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Commentaires de Yahiko avatar
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230 commentaires
Final Fantasy IX play
Yahiko

le 10/01/2009
10
Formidable review de Golden Leaf, la meilleure que j'ai pu lire sur ce jeu.
FFIX est une sorte de perfection vidéoludique, certainement l'épisode le plus abouti de la plus grande série de RPG. Onirique, savoureux, ennivrant, FFIX est un jeu magique, maîtrisé de A à Z, desservi par un casting inoubliable et saupoudré de passages grandioses.
Final Fantasy IX play3
Yahiko

le 27/11/2018
10
Le meilleur. Ça bouge pas. Ça bougera jamais.
Shining Force III scenario 1 sat
Yahiko

le 29/01/2010
10
Le seul épisode du meilleur Tactical sorti en Europe. Il pose les bases du jeu et introduit les protagonistes que l'on va suivre durant plus de 120h. Il met de plus en exergue les talents de Yamanouchi avec les plus beaux persos de la série (Masqurin, Hayward, Frank). Un must.
Shining Force III scenario 2 sat
Yahiko

le 29/01/2010
Edité le 07/05/2014
10

De mémoire Scenario 2 était l’épisode de la trilogie que j’avais trouvé le moins ultime des 3. En plus d’y passer à nouveau un très bon moment, cette nouvelle partie aura donc eu le mérite de me le faire apprécier à sa juste valeur.

Clairement ce scenario 2 est infiniment proche du 1. Et faire une distinction de qualité entre ces deux épisodes relève finalement plus du chipotage qu’autre chose. Oui le casting global est un peu moins convaincant. Oui le jeu est un peu moins difficile, la faute à Medion son personnage principal quasi invincible et qui pourrait presque nettoyer les cartes à lui tout seul. C’étaient mes principaux griefs. Ils sont toujours fondés mais c’est oublier que ce scenario a autre chose à offrir.

Et en premier lieu un level design remarquable. Sans oublier les codes d’honneur de l’épique et de l’héroïsme, marque de fabrique Shining Force, Scenario 2 propose tout au long de son aventure des champs de bataille plus élaborés et plus variés que les standards de la série. Certains sont mémorables et contribuent à donner à cet épisode une personnalité plus marquée et moins stéréotypée que son prédécesseur. Et ce qui vaut pour les maps vaut aussi pour les contrées traversées et explorées, plus mystérieuses, plus sombres aussi et plus marquantes. Il règne sur cet épisode une aura mystique et magique unique. Sakuraba se surpassant d’ailleurs à la bande son pour nous offrir une de ses meilleures prestations.

Mais surtout l’aventure de Medion bénéficie pleinement du croisement avec celle de Synbios. Elle joue à fond la carte de la synchronisation et de la croisée des destins et c’est purement génial. Camelot a magnifié l’aspect trilogie. Suivre l’aventure de l’autre bord avec les rapprochements scénaristiques et l’impact des précédents choix à tous niveaux (scénaristique, recrutement etc…) confine au génie. Un aspect qui, rétrospectivement, donne également de l’ampleur et de l’épaisseur au Scenario 1 qui se voit ainsi magnifié par son successeur.

Même si je l’adorais déjà, je revois donc quelque peu mon jugement sur ce Scenario 2 qui a pleinement sa place à côté des deux autres. Les trois formant une trilogie cohérente, complémentaire et d’une rare subtilité.
Shining Force III scenario 3 sat
Yahiko

le 10/01/2009
10
Le meilleur T-RPG se termine avec le meilleur épisode de la trilogie. Beaucoup plus sombre que ces deux prédécesseurs, l'histoire déja passionnante prend une toute autre ampleur, les aires de combat sont encore plus intéressant, le chara design encore meilleure et les scènes cultes se succèdent a la fin. Fantastique !
The Witcher 3: Wild Hunt play4
Yahiko

le 10/05/2016
10
Ainsi donc s’achève les aventures de Geralt de Riv, débutées il y a presque 10 ans. Une trilogie plus tard, CD Project aura donc réussi à installer sa licence au sommet de la pyramide du jeu de rôle et du jeu vidéo en général. Un tour de force admirable conclu par un dernier épisode magistral, qui marquera à jamais l’histoire du genre.

The Witcher 3 est un chef d’œuvre artistique et technique. A un niveau qui fait passer les autres jeux du genre au rang de série B et qui justifie à lui seul le passage à une nouvelle génération de machine. The Witcher 3 fout des claques du début à la fin, comme aucun jeu n’en avait distribué depuis trop longtemps. Le travail de CD Project est remarquable en tout point. Le jeu est incroyable techniquement, et orgasmique auditivement. Difficile de se lasser de cette OST qui rentre par la grande porte au panthéon des meilleures bandes-son vidéoludiques jamais composées. C’est difficile à exprimer par de simples mots, et je ne suis pas bien sûr que cette accumulation de superlatifs serve tout à fait la cause du jeu mais comment décrire cette expérience autrement ? C’est simple, pad en mains et casques sur les oreilles The Witcher 3 offre une expérience sensitive fabuleuse, d’une cohérence et d’une finition jamais atteinte. Dans sa vie de gamer il faut avoir arpenté les terres désolées de Velen un jour de tempête, s’être aventuré de nuit dans les marais de Torséchine ou avoir fait trotter Ablette au pied des montagnes d’Ard Skellig un soir de soleil couchant et rasant.

Surtout, The Witcher 3 ne renie pas ses origines et ne badine pas avec les qualités de ses préquelles. Bien au contraire, il propose à l’image des autres épisodes de la série une qualité d’écriture quasiment inégalée. Là encore CD Project tutoie la perfection, et réalise l’exploit d’associer une trame riche en contenu à un univers totalement ouvert. Si la trame principale n’est pas d’une densité incroyable, le contenu général, lui, l’est. Et c’est précisément là que le script de TW3 tire toute sa force. Dans ce contenu secondaire, qui n’a finalement rien d’annexe mais qui, bien au contraire, donne de l’épaisseur au jeu par la cohérence et l’interactivité qu’il entretient avec l’intrigue. Le casting, l’univers et le background, déjà remarquables se retrouvent ainsi magnifiés par cette tonne de contenu. Ici pas (ou peu) de remplissage artificiel via des quêtes fedex sans saveur et sans intérêt, toutes les quêtes secondaires sont prétextes à donner du volume au jeu. La quête principale se retrouvant même complètement impactée par certains choix effectués durant celles-ci. Un tour de force génial et une maitrise impressionnante de la narration. Mieux, quand il s’agit d’envoyer la sauce sur la mise en scène pour élever certains passages au rang de culte, CD Project sait aussi faire. Le dernier quart du jeu est à ce titre une merveille : un enchaînement de scènes et de situations cultes, inoubliables. Je n’ai pas souvenir d’avoir pleuré devant un jeu depuis FF7, c’est donc chose faite.

Une expérience parfaite donc ? Oui en terme de sensations, assurément. Même si objectivement il convient de préciser que le jeu n’échappe pas complètement à l’écueil du second épisode sur la partie gameplay. Ce qui n’empêche pas CD Project de s’être très nettement amélioré dans le domaine, Geralt (et Ciri !) étant ainsi beaucoup plus souple et dynamique à manier, rendant de fait la jouabilité et la progression beaucoup plus agréables. Rien à dire à ce niveau-là. C’est surtout au niveau des situations de jeu que les développeurs ont encore du mal à se renouveler, on se retrouve ainsi à toujours effectuer les mêmes actions (« follow him », « fouillez la zone à l’aide de vos sens de sorceleur » etc.). Et encore une fois la gestion et la progression du personnage n'est pas optimale, trahissant le manque d'expérience du studio dans le domaine. Malgré tout, rien qui ne puisse à mon sens, altérer la puissance de tout le reste.

Car The Witcher 3 est jeu marquant, et bien plus encore : une pierre angulaire du RPG, qui marquera son époque et les suivantes. Il y a eu un avant et un après FF6 dans l’histoire du JRPG, comme il y aura, à mon sens, un avant et un après TW3 dans son domaine. Bravo CD Project pour avoir su réussir à fournir un travail aussi colossal, et merci d’avoir su être à la hauteur de ce que j’attendais de ce jeu.
Vagrant Story play
Yahiko

le 10/01/2009
10
L'Ovni de Square sur PSX. Un très grand jeu, à la fois unique et parfaitement maîtrisé, jouissant d'une ambiance fantastique et d'un design plus que parfait. Un jeu à l'aura grandiose et au scénario intimiste reposant sur un trio de personnages au charisme et à la profondeur inégalés. Un chef d'oeuvre, unique en son genre et savoureux jusqu'aux derniers instants.
Vagrant Story play3
Yahiko

le 03/01/2019
10
Best Game Ever ça bouge pas.
Chrono Cross play
Yahiko

le 10/01/2009
Edité le 07/05/2014
9_5
Jeu à l'estéthique et à l'ambiance fantastique, Chrono Cross est une des merveilles de Square, un diamant à l'état brut, au scénario bien plus profond qu'en apparence et au charac design aussi varié que parfait. Mais le jeu s'appuie avant tout sur un univers magique divisé en 2 mondes parallèles dont les intéractions sont parfaitemnt maîtrisés. Je regrette simplement un système de combat et un gameplay général manquant de profondeur et qui aurait propulsé le soft au plus haut de la pyramide des RPG. Néanmoins un incontournable qu'on ne lâche plus une fois l'aventure démarrée.
Chrono Cross play3
Yahiko

le 03/06/2016
9_5
Quelques semaines après avoir rebouclé Chrono Trigger je me suis délecté de ce nouveau run sur Chrono Cross. Il était déjà un de mes JRPG préférés, 15 ans plus tard mon avis n’a pas changé. Il reste ce chef d’œuvre artistique et lyrique, je l’ai adoré comme à l’époque. Pourtant je craignais un peu la lenteur des combats, mais en fait c’est très bien passé. Autant le système de stamina est un peu pété et met parfois les nerfs (les breaks… !), autant pour le reste ça passe crème. Même aujourd’hui. Ce n’est pas plus lent qu’un MegaTen par exemple. Au titre des bonnes surprises, le level design dont je ne me souvenais plus ce côté aussi ingénieux. Et c’est valable pour chaque lieu traversé. Ils bénéficient tous d’un travail remarquable à ce niveau. Pour le reste c’est conforme à mes souvenirs : une ambiance sonore et visuelle magistrales (El Nido), une animation au top pour l’époque et un scénario génial, bonifié par les relations avec Trigger et ponctué par quelques moments cultes (Viper Manor, Dead Sea, Chronopolis…). Une nouvelle preuve que les grands jeux sont intemporels.
Final Fantasy VI snes
Yahiko

le 16/01/2009
Edité le 25/12/2014
9_5
Le jeu qui aura tout changé. La pierre angulaire du C-RPG moderne tel qu'on le connait aujourd'hui. FFVI restera le premier a avoir offert un univers aussi riche, le premier à mettre en scène des personnages aussi travaillés, le premier à mettre autant en avant les liens entre chacun d'exu, le premier à offrir une trame aussi scénarisé, le premier à aller chercher si loin dans l'émotion du joueur. FFVI est LE rpg qui aura révolutionné le genre et qui lui aura donné ses lettres de noblesse. Une oeuvre unique, fabuleuse, indispensable.
Final Fantasy VII play
Yahiko

le 10/01/2009
Edité le 07/05/2014
9_5
Le jeu qui a démocratisé le RPG en France. Après la claque de FFVI on se disait qu'on ne reverrait pas un jeu de cette trempe de si tôt. Mais Square a relevé le défi et le 7ème opus de la série est certainement le plus profond de la série en terme d'univers, de gameplay et de scénario. Et Nomura signe sa première et plus belle oeuvre avec Square en charac design. Une vraie réussite sur toute la ligne. Simple regret : le passage à 3 persos lors des combats. Mais l'ensemble est fantastique.
Final Fantasy VII Remastered play4
Yahiko

le 27/11/2018
9_5
Version ultra confortable du mythe.
Kingdom Hearts II play2
Yahiko

le 07/01/2020
9_5

La sortie de Kingdom Hearts 3 a généré une certaine hype à me replonger dans cette série que j’ai très vite délaissée à l’époque de sa sortie et qui a, depuis, tant évolué. Comme point d’orgue de cette découverte : Kingdom Hearts 2 et l’envie de découvrir un jeu à la très grande renommée.

J’ai beaucoup reproché au premier épisode ses problèmes de game design et la progression dans ses mondes souvent chaotiques. Pour d’autres raisons j’ai d’abord commencé par faire le même reproche à cet épisode. KH2 commence par régler les problèmes évoqués du 1er en en créant d’autre. Plus de problème de progression hasardeuse, simplement je me suis senti très à l’étroit durant les premières heures. Les premiers niveaux sont petits, on n’a pas loisir d’aller où l’on veut (on nous empêche souvent de prendre un chemin qui n’est pas le bon) et on est coupé par des cut scenes tous les trois pas. Heureusement la qualité de celles-ci est plus que jamais au rendez-vous. Mais quand même. En me lançant dans un JRPG je m’attends forcément à une aventure linéaire et story driven, ce n’est pas le problème, mais j’ai eu la frustration sensation d’évoluer dans un environnement étriqué pendant quelques heures. D’autant que le gameplay apparait d’entrée comme le plus fun et le plus agréable de la série jusqu’ici et que j’ai parfois ressenti une petite frustration de ne pas plus jouer.

Pour autant ça n’a jamais été lourd. Et une fois ces quelques heures passées ça n’a été que du bonheur. Kingdom Hearts 2 est un jeu incroyable. Certainement un des tous meilleurs A-RPG jamais créés. La forme, déjà, est irréprochable. Artistiquement le jeu est magnifique, Shimomura est une nouvelle fois divine (le thème de Riku bordel…) et le rendu graphique est superbe (certaines textures de Port Royal sont à tomber pour de la PS2), c’est un vrai plaisir d’évoluer dans chaque monde. Et puis le gameplay est addictif au possible. J’ai joué en expert, j’ai d’abord regretté de ne pas être passé en critical tout de suite, car pas mal de situations peuvent, d’abord, se résoudre en bourrinant. Puis j’ai finalement trouvé que c’était le bon équilibre pour une première partie. La fin est plus complexe. Sans jamais être vraiment difficile les affrontements poussent quand même à approfondir le système qui se révèle bien plus riche et technique que de prime abord. Et les annexes post game, que je viens de commencer, poussent encore d’un cran la technicité et certains affrontements sont juste kiffant. A posteriori je trouve le jeu parfaitement calibré et la montée en puissance vraiment bien maitrisée.

L’autre point fort de ce second épisode restera la partie scriptée. L’histoire en elle-même est passionnante et vient apporter de nombreuses réponses laissées en suspend lors des épisodes précédents avec des climax incroyables mid game et sur la fin. Elle est servie par deux paramètres maîtrisés de main de maître à mes yeux : la mise en scène fabuleuse et l’alchimie parfaite entre tous les univers et toutes les influences. Le jeu est bourré de symboliques. Pour les supporter et les illustrer Nomura a trouvé la formule magique. Il a ingéré tout le background de tous les univers Disney et Final Fantasy représentés dans le jeu et les a mélangés pour former un ensemble d’une rare cohérence afin de servir son propos. C’est le tour de force de cet épisode et de Nomura. D’autant que le niveau de détails est remarquable et qu’en plus d’enrichir ses thématiques il satisfait parfaitement le fan service (un mini-exemple parmi tant d’autres : la façon dont Aerith se penche sur Cloud lors de leur rencontre <3 ).

Bref, Kingdom Hearts 2 est bien devenu à mes yeux le très grand A-RPG que sa réputation laissait espérer : beau, riche, intelligent, détaillé et parfaitement calibré. Allez zou Top10.


NieR Automata play4
Yahiko

le 27/11/2018
9_5
Je suis toujours aussi emmerdé pour écrire sur NieR Automata, même des mois après l'avoir fini.
C'est tellement riche en émotions qu'il m'est compliqué de mettre des mots sur cette expérience. Après la déception du premier je crois que cet opus m'a transmis tout ce que son prédécesseur avait transmis à ses adorateurs : de l'émotion pure.

Je n'ai pas souvenir d'avoir joué à un jeu qui soit allé me chercher si loin de ce côté là. Peut-être The Last Guardian, mais dans un autre registre. La puissance narrative du Run C et de ses fins alternatives n'a simplement aucune commune mesure avec ce que ce média a pu proposer jusqu'ici. Et à côté de tout ce qu'il peut procurer, les errances du jeu paraissent bien maigres.
Tactics Ogre: Let Us Cling Together psp
Yahiko

le 29/06/2011
Edité le 07/05/2014
9_5
De Let Us Cling Together je connaissais la version Ps1, à priori la moins bonne version, qui m'avait pourtant fait passer de bons moments, Matsuno oblige. Bien plus qu'un simple portage Wheel Of Fortune est un véritable remake en long en large et en travers. Un remake qui transcende littéralement la version originale. Les premières heures de jeu en sont presque choquantes, tant le soin apporté à cette version, l'éloigne de son prédécesseur. Ce n'est plus le même jeu, tout a changé, ou prsque !

Déja l'enrobage du jeu claque, les menus sont somptueux et agrémentés du design fabuleux de Tsubasa et Yoshida. Le tout a en plus le mérité d'être hyer ergonomique, c'est un plaisir constant de s'y ballader. Musicalement Iwata et Sakimoto signent leur plus beau travail, un ton au dessus le déja très bon FFTactics. La variété, la quantité et, surtout, la qualité des battle theme sont tout bonnement hallucinantes. Le résultat du travail des deux compères et de Basiscape est remarquable.
Mais WOF tutoie l'excellence et se démarque avant tout par la qualité de son script. Le synopsis original était déja très bon, et dans le fond il ne change pas beaucoup, mais il est magnifié par le travail colossal d'Alexander O. Smith. La route Law (que je découvre dans cette version) est particulièrement impressionnante car ponctuée de dialogues cultes. Je ne me souviens pas avoir rencontré une telle qualité d'écriture depuis Vagrant Story.
D'ailleurs WoF emprunte beaucoup à ce dernier, principalement en terme de gameplay lui aussi remanié pour le meilleur et, malheureusement, le moins bon. La partie gestion s'est largement enrichie, avec beaucoup de paramètres en lien avec VS, demandant beaucoup plus d'implication au joueur souhaitant maîtriser le jeu. Si je me réjouis de cette exigence qui nous est imposée et qui est devenue une marque de fabrique Matsuno, je déplore un système d'expérience pouvant devenir quelque peu contraignant, lorsque le recrutement de persos avec de nouveaux jobs imposent des heures de levelling avant de les développer au niveau des autres unités. C'est à mon sens le seul point noir du remake, avec le système de craft un peu rébarbatif, qui l'empêche d'être réellement parfait.
Néanmoins cela n'empêce pas le jeu d'être immensément riche, grâce aux tonnes d'ajouts. Entre le background général (perso, univers...), le post game de folie ou les quêtes annexes toutes aussi intéressantes les unes que les autres, le contenu du jeu est dantesque, Square Enix ne s'est pas foutu de notre gueule.

Si Let Us Cling Together était déja un jeu massif, Wheel of Fortune lui fait prendre une dimension supérieure. Un jeu d'une grande classe et d'un bon goût absolu. Un pur chef d'oeuvre.
The Legend of Zelda nes
Yahiko

le 29/01/2010
Edité le 07/05/2014
9_5
Le premier d'une longue série. A une époque où on parle beaucoup de linéarité ou de manque de liberté dans les Rpg, il faut se souvenir ce qu'était capable d'offrir ce jeu. Parachuté dans Hyrule aux commandes de Link sans aucune indication de direction et ambiancé par un des thème les plus épiques qui soit, jamais un jeu ne m'a donné une telle sensation de liberté. L'Aventure avec un grand A.
The Legend of Zelda gba
Yahiko

le 29/06/2011
9_5
Le même que sur Nes mais accessible à tous. Un grand jeu, légendaire !
The Legend of Zelda: A Link to the Past snes
Yahiko

le 29/01/2010
9_5
Un soft magique, un mythe, qui aura marqué toute une génération de joueur. Une grande expérience.
The Legend of Zelda: Ocarina of Time n64
Yahiko

le 29/01/2010
9_5
Un jeu culte, un Zelda hors du commun. Je me souviens de mes impressions lors de ma première partie dans cet Hyrule démesuré, techniquement parfait et à l'ambiance sonore inégalée dans la série. Une grande aventure, longue, passionnante. Ocarina of Time est dans l'esprit celui qui se rapproche le plus du premier opus.
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