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118 commentaires
Final Fantasy IV play
Spiriel

le 23/09/2006
6
FFIV, c'est le RPG old-school dans toute sa splendeur. Une histoire classique, avec un déroulement rythmé, une mise en scène discrete et efficace. De bons personnages malgré un développement léger. Une très bonne bande son, inférieure aux autres FF de la console. Idem pour le gameplay, pas mal mais moins riche. Agréable, le jeu en lui-même n'a pas vieilli, ses graphs si. Un très bon moment passé, mais rien qui le rendrait culte non plus.
Final Fantasy IV wsc
Spiriel

le 23/09/2006
6
FFIV, c'est le RPG old-school dans toute sa splendeur. Une histoire classique, avec un déroulement rythmé, une mise en scène discrete et efficace. De bons personnages malgré un développement léger. Une très bonne bande son, inférieure aux autres FF de la console. Idem pour le gameplay, pas mal mais moins riche. Agréable, le jeu en lui-même n'a pas vieilli, ses graphs si. Un très bon moment passé, mais rien qui le rendrait culte non plus.
Final Fantasy IV snes
Spiriel

le 23/09/2006
Edité le 02/01/2015
6
FFIV, c'est le RPG old-school dans toute sa splendeur. Une histoire classique, avec un déroulement rythmé, une mise en scène discrète et efficace. De bons personnages malgré un développement léger. Une très bonne bande son, inférieure aux autres FF de la console. Idem pour le gameplay, pas mal mais moins riche. Agréable, le jeu en lui-même n'a pas vieilli, ses graphs si. Un très bon moment passé, mais rien qui le rendrait culte non plus.
Final Fantasy IX play
Spiriel

le 23/11/2003
Edité le 02/01/2015
5_5
Un Final Fantasy honnête mais sans grande ambition, tranchant sur ce point avec ces prédecesseurs (pas toujours réussis d'ailleurs). Le gameplay est moins riche et dynamique que celui du VII. L'histoire et les personnages sont mignons, mais tout cela reste superficiel. Ce dont je me suis aperçu en le refaisant, c'est que la mise en scène est incapable de mettre en valeur les scènes clées. Les moments d'émotion sont rarement bouleversants aussi je trouve. Rien n'est vraiment exploité à fond, peut-être pour éviter tout clivage et jouer au maximum sur la nostalgie.
Si c'était le but, c'est réussi, vu la côte d'amour du jeu. Quelques belles musiques.
Final Fantasy Tactics play
Spiriel

le 08/08/2015
6_5
Gros potentiel avec quelques ratés dans l'exécution.

L'intrigue rappelle fortement les Ogre, œuvres précédentes de Matsuno. Sa fascination pour l'Histoire, la façon dont elle se construit et les personnages qui se cachent derrière, sont présents. Et c'est probablement la plus grande force du jeu : la présentation de l'univers et de l'histoire du jeu est redoutable, et tout le début du jeu nous rive à notre siège. En effet, on est plongé dans un contexte déjà très avancé (une guerre vient de se terminer, et beaucoup d'évènements liés sont à la source de la guerre suivante qui est le sujet du jeu). Le début est très dense, et sollicite sans cesse notre réflexion pour démêler toutes ces informations et identifier le rôle de chaque personnage. Le gameplay n'est pas en reste puisqu'il nous impose de développer les jobs le plus tôt possible afin de faciliter les combats et avancer sans heurt dans l'histoire.

On en vient à une question souvent évoquée à propos du jeu : la difficulté. Les cartes sont de dimension réduite et avec seulement 5 PJ (et guère plus d'ennemis, voire moins). On se retrouve donc tout de suite dans la mêlée et l'issue du combat se décide dans les premiers tours. L'aspect tactique, contrairement à d'autres T-RPG, est donc réduit à la préparation du combat, et dans les deux premiers chapitres, c'est là que réside la difficulté. En effet, on doit choisir et préparer (quel équipement ? quels skills ?) nos personnages avant de connaître la carte ou les ennemis. Doit-on se préparer contre de la magie ou de la force brute ? Faut-il se protéger contre un statut négatif ? Impossible de le savoir à l'avance, et si on se plante complètement dans sa prédiction, certains combats en principe sans grande difficulté peuvent devenir ardus.

Le fameux combat à la fin du chapitre 3 fait exception, la puissance de l'ennemi le rendant dangereux quoiqu'il arrive, mais le combat qui suit (sur le toit) résume bien le problème à mes yeux. Ayant préparé une équipe "physique", j'observe le personnage qui doit être sauvé se faire tuer sans avoir eu l'opportunité de jouer un seul PJ ! Le problème est réglé en rejouant le combat avec des PJ très rapides, qui gagnent le combat aussi vite qu'il avait été perdu la première fois... !

Le recrutement d'Orlandu facilite grandement la fin du jeu, mais une fois qu'on a tous les skills qu'on visait (2/3 du jeu) et des armes puissantes, notre équipe est déjà redoutable. Les derniers combats sont de toute façon très simples...

L'histoire faiblit également à l'entame du chapitre 3. Les mystères si bien posés au début sont pour la majorité résolus, et à ce stade les méchants sont identifiés et caricaturés, ne servant plus que de chair à "boss". De plus, une certaine confusion s'installe et l'histoire n'a pas la conclusion qu'elle méritait, malgré des intentions d'une ambition louable.

Le jeu se finit tout de même grâce à une bande-son efficace et un design mignon, mais avec des séances de jeu plus courtes, pour un total de 60h pour ma part.
Final Fantasy V play
Spiriel

le 24/09/2004
4
Moi aussi j'ai fait FF5 car les musiques m'attiraient, et aussi parce que Synbios m'avait dit qu'il le trouvait mieux que le 6 (il s'est rétracté depuis). J'ai compté le nombre de pixels que font les sprites en hauteur : 16! (déjà le fait de pouvoir les compter n'est pas bon signe...). C'est vraiment moche. Le gameplay est surtout axé autour du système de jobs. Ca a l'ait intéressant comme ça, mais en fait ça devient pénible. Parce que pour ne pas se prendre violemment la tette dans les lieux, il faut avoir ses skills développés. Mais pour ça il faut développer les jobs à faible caractéristiques. Tout ça pour dire que sur la fin je me suis pris la tête avec les jobs (j'y jouais donc 1 heure de temps en temps) pour pouvoir finalement dérouler le dernier lieu sans problèmes. Sinon le scénario est plutôt indigent. Bon je suis un peu sévère, mais il n'y a aucune originalité, aucun réel intérêt. La mise en scène est effectivement catastrophique, ce qui signifie que plein de persos vont se sacrifier mais ya rien a faire on s'en fout! tout le contraire d'un Suikoden. Il y a bien mieux a faire sur SNES. Vraiment!
Final Fantasy V snes
Spiriel

le 24/09/2004
4
Moi aussi j'ai fait FF5 car les musiques m'attiraient, et aussi parce que Synbios m'avait dit qu'il le trouvait mieux que le 6 (il s'est rétracté depuis). J'ai compté le nombre de pixels que font les sprites en hauteur : 16! (déjà le fait de pouvoir les compter n'est pas bon signe...). C'est vraiment moche. Le gameplay est surtout axé autour du système de jobs. Ca a l'ait intéressant comme ça, mais en fait ça devient pénible. Parce que pour ne pas se prendre violemment la tette dans les lieux, il faut avoir ses skills développés. Mais pour ça il faut développer les jobs à faible caractéristiques. Tout ça pour dire que sur la fin je me suis pris la tête avec les jobs (j'y jouais donc 1 heure de temps en temps) pour pouvoir finalement dérouler le dernier lieu sans problèmes. Sinon le scénario est plutôt indigent. Bon je suis un peu sévère, mais il n'y a aucune originalité, aucun réel intérêt. La mise en scène est effectivement catastrophique, ce qui signifie que plein de persos vont se sacrifier mais ya rien a faire on s'en fout! tout le contraire d'un Suikoden. Il y a bien mieux a faire sur SNES. Vraiment!
Final Fantasy VI play
Spiriel

le 07/02/2004
8
Le premier point a noter est l'absence de heros principal. C'est tres positif pour un ff sachant que dans les autres opus le scenario tourne exclusivement du heros. La bande-son est effectivement excellente meme si je la trouve inferieure a celle de chrono trigger (). Au fil du jeu les personnages prennent presque tous corps, Terra etant un des persos les plus attachants que j'ai pu rencontrer (pas pour son design). Le systeme de combats et d'evolution n'est lui pas tres revolutionnaire, et comme la plupart des ff il y a des sous-quetes assez introuvables... Il n'empeche que le scenario, meme si pendant une grande partie se resume a une recherche des espers, regorge de beaucoup de bonnes surprises, comme les divisions en plusieurs groupes, le fait de devoir retrouver ses persos avant le combat final... meme si l'histoire n'a rien d'innovant. Kefka est par contre un boss final ridicule (pourquoi pas en tant qu'ennemi mais en tant que boss final ca passe mal). Pour conclure ce jeu ne recele pas reellement de defauts et comporte plusieurs qualites, mais il n'a pas l'etincelle qui fait par exemple de chrono trigger un mythe.
Final Fantasy VI snes
Spiriel

le 07/02/2004
Edité le 15/08/2014
8
FFVI est l'un des premiers jeux à donner ses lettres de noblesse aux RPGs, au-delà du simple divertissement, comme un passage à l'âge adulte du genre. Plusieurs raisons à cela. Tout d'abord, et peu n'en conviennent pas, la bande-son, magique, confère une atmosphère mélancolique qui transforme le jeu en expérience vécue. Les graphismes et l'histoire vont dans le même sens, donnant une cohérence rare à l'ensemble. La mise en scène et la narration se démarquent des canons de l'époque, affirmant une ambition qu'on ne retrouve plus depuis la fin de l'époque 128 bits. Qui ne se souvient pas de l'intro dans la neige avec le thème de Terra, la scène de l'opéra ou encore de Célès sur l'île, confrontée à la solitude (confronter un personnage à la solitude dans un JV, mais ils sont fous ou quoi chez SquareSoft ?!). Cette mise en scène, appuyée par les musiques, est fondamentale car c'est elle qui donne sa dimension émotionnelle ou épique. Le jeu se démarque également par un mythique boss de fin dément, qui oscille entre ridicule et terreur. Le casting est d'ailleurs excellent. Néanmoins, la plus grande qualité du jeu, qui n'a pas assez inspiré les créateurs de RPG à mon goût, c'est sa structure scénaristique. Une première partie assez dirigiste présente des divisions de groupe et de nombreux évènements marquants même si la ligne conductrice est assez simpliste; une seconde partie déroutante qui offre une grande liberté au joueur, avec des quêtes parfois inaccessibles raisonnablement.

Le gameplay est bien huilé mais moins efficace que les matérias de FFVII par exemple. Malgré plusieurs parties, j'ai assez peu de souvenirs des lieux, ce qui prouve que de ce point de vue là, le jeu n'avait pas encore atteint la maturité d'un CT (monotonie des décors et des ennemis, probablement, voire de la plupart des boss).

Incontournable, et une des pierres angulaires du RPG japonais.
Final Fantasy VIII play
Spiriel

le 02/01/2012
Edité le 02/01/2015
4_5
En terme de fiction, Final Fantasy VIII est un gros ratage. Le scénario, très maigre au final, repose sur des rebondissements absurdes, et à la limite du grotesque dans le CD3. Cette absence de lien cohérent entre les scènes cinématiques (qu'on jurerait réalisées avant que le scénario ne soit écrit) ne serait pas rédhibitoire si l'histoire s'appuyait sur des personnages qui maintiennent un intérêt constant et une certaine ambiguïté, voire un mystère. Seulement, les Cid, Edea, Seifer, Raijin et Fujin, sans parler des ennemis principaux qui apparaissent pour se substituer aux précédents dans le CD3, ne sont travaillés que comme des prétextes, jamais comme des personnages à part entière. Outre Irvine dont je sais juste à quoi il ressemble, les PJ secondaires que sont Selphie, Zell et Quistis (pourtant intéressante au tout début) sont attachants mais assez transparents. Reste le couple central, qui ne devient véritablement le cœur du jeu qu'à partir du CD3, et plutôt similaire à Cloud/Aerith, en un peu moins subtil mais touchant malgré tout. La dimension romanesque réclamée par le jeu est donc loin d'être atteinte, malgré un talent évident de SquareSoft à faire vivre son petit groupe d'individus.

Quant à l'école militaire, elle ressemble plus à un lycée classique qu'autre chose. Néanmoins, la mission de subtilisation de wagon est réussie(au contraire des missions suivantes, dont l'exécution est automatique et très confuse, y compris celle qui conduit au dernier lieu), d'autant plus qu'on s'amuse de l'amateurisme inattendu du groupe à Linoa.

Le système de jeu est déséquilibré et plutôt absurde, mais finalement on se prend à pomper les magies des ennemis lorsqu'on en découvre une nouvelle. On peut toutefois regretter qu'en définitive, c'est l'association des G-Force qui fait la "personnalité" du PJ, plus que le PJ lui-même (le système de matérias de FFVII n'atteignait pas une telle extrémité)
Presque pas de lieux à proprement dit à part le tout dernier. J'ai passé beaucoup d'heures sur le (très bon) jeu de cartes, récupérer les magies et objets pour les armes, ainsi que certains bonus fortement recommandés avant le lieu final, ce qui donne un corps de jeu franchement court, mais au moins ne tourne-t-on pas en rond.
Techniquement, le jeu est sans surprise pour la franchise, donc très bon. Idem pour les compositions d'Uematsu, valeur sûre de la saga jusqu'au 9.

Beaucoup de points négatifs et assez peu de positifs, mais je reconnais néanmoins y avoir joué sans me forcer, loin de là. Il reste cependant l'un des plus faibles de ceux que j'ai fait (4 -> 10).
Final Fantasy X play2
Spiriel

le 17/10/2010
Edité le 02/01/2015
3_5
SPOILERS AHEAD
Malgré tout ce que j'en avais entendu dire, et même à cause de cela, Final Fantasy X m'a un peu surpris.
Tout d'abord la linéarité des lieux ne m'a posé aucun problème. Au fond, ils sont là juste pour faire des combats, comme dans beaucoup d'autres RPGs. Par contre ils peuvent être longs à cause d'une fréquence de combats élevée. Il est également impossible de faire d'allers-retours entre les différents lieux pendant très longtemps, ce qui est déjà plus frustrant. Le scénario nous emmène d'un lieu à un autre, en fait essentiellement les cloisters pour le pèlerinage de Yuna, et ce presque jusqu'à la toute fin. Le design des personnages est original, mais on passe vite dessus car ils n'apportent rien comme ils n'irritent finalement pas. L'illustre histoire d'amour entre Tidus et Yuna est contre toute attente probablement ce que l'histoire a de plus intéressant à proposer. C'est pudique, parfois bien senti... par contre on nous balance une scène par-ci par-là pour nous montrer leur complicité se tisser progressivement, ce qui donne une impression un peu artificielle/fragmentaire.

Pour le reste, le jeu m'a déçu. Déjà, le travail d'Uematsu est pour le moins discret contrairement aux 6 opus précédents. Aussi, j'avais cru comprendre qu'il était doté d'un scénario passionnant et d'un gameplay addictif. Ce dernier repose quasi-exclusivement sur le sphérier, qui n'est pas mauvais en soit mais donne l'impression de grandes possibilités de customisation alors qu'en réalité les profils sont déjà grossièrement définis pour chaque personnage. Le fait d'être forcé de switcher les personnages lors des combats pour que chacun gagne l'expérience est la source de l'implication qu'on leur consacre. Au final, le système est loin d'être aussi riche que celui de FFVII par exemple, pour rester dans la saga, mais ça se joue bien. Par contre, les boss sont rendus très faciles par le nombre ahurissant d' "armes" surpuissantes à notre disposition. Si on réunit les overdrives de chaque personnage, ceux des aeons (Bahamut est abusé), les sorts surpuissants et les objets en nombre aux effets colossaux, c'est vite fait d'allumer les différents boss, et même très rapide. Étrangement, mais comme dans d'autres FF, certains ennemis normaux sur la fin étaient imbattables pour moi, ou vraiment trop dangereux pour ce qu'il rapportent, entraînant ma fuite systématique ;p. Des boss plus simples que des ennemis aléatoires, ça casse le côté stressant et décisif des boss...

Je n'ai aucune antipathie pour les personnages, mais à part éventuellement le couple central, ils sont franchement superficiels, avec un ou deux traits de caractère et c'est tout. L'histoire est d'une fadeur extrême, me faisant penser au brouillon d'un collégien pour sa première fiction. Projection dans un autre monde, rencontre quasi-immédiate de la plupart des autres personnages, et pèlerinage pour récupérer les aeons jusqu'au dernier lieu du jeu, alors que les Tales of réservent un peu plus de scénario une fois les esprits récupérés. Très explicitement, le scénario puise son inspiration de Final Fantasy VII pour les problèmes/motivations de son héros et de son méchant, de Xenogears pour le côté critique de l'institution religieuse beaucoup trop démonstrative pour avoir la moindre force de conviction, et surtout Chrono Cross pour son univers hétérogène et exotique. Mais la différence de niveau entre ce dernier et FFX est immense, tant au niveau du background (origine de cet assemblage très divers), de la structure scénaristique (très forte bien qu'incomplète dans CC alors que les rares éléments scénaristiques de FFX, autour du rêve, sont d'une grande confusion), mais surtout au niveau de la mise en scène.

Et là, FFX fleure bon l'amateurisme. La démarche des concepteurs du jeu est immédiatement lisible, à savoir emmener le joueur dans différents lieux pour un dépaysement maximal, le faire passer d'une émotion à une autre. Voila en réalité la finalité de cet univers varié et coloré : des cinématiques fascinantes (reconnaissons-le, encore en 2010) mais sans interaction avec l'histoire ou les personnages. Ainsi jamais le potentiel de ces scènes n'est exploité, ce qui est parfois sidérant. Par exemple, assez tôt dans le jeu, on voit Yuna danser pour "libérer" les esprits des morts. La scène est splendide, avec de l'eau qui se soulève... tout ça sans intensité dramatique, sur fond de voix-off de Tidus qui se souvient (ah oui, trop de voix-off aussi, souvent insupportable). Le résultat est plat, c'en est presque un miracle. C'est là tout le problème. "Là tu fais des combats, là tu admires les décors, là tu écoutes la cut-scène..." Tout est délié, donnant une impression très mécanique. Les épisodes de la tentative de tuer Sin (un peu gros le symbole du nom, surtout qu'il n'est pas approfondi) avec les machines ou encore la destruction de la ville Al Bhed ne sont que des épisodes, pas préparés par ce qui précède, pas exploités par ce qui suit. Je ne me remets toujours pas de la scène où Rikku intègre le groupe, mais elle symbolise bien le problème. Un gars avait dans l'idée qu'une jeune et jolie fille apparaissant au grand jour après avoir retiré une combinaison de plongée, ca le ferait. Ben... il a pas tort, mais ça se contextualise une scène visuelle ! Dans Chrono Cross, lors des évènements clés, les personnages s'incarnent et réagissent à ces évènements, parfois réussissant à les modifier, et c'est ainsi et pas autrement que le joueur apprend à les connaître, et pas dans des scènes dédiées à développer tel ou tel personnage. Cela donne des scènes mémorables. Ici, seule l'image a été travaillée pour marquer les esprits.

Je ne peux pas dire que le jeu est insupportable (il se montre nettement moins insistant sur le background qu'un Tales of the Abyss), mais l'envie d'y jouer s'est dissipée progressivement et l'impression qu'il me laisse est très ténue. En tant que fiction, le jeu ne propose presque rien, la critique de la religion évoquée dans l'article par Feid est insignifiante. Restent des combats relativement efficaces, des personnages aux caractères facilement identifiables, et une romance qui finalement est abordée de façon trop passagère sachant qu'elle est le principal attrait du jeu.
Fire Emblem gba
Spiriel

le 03/11/2012
Edité le 02/01/2015
5_5
Efficace mais trop classique pour être mémorable.
Fire Emblem: Fuuin no Tsurugi gba
Spiriel

le 10/05/2013
Edité le 02/01/2015
5_5
Design soigné, ambiance colorée, gameplay efficace, challenge intéressant, personnages attachants...
Les raisons ne manquent pas d'accrocher à ce FE, ce qui m'arriva assez vite.

La difficulté vient sans doute d'une certaine triche dans le déroulement des chapitres qui conduit à les refaire en étant averti (des ennemis qui débarquent sans prévenir sur la carte, et jouent tout de suite, pouvant massacrer un personnage avant d'avoir eu le temps de se redéployer), mais au bout d'un moment, pour ceux qui ont optimisé leurs personnages, cette difficulté disparaît. La fin ne comporte d'ailleurs plus aucun défi.

Le scénario est vraiment plat par contre. Et c'est finalement cet enjeu uniforme qui est responsable de la répétitivité du jeu, qui créé une certaine lassitude.

Encore un bon jeu, auquel on a du mal à décrocher avant d'avoir du "mal" (un peu excessif, je l'avoue) à le finir.
Fire Emblem: Path of Radiance gc
Spiriel

le 26/10/2022
6_5
Ce Path of Radiance est somme toute similaire aux épisodes GBA, avec une meilleure finition. Design sublime, OST efficace, gameplay accrocheur et difficulté stimulante. Toutefois, sans explorer de nouveaux chemins, le scénario et les personnages vont plus loin que le simple prétexte, donnant un peu de chair à l'aventure. Les deux principaux ennemis sont assez fascinants également.
Fire Emblem: Radiant Dawn wii
Spiriel

le 26/10/2022
6_5
Radiant Dawn suit Path of Radiance, mais s'en démarque clairement en tentant plusieurs choses. Même si cela peut déstabiliser l'habitué, j'ai aimé l'ambition narrative, avec les différents points de vue, les groupes parfois extrêmement hétérogènes. Il en résulte malheureusement quelques déséquilibres. Les motivations de certains personnages, à certains moments, sont bancales.

Et surtout, comme mentionné fréquemment avant moi, la difficulté est étonnamment dosée. Qu'elle n'augmente pas linéairement est une bonne chose, car cela peut avantageusement sortir le joueur de sa zone de confort. Par contre, la première partie du jeu cumule trop de complications, et en devient crispante. Difficile d'avancer lorsque presque tous les personnages meurent en un coup, ou alors on doit se reposer sur un personnage ultrapuissant dont on devine qu'il va nous quitter juste après, et donc qu'on doit se préparer à faire sans lui. Lorsqu'on retrouve les personnages déjà connus, la principale préoccupation est d'optimiser leurs passages de niveaux, les risques étant fortement réduits. Les derniers combats deviennent tendus, mais dépendent finalement presque uniquement de notre capacité à avoir amené nos personnages à leurs limites.

Petite déception sur la conclusion du scénario, pas aussi galvanisante qu'attendu.
Fire Emblem: The Sacred Stones gba
Spiriel

le 03/11/2012
Edité le 02/01/2015
5_5
Accrocheur et attachant mais oubliable.
Golden Sun gba
Spiriel

le 04/10/2004
7_5
Premiere remarque a faire, le design est le meme que celui de shining and the holy ark, ce qui est bien sur tres positif. La bande son est tres bonne, et les graphismes sont epoustouflants pour la gba. Le gameplay est tres bon, avec les djinns et leur triple utilisation. Les mieux sont parsemés de petites énigmes qui rendent les lieux interessants. Un excellent jeu donc malgré un scénario assez faible et des persos plutot transparents (pas grave, Alex a trop la classe).
Golden Sun: L'âge Perdu gba
Spiriel

le 23/09/2006
6_5
Plus long que le premier, plus d’ambiguïté au niveau des persos, une liberté parfois déroutante... Plus ambitieux mais en même temps moins agréable que le premier a mes yeux. Les lieux sont moins sympathiques. Gameplay, bande son et design sont toujours au rendez-vous.
Grandia sat
Spiriel

le 23/11/2003
7
Ce jeu est une veritable cure de jouvence! Et si vous compreneze mal l'anglais (comme moi^^)faites le en francais: les dialogues valent vraiment le detour! Le systeme de combat inhibe assurement l'ennui et le scenario, assez limpide, revele de bonnes surprise. L'ambiance enfantine est tres agreable, et la fin est un peu decevante a cause du serieux a ce moment la (ben oui faut sauver le monde).
Grandia play
Spiriel

le 23/11/2003
Edité le 02/01/2015
7
Ce jeu est une véritable cure de jouvence! Le système de combat inhibe assurément l'ennui et le scénario, assez limpide, révélé de bonnes surprise. L'ambiance enfantine est très agréable, même si la fin est un peu décevante à cause du sérieux à ce moment là (ben oui faut sauver le monde). Des moments de pure aventure qui rendent nostalgiques.
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