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Mangas 2018, suite et fin
Par cKei, le 21/01/2019 à 14h28 (2157 vues)
Catégories : Animation/manga, Critique manga
Il s'agira ici d'une reprise de critiques qui attendaient leur publication, et que je recycle ici sous forme d'un bilan histoire de bien démarrer 2019. Le temps est pourri en ce moment et ça tombe bien parce que j'ai essayé Après la Pluie, entre autres nouveautés plus ou moins récentes.

Critiques inédites


Après la pluie

Akira, 17 ans et lycéenne, est un des grands espoirs de l'athlétisme nippon. Ou plutôt était, car une grave blessure au talon d'Achille la tient éloignée des pistes. Elle semble même avoir perdu tout gout pour le sprint, a quitté son club, déprime et passe l'après-cours dans un restaurant du coin à faire la serveuse. Tout le monde se demande bien pour quelle raison elle gâche son talent dans une activité aussi quelconque. Sa raison est pourtant simple : un jour de pluie où elle déambulait sans protection, le gérant du restaurant lui a offert l'hospitalité. Ce boulot, ce n'est ni plus ni moins qu'une façon de rembourser sa dette à un homme qui s'est montré sympa avec elle au moment où elle était au fond du trou ? Ce qu'elle n'a pas encore compris, c'est qu'en dépit de toute logique elle est tombée amoureuse de ce Masami, presque 30 ans son ainé, père divorcé et loser dilettante assumé.

Finalement ce que ça raconte c'est la vie d'une jeune fille aux gouts légèrement déphasés qui a l'impression que nul ne la comprend, et celle d'un quadra qui a mis l'amour de côté avant d'y être rappelé peu à peu par une femme qui lui témoigne de l’intérêt. Chacun a ses problématiques comme autant de souffrances, mais on sent bien qu'ils les utilisent comme bouclier pour éviter de se dévoiler. Et le corollaire c'est que l'amour ne pourra aller au bout qu'une fois le blocage psychologique désamorcé.

Le sel de ce shojo manga, c'est aussi qu'il va au delà de la simplicité d'une histoire d'amour fondée sur le physique ou sur l'image que renvoie la dulcinée : les sentiments des personnages viennent de l’intérêt que leur porte l'autre, l'empathie qu'il leur témoigne, les petites attentions, la peur de heurter. Et ça, avoir envie que celle ou celui qui occupe ses pensées soit heureux.se quoi que ça signifie c'est quelque chose qui me parle.

Dragon Quest: Les Héritiers de l'Emblème

Je crois bien que j'ai oublié d'en parler dans les précédents billets alors que j'ai pris le premier volume y'a bien 4 mois. Pour poser les bases, je dois dire que je suis un fan de Dai no Daibouken (aka Fly), un des premiers mangas que j'ai acheté en sens de lecture japonais il y a plus de 20 ans. Et avec le recul c'était mon premier contact avec les rpg japonais, tellement le manga était proche de l'univers DraQue : feuilles de personnages, persos qui acquièrent des armes légendaires et des sorts à force de grinding, etc. C'est un manga qui tire un peu sur la longueur mais qui m'est cher. Le problème c'est qu'en matière d'adaptation c'est un peu l'exception, le reste n'est pas du même niveau. Notamment Emblem of Roto, sorti en France il y a genre 3 ans, qui n’était qu'un manga d'aventure tout à fait peu inspiré, et dont Les Héritiers de l’Emblème est la "suite".

Tant de gaité dans le regard

L'histoire racontée s'insère donc quelques années après le précédent, lui-même venant compléter l'histoire de Roto et ses descendant (DraQue III-I-II, dans l'ordre). Si j'ai bien suivi le scénario, les protagonistes connus ont fondé leurs royaumes pour faire régner la paix sur les mondes, mais ont fini par disparaitre plus ou moins mystérieusement, laissant planer l'angoisse chez leurs sujets. Puis quelques années avant le début des Hériters le royaume d'Alefgard est une nouvelle fois attaqué, voyant l'intégralité des convives d'une grande fête s'évaporer, y compris le prince héritier et sa sœur jumelle. On suit un jeune voleur impassible qui va étonnamment s'avérer être ledit prince, qui va regagner ses attributs et essayer d'aller vaincre les méchants.

Que dire ? Le scénario ne met pas vraiment les ingrédients pour se démarquer de l'ordinaire, et la seule originalité à mon sens est que pour une adaptation de DraQue c'est assez graphique en ce qui concerne les morts. Dragon Quest a toujours été assez cruel et jusqu’au-boutiste dans les évènements qu'il raconte mais sans trop oser montrer la violence, ici ça va un peu plus loin.

