. Certains diront que c'est un portage fainéant au vu du lifting graphique avec passage à la 4K et de quelques petites options supplémentaires de configuration. Mais je trouve que ce filtre visuel suffit pour un jeu de cette ampleur qui n'a rien à changer en dehors de cette robe visuelle pour se remettre au goût du jour. Nul besoin d'en faire un remake ou autre changement radical, et tel qu'il est, je le porte aux nues. Mais trêve de louanges, et décortiquons un peu tout ça, point par point.

Pour commencer, j'ai été fasciné de bout en bout par l'ambiance du Japon féodal du soft. Mais ce n'est pas tant une atmosphère sombre avec des ninjas, samouraïs. réaliste et sanglante, mais lorgnant plutôt sur le folklore japonais dans un ton enfantin dépeignant des contes et légendes du pays du soleil levant. Ce qui n'empêche pas de donner au titre un cachet sérieux avec quelques doses d'humour sans que cela soit lourd. Et cette ambiance est le pivot central sur lequel s'appuie le scénario qui, s'il paraît classique à première vue, va plus loin en nous contant un voyage à base de prophétie que l'on vit de plus en plus intensément à mesure que l'on progresse dans l'aventure. La trame se situe en deux parties et a le bon goût de nous surprendre (bien qu'à moitié) en nous faisant croire que nous l'avons finie à un certain stade mais il n'en est rien. Un peu plus tard, bien que la seconde moitié soit plus longue et donne une petite impression de manquer de rythme, sa longueur s'étalant au milieu d'une plus grande liberté d'exploration est compensée par d'innombrables scènes-clés apportant plus d'épaisseur au scénario, de manière à comprendre la légende d'Amaterasu, comment est née la légende et connaître les anciens héros présents avant cette déesse que nous contrôlons tout au long du jeu. Cette déesse s'est réincarnée dans le corps d'un loup blanc au pelage diaphane maculé de marques ésotériques rouges lui conférant ses pouvoirs de Kami (Dieu). Dès le début de l'aventure, on part en quête des 13 techniques du pinceau céleste en compagnie d'un koropokurru nommé Issun, mais peu à peu, on se rend compte que les enjeux pour libérer le Nippon du joug des démons yokai va plus loin. Nous avons là une histoire plutôt bien ficelée, progressant assez vite dans sa première moitié, un peu plus lentement dans sa seconde moitié mais plus enrichie également. L'ambiance et l'univers forment un tout cohérent, la poésie se reflétant sur chaque pixel de cell shading aux tons pastels et aquarelles. C'est simple, plus on avance et plus on a l'impression de créer un monde imaginaire à la base devenant de plus en plus réel et riche par la suite, à l'image d'un peintre peignant un tableau prenant vie avec les couleurs et héritant d'une âme. Et parlons-en du dessin. À l'époque de la PS2, quand le jeu sortit en 2007 sous nos latitudes, ce fut une idée révolutionnaire. En effet, c'est en dessinant à l'aide du pinceau que l'on peut résoudre des énigmes et vaincre nos ennemis (primordial contre les boss). Les puzzles sont en règle générale simples et suivent une certaine logique, certains vous feront réfléchir un moment car la difficulté de leur résolution augmente sensiblement au fil de l'avancée, de même que certaines rixes contre de boss nécessiteront un certain temps pour trouver les techniques de pinceau idéales contre tels éléments et à quels moments précis. Si le jeu en lui-même n'est pas spécialement difficile au niveau des combats, notons que certains boss peuvent donner du fil à retordre, notamment quand on approche de la fin du jeu. Le jeu est construit comme un Metroidvania, et offre toujours un minimum de liberté pendant la progression, liberté qui amplifie le champ d'exploration à mesure que l'on récupère nos pouvoirs divins.

J'ai eu l'impression de jouer à du Zelda, mais en plus poétique. Certains aspect s'y retrouvent, comme par exemple les fragments de vie à collecter pour gagner un soleil vital qui augmente la barre de vie d'Amaterasu, trois fragments pour créer un soleil d'énergie. Les NPC's, la progression par villages et donjons également... Les petites musiques annonçant une action particulière, comme l'ouverture d'un coffre, la résolution d'un casse-tête, la découverte d'un passage secret ou encore la victoire après avoir vaincu un ennemi coriace. L'interface du menu a l'air de prime abord plutôt simpliste mais elle est plus complète qu'elle n'en a l'air, avec des informations à la pelle sur les éléments de l'univers de Okami (phrases-clés du journal de la quête principale, prédictions d'une voyante pour aider à trouver son chemin, trésors collectés, animaux nourris, bestiaire rencontré, etc...). On peut y voir le statut de notre valeureux loup blanc, qui représente quelques petites caractéristiques RPG et celles-ci nécessitent d'être augmentées pour aider notre canidé neige dans sa quête de longue haleine. Les Ryo, monnaie du jeu, lâchés par les ennemis et objets cassables du décor nous servent à acheter des armes, des poudres pouvant augmenter leur niveau au maximum, des objets curatifs, des objets d'attaque ou de défense entre autres. C'est surtout par le biais de notre curiosité à purifier la nature du miasme ténébreux des démons qui nous fera gagner de l'expérience pour augmenter notre santé ou notre réserve d'encre pour dessiner plus longuement avant la recharge. On apprend les techniques de pinceau en accomplissant des épreuves, après avoir dessiné des constellations dans le firmament. On peut d'ailleurs esquisser un soleil ou une lune dans les cieux et passer à loisir du jour à la nuit et vice versa, au lieu d'attendre que le cycle entre les moments diurnes et nocturnes changent. L'intrigue a beau prendre place dans un contexte sérieux, l'humour est toujours là et fait mouche avec quelques répliques marrantes et des expressions bien choisies par notre ami Issun qui nous chevauche (si on veut, vu qu'il se tient sur la tête d'Amaterasu). Les NPC's ne sont pas particulièrement nombreux bien qu'il n'y en ait pas besoin, mais ils ont leur personnalité et leur petits lots de textes et informations cruciales, de plus ils ne se ressemblent pas. En leur parlant, on peut trouver son chemin mais également participer à divers mini-jeux bien pensés, courts et fun, avec naturellement des récompenses à la clé.

On vit vraiment une évolution constante du monde d'Okami au fur et à mesure que nous progressons car la nature reprend peu à peu ses droits alors que nous la guérissons par les tours de magie du pinceau. Et à mesure qu'elle accompli des miracles et égaye le monde mourant, les gens commence à croire en elle et leur foi donnent de la force à notre héroïne. Nous devenons ainsi plus puissant et apportons le soleil dans cet univers féerique fait d'estampes japonaises. Pas étonnant pour une déesse du soleil, après tout. Et on sent vraiment que nos actions ont un impact sur l'environnement et la restauration de l'équilibre du monde. On sent une montée en puissance pour notre loup. D'ailleurs, les musiques accompagnant les différents actions d'Amaterasu et Issun sont assez éloquentes, et si certaines sont courtes, d'autres continuant en boucle s'inscrivent comme les thèmes de notre duo d'aventuriers. Même certains persos secondaires et NPC's disposent de leurs propres thèmes. Mention spéciale à Susano, une sorte de Mister Satan de Dragon Ball Z qui ne peut compter que sur la chance pour accomplir des miracles (mais qui joue quand même un rôle important dans l'histoire). Miracles derrière lesquels se trouve Amaterasu, qui lui donnera parfois un petit coup de main pinceau. Bien souvent, les scènes illustrant cet étrange personnage seront drôles... tout en restant épiques. Il y a toujours cet équilibre parfait d'humour et de sérieux dans les cinématiques. Pour notre plus grand bonheur ! Ça colle parfaitement à l'univers du jeu. Pour en revenir à la bande sonore, les musiques sont aussi de grands atouts du jeu parmi tant d'autres. Sans surprise, leurs sonorités résonnent d'instruments typiquement japonais, du Japon ancien. Rarement une musique d'ambiance accompagne deux donjons ou deux villes, presque tous ayant une musique unique, parfois deux pour deux lieux mais ce n'est pas courant. Les pistes sont aussi une montée en puissance, notamment dans les lieux extérieurs comme la péninsule de Ryoshima, dont le morceau choisi se veut très dynamique et insuffle un sentiment de liberté au joueur à gambader sur les plages et les étendues verdoyantes. Les musiques de boss ne sont pas très variées, ces derniers n'étant pas non plus en grand nombre de variété, mais les musiques du boss final décoiffent, et tout particulièrement Rising Sun qui est mon coup de cœur et en réalité le thème d'Amaterasu. J'ai aussi un petit faible pour Giving A Kushinada Ride. D'ailleurs, certains de ces morceaux m'ont rappelé quelques musiques d'ambiance des premiers Onimusha (1 et 2) tant elles se sont révélées dramatiques et épiques à fois, particulièrement dans une situation d'urgence. Là aussi, on est servi niveau richesse. On débloque d'ailleurs un sound-test permettant de se réécouter les musiques à loisir une fois le jeu terminé, à l'instar des anciens jeux Mega-Drive et Super Nintendo, entre autres bonus fort sympathiques. Un New Game + est par ailleurs disponible dès qu'on a terminé notre épopée une première fois, et, à l'image d'un Devil May Cry, on recommence une nouvelle partie depuis le début mais en gardant nos acquis antérieurs ainsi que les autres données comme les trésors comptabilisées, et non pas depuis un stade avancé du jeu comme certains jeux de nos jours. J'ai mis du temps à le finir car j'aime prendre mon temps pour explorer, écouter les dialogues des personnages et NPC's sans les accélérer pour profiter de leurs voix rigolotes, courir ou parfois marcher sur une colline, une plaine ou une falaise juste pour admirer les décors, puis faire une halte afin de contempler le paysage et imprégner mes yeux de la beauté artistique de ce jeu poétique. Il faut dire que les décors laissent rêveur, enchanteurs qu'ils sont et on a alors une folle envie de s'évader et de se déconnecter de tout le reste. Ce sont les sensations grisantes que m'a procuré ce Okami du début à la fin. Un voyage onirique et mélodieux qui m'aura fait vivre une grande aventure. Pour autant, le jeu n'est pas parfait et malgré ses nombreuses qualités et sa DA à tomber par terre, on notera une difficulté un peu trop basse dans l'ensemble, mis à part 2-3 boss et mini-jeux/défis corsés (y compris dans la progression naturelle de la quête d'Ama). Mais ça encore, ça va, ça reste mineur comme défaut car c'est compensé par une durée de vie assez conséquente, et faire le jeu à 100% demandera pas mal de temps et d'investissement mine de rien. En fait, le plus gros défaut réside dans l'orthographe des dialogues. Il y a pas mal de fautes de grammaire, d'oublis de pluriel, de mots plus rarement, manques d'accord, fautes de conjugaison et j'en passe. C'est bien dommage, car les termes sont assez bien choisis et siéent à l'ambiance conte de fées du récit. C'est présent tout au long du jeu et ça saute aux yeux, ou devrais-je plutôt dire "pique les yeux". Enfin, ça reste quand même français dans la construction et ce n'est pas non plus trop grave, mais dommage quand même de ce côté-là.

Je n'ai pas grand chose à redire, sinon. Okami m'a transporté et je le recommande chaudement. Un jeu à faire au moins une fois dans sa vie de gamer. Le concept du pinceau pour dessiner sur l'écran est juste génial. Facile et intuitif, on s'y fait très vite et on a tout de suite envie de tester nos talents calligraphiques sur tout ce qui nous entoure. Et contrôler un loup en tant que déité est également bien trouvé. Tout ce petit monde est attachant, PNJ's comme personnages scénaristiques, mais la véritable starlette reste bien évidemment notre loup blanc, Amaterasu. À noter qu'à certains moments du jeu, on peut créer nos propres dessins. Ça ne sert à rien dans la plupart des cas mais ça reste amusant. Il faut dire que la déesse du soleil est un peu notre égérie. Je pense que ce jeu sort carrément des sentiers battus, et même s'il n'a pas beaucoup changé par rapport à la version d'origine dans ce portage HD, je trouve qu'il a très bien vieilli en 2018, pour un jeu qui a maintenant 11 ans. Bref, ce jeu est une véritable pépite d'or vidéo-ludique, voire un lingot d'or en la matière tellement il nous fait voyager et change par rapport à beaucoup de jeux.
Faizon

le 20/12/2016
8_5 play3
Bien que proposant parfois un rythme inégal, Okami emporte par le beauté de son univers, la richesse de ses explorations, et surtout le soin tout particulier à faire de l'ensemble du jeu, que ce soit le contenant (musique, scénario, graphismes, etc.) et son contenu (la moindre idée de gameplay s'intègre dans une parfaite logique), un tout terriblement cohérent.
mimylovesjapan

le 04/10/2016
7 play3
Okami est un tres bon jeu.
Pour les defauts, je dirais :
- mecanismes de jeu extremement repetitifs
- dialogues long et traduction/textes d'origines ? etranges parfois
- le jeu rame serieusement vers la fin du jeu
- trop long
Pour les qualités :
- direction artistique superbe
- fun
- musique exellentes
- bon scénario (mais pas extraordinaire non plus, puisque 80% est puisé dans la mythologie japonaise)
A conseiller aux fans de A-RPG comme Zelda.
kolibri

le 17/11/2014
7_5 play3
Je me suis lancé dans Okami HD avec beaucoup d'attente de la part du jeu, et le jeu ne m'a pas déçu...malgré quelques côtés un peu gênants pour ma part.
Dans un premier temps, notre attention se porte sur les graphismes, très beaux et avec une direction artistique réussie. De plus, le portage est extrêmement réussi, et la version HD ne perd aucunement de son charme tout en étant plus qu'acceptable sur écran SD. La bande-son possède également de belles pistes, malgré une certaine redondance sur certains titres. Le gameplay enfin est un nouvel énorme point fort, il arrive à bien se renouveler et à évoluer au cours du jeu, tout en étant supporté par un level design d'exception. Les derniers donjons, à partir de l'ile Oni, sont extrêmement réussis et ingénieux dans leur design, et il en va de même pour les boss. Un véritable plaisir de les parcourir. L'histoire se laisse suivre, elle est loin d'être révolutionnaire et est un peu fragmentée mais le côté mythologie est très sympathique. Et le jeu est long, un peu trop même je trouve.
J'ai cependant un peu de mal avec Issun, à la fois lourd et un peu hors de propos sur certaines scènes, les dialogues t-r-è-s l-e-n-t-s à faire passer, la facilité du jeu, les situations comiques parfois mal placées et le tout dernier donjon, inutile et ne faisant pas honneur à un jeu dont le level design était excellent jusque là.

Bref, une expérience qui vaut le détour. Le jeu n'est pas parfait mais l'expérience est tellement agréable qu'il serait dommage de passer à côté.
Morm

le 20/01/2014
Edité le 20/01/2014
7 play3
Tout ayant été déjà dit, je me contenterai d'un fameux +- pour mon avis.

++Direction Artistique de génie
+ Un Cel-shading magnifique qui sublime la DA
+ Gameplay original et novateur
+ Univers et ambiance accrocheurs
+ OST bien dans le ton

+- Histoire sympathique, mais trop longue à se mettre en place et manquant de personnages vraiment charismatiques

-Beaucoup trop facile (et le jeu assiste trop le joueur)
--Les dialogues : trop de répétitions, vitesse de défilement trop lente et des bruitages insupportables

Une expérience très sympathique donc, mais à laquelle il manque un petit "brin de folie" pour la rendre vraiment inoubliable. C'est en tout cas l'un des Action-Aventure les plus intéressants auxquels j'ai joué.
Bahamut-Omega

le 14/12/2013
9_5 play3
Je vais faire assez court, tout simplement car ce jeu est une pure merveille.
L'histoire captivante et émouvante.
Univers haut en couleur et incroyablement riche.
Les personnages sont très attachants.
Le gameplay est excellent.
Graphiquement c'est sublime (déjà sur Ps2 c'était le cas) et l'OST est divine.
Et pour finir le jeu possède une excellente durée de vie (40 au minimum, et un New Game +).

Dans les défauts, le jeu est trop facile.
Il y a aussi pas mal de répétition des les dialogues, en plus on ne peut pas les accélérés, parfois c'est très long.
Et pour finir j'ai trouvé une petite baisse de rythme sur le milieu du jeu mais rien de dramatique.

9,5/10
Medion

le 19/11/2013
9 play3
Longtemps après tout le monde, je me suis plongé dans Okami grâce au remake HD. Et plus de sept ans après sa sortie initiale, le jeu justifie toujours la superbe réputation qui le précède. Un gameplay intelligent qui évolue tout au long du jeu, des boss géniaux, un visuel atypique et attachant, un gameplay intelligent et une bande son magnifique contribuent à rendre cette grande aventure inoubliable. Et on oublie bien vite les quelques petits défauts, en pleurant le manque de succès d'un titre qui le méritait tant.

+ Amaterasu
+ Ambiance enchanteresse
+ Bande son
+ Excellent gameplay
+ Un univers haut en couleurs
+ Lifting HD parfait
+ Contenu énorme

+/- Un peu simple, mais bon...

- Le pinceau est parfois difficilement maniable avec le stick
- Le personnage d'Issun, assez lourd
- Le son accompagnant les dialogues est infames, et on ne peut les accélérer...
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