Blame! Deluxe

Je résumerai ça par : c'est beau mais j'ai rien compris.

Blame! c'est un des grands noms du manga des années 90. A l'époque de sa première parution française j'avais jeté un œil mais vraisemblablement pas accroché puisque je n'en gardais aucun souvenir. La sortie de cette version haute qualité, c'est l'occasion de comprendre pourquoi : Tsutomu Nihei a une sorte de génie de la composition d'image et de l'ambiance solitaire dans des décors froids, mais pour ce qui est de raconter clairement une histoire c'est pas encore ça. Alors attention, c'est un parti pris. Si vous êtes réceptifs ça peut être très cool mais moi si c'est pour suivre un gars inconnu errer dans des décors grandioses mais sans vie pendant dix volumes, je vais me faire chier. En terme de Cyberpunk, j'ai déjà ma muse Gally.

Notez que l'excellent Alt236 a fait une vidéo sur le manga, si vous voulez vous faire une idée de pourquoi c'est si adulé.

https://youtu.be/HiKr0-vZSIM

Blue Giant

Je peux compter sur les doigts de la main les mangas que j'ai lu qui parlaient de musique (de tête, Beck, K-on viteuf, et c'est à peu près tout ce qui me vient spontanément). Quand on parle d'un genre comme le Jazz je crois que ça s'approche de zéro. Ou de un, du coup, puisque Blue Giant parle d'un mec qui veut devenir Jazzman.

Mais alors attention. Il ne veut pas apprendre la musique, le solfège, se documenter sur les grandes figures du jazz, monter un petit groupe, espérer peut-être en faire son métier et vivre de sa passion en intermittent du spectacle. Non. La première phrase du manga c'est littéralement "Je veux être le meilleur jazzman du monde". Comme ça, paf. Le mec a juste vu un concert d'un groupe de jazz random, il a été frappé au sens strict par la puissance dégagée par le saxophoniste et donc voilà, this is my life now. Et peu importe qu'il n'ait aucune base ni technique, qu'il casse les oreilles de tout le monde en jouant n'importe quoi le plus fort possible, de toute façon il sera le meilleur jazzman au monde puisque les petites interviews en flashforward des gens qu'il croise sur sa route ne laissent aucune place au doute.

Mais calme ta joie bon dieu !

Le problème c'est que Blue Giant n'est pas un manga sur la musique mais un shonen sportif avec tous ses codes d'abnégation, de protagoniste un peu naïf qui part de zéro et qui va avoir une désillusion mais qui va j'imagine remonter la pente grâce à sa persévérance. Sauf que c'est pas le ballon qui est son ami mais le saxophone... C'est bien foutu mais et bien dessiné mais un peu idiot quand on réfléchi à la situation. Petite réflexion à l'emporte pièce mais on leur a dit aux auteurs japonais que la musique c'était pas une compétition ?

Atelier des Sorciers

Un monde de magie, une jeune fille sans pouvoir qui rêve d'en avoir. Cette envie dévorante va entrainer, via un grimoire maudit, le déclenchement accidentel d'un sort interdit qui cristallise sa mère, et pousse un sorcier de passage à la prendre sous son aile. Parallèlement, celui qui lui avait fourni l'artefact continue à observer la formation de cette jeune sorcière qui semble jouer un rôle dans son plan machiavélique.

Ça a presque un côté art déco non ?

Au départ je ne pensais pas essayer cette série : j'étais dubitatif car je pensais que c'était un spin-off de la série Artelier Collection (meh) et assez proche de Little Witch Academia. Après discussion avec j'sais plus qui qui était enthousiaste j'ai essayé par moi même et... ben c'est très cool. Ça reste l'apprentissage de la sorcellerie par une profane mais on y trouve plein d'idées qui rendent l'univers crédible. La magie ici ne passe pas par des formules mais par des dessins plus ou moins évolués, et la structure des sorts est expliquée par le menu, ce qui est plutôt sympa. Seule petit point noir, je trouve qu'on saute un peu trop vite dans le feu de l'action plutôt que de se consacrer à la "formation" de l’héroïne mais à part ça rien à redire, je vais lire la suite.

Granblue Fantasy

Dans le coin bleu, un épéiste super fort (à l'échelle de son village paumé) dans un monde fantasy, qui tombe sur une donzelle en détresse. Dans le coin rouge, le méchant empire générique. En essayant de sauver "la fille" de l'attaque d'une wyverne invoquée par [insérer méchant pas charismatique] notre héros se fait buter mais comme "la fille" pleure sur son cadavre encore chaud il revient à la vie, et en plus son âme est irrémédiablement liée à celle de ce qui est désormais son âme sœur. Je rappelle qu'il l'a rencontré 5 minutes plus tôt. Bon c'est pas tout ça mais ça leur permet d'invoquer un gros monstre pour tuer leur adversaire de manière flamboyante, et tout ce petit monde va se mettre en branle pour sauver leur peau tout en balançant des phrases à pleines de double-sens.

Subtilité j'écris ton nom

Je vais peut-être être méchant mais j'ai rarement lu un truc aussi abyssal -_- Le dessin est joli mais le scénario et les dialogues sont la définition du cringe, c'est plat, ça enchaine les poncifs de la 1ère à la dernière page (du premier volume). Typiquement si je n'avais pas su d'où ça venait (i.e un mobage gacha-RPG) je l'aurais compris direct, c'est l'évidence même. C'est bien simple : ça ressemble à mort à Grandia III, à des bouts de clichés repris dans SoArcadia ou FFIX (entre autres), y'a strictement rien d'original et on sent totalement
les monstres tirés de l'univers du jeu qu'on invoque à voix haute comme les météores de Pégase. C'est dommage parce que je me disais que j'allais tester cet univers vu que le "gros" RPG Granblue sort cette année et m'attire bien, et au final j'en ressors glacé. :/

My Home Hero

Grand écart total. Ici, un salaryman lambda découvre que sa fille est violentée par son petit ami et décide de chercher des preuves dans son appartement. Lorsque son "beau fils" arrive sur les lieux et déclare au téléphone qu'il va tuer sa copine et que ce n'est pas son premier meurtre, le sang du père de famille ne fait qu'un tour : il sort du placard où il s'était planqué et écrase un objet contondant sur le crane de l'indélicat qui explose. Sa femme débarque à ce moment et le retrouve penché sur le cadavre. C'est le moment où la vie de la petite famille va basculer.

Contraint de faire disparaitre un cadavre en petits morceaux, cacher à un groupe de Yakuzas la mort d'un de leurs membres, le tout sans se faire pincer par la police et encore moins par leur fille, qui pense juste que son agresseur a foutu le camp. Le couple va tout mettre en oeuvre pour se sortir de cette délicatesse, en utilisant les connaissances du mari - écrivain raté mais prolifique - en matière d'affaires criminelles littéraires.

Habituellement je suis pas fan de ce type de manga qui met en scène des meurtres avec un rapport au réel, ça me met mal à l'aise (les Dead Tube et compagnie, là). Sauf que là c'est bien désamorcé par un certain humour de la part du héros et de sa femme, c'est même très drôle par moments. Glauque aussi, avec d'ailleurs un peu trop de distance vis à vis de leur crime pour que je trouve ça crédible, mais on va dire que ça passe. D'ailleurs j'avais une sorte de sensation de déjà vu et pour cause, le dessinateur est celui qui a fait Psychometrer Eiji : dans le style scénaristique et personnages c'est aussi assez proche finalement. Et puis bon y'a du suspense, c'est vraiment pas mal. Un des meilleurs trucs que j'ai lu cette année (enfin, techniquement c'est une sortie 2019) et c'est un polar, je n'aurais pas cru.

Made in Abyss

J'avais très peur pour celui-ci vu que j'ai lu un peu partout des commentaires comme quoi "Made in Abyss est un manga vachement problématique" vis à vis du traitement du corps des personnages, qui sont en effet très jeunes mais il faut arrêter : si j'en juge sur le seul volume 1 on est très loin d'une quelconque pédophilie ou même du "simple" lolicon. En gros, pas grand chose de sale pour le moment.

En revanche ce qui attire le chaland, outre le format bâtard choisi par l'éditeur OTOTO (c'est du 21x15 très coloré avec des personnages à la bouille bien ronde) qui fait un peu livre pour enfant (et qui est mis en avant même à la FNAC), c'est justement un certain décalage. Décalage entre le dessin assez mignon, très en rondeurs et en mignonitude, et d'un autre côté la noirceur de ce qu'on nous raconte. Décalage entre ce quasi-moe des personnages et des traits finalement assez bruts, renforcés par un aspect de dessin en couleur qu'on aurait imprimé en niveaux de gris.


C'est une société terrestre qui a un jour découvert l'Abysse, sorte de trou béant d'une profondeur vertigineuse qui semble s'étendre jusqu’aux entrailles de la planète. En suivant, les nations ont tenté de braver le danger pour s'approprier les probables richesses inimaginables pour l'Homme ; ils ont monté des expéditions, des guildes d'explorateurs, des villes à flanc de falaise. Mais voilà, malgré toute la préparation l'Abysse reste une terre méconnue, et toute personne désirant l'affronter s'expose à ses risques et périls. La malédiction qui touche les plus téméraires entre en action non pas à la descente, mais au moment où on en remonte ; ainsi ceux qui descendent d'une étage souffrent de lourdes migraines, tandis que ceux qui s'aventurent trop loin n'en reviennent jamais, ou les pieds devant.

C'est ce qui est arrivé à la mère de Riko, une exploratrice légendaire dont le courage l'a amené sans cesse plus loin, jusqu'à disparaitre dans le noir. Riko, elle, est toujours une enfant mais ne rêve que de descendre. C'est au moment où elle obtient son permis que deux évènements vont précipiter son départ. D'abord, la réapparition d'une lettre attribuée à sa mère qui l'enjoint de la retrouver au plus bas niveau. Ensuite, un robot humanoïde et amnésique sur laquelle elle tombe un jour d'exploration, et qui ressemble beaucoup à des croquis primitifs trouvés dans l'abysse.

Pas grand chose à dire si ce n'est que ce premier volume m'a donné envie de lire la suite, c'est plutôt prenant et mystérieux.


Pourquoi ces deux-là sont ils donc séparés ? parce qu'il s'agit de deux séries encore inédites en français et que j'ai donc *biiiip* sur un site de scans. Ceci étant si un éditeur Fr veut bien prendre la licence un jour, je ne manquerai pas de soutenir en achetant les volumes car ce sont toutes deux de bonnes séries.

Gokushufudou

Ça fait quelques temps que j’entends parler de celui-là, le synopsis avait l'air cool et ça s'est confirmé à la lecture.

Tatsu coule des jours heureux avec sa femme, qui est employée et fait vivre le ménage pendant que lui tient le rôle d'homme au foyer. Mais Tastu a un secret : sous son tablier se cachent les cicatrices de Tastu l'Immortel, le plus dangereux tueur Yakuza que Tokyô ait portée. Son regard de fou et ses muscles d'acier lui permettent de se DÉBARRASSER de la saleté la plus tenace même sans bouillir, de DÉCOUPER les saucisses en tako-san wieners, d'ENTERRER la figurine favorite de sa femme qu'un gamin a cassé, et même de PULVÉRISER les tensions des ménagères du quartier pendant les cours de Yoga.

Mec, t'es gênant

Vous l'aurez compris, c'est du gag manga intégral qui fonctionne non seulement sur le décalage entre les capacités létales de Tatsu et sa condition d'homme au foyer, mais aussi sur les restes de sa personnalité de tueur paranoïaque et l'arrivée d'anciennes connaissances plus ou moins bien intentionnées. Avec un chapitre / un gag ça ne va jamais très loin mais c'est plutôt tordant et l'antihéros est attachant.

Saotome Senshu, Hitakakusu

Ça m'a été chaleureusement recommandé par @Zali_Falcam et je l'en remercie, ce n'est pas exceptionnel mais cette rom-com toute choupie est sympathique.

La caméra descend du ciel vers l'arrière-court du lycée et zoome sur un duo d'élève en retrait. Le plus grand des deux fait sa déclaration à la seconde forme, plus chétive, qui en reste sans voix avant de lui répondre "non", penaude. C'est officiel, Yae Saotome, grande perche à la musculature puissante et star de son club de boxe vient de se faire rembarrer par Satoru Tsukishima, le mec qui n'a jamais gagné un match.

Ce n'est pourtant pas que Satoru déteste Yae, bien au contraire. Lui-même est plutôt épris de la belle mais se lancer dans une relation serait mettre la future carrière olympique de l'une et la vie de l'autre (si les fans de la boxeuse venaient à l'apprendre) en danger. Mais assez vite la situation est découverte par la coach qui consent à les laisser vivre leur jeunesse, à la condition qu'ils cachent l'idylle. Ce qui n'est pas une mince affaire quand on est autant exposé.

C'est donc une comédie romantique tout ce qu'il y a de plus banale à ceci près que les rôles habituels sont inversés, que ça prend pour cadre la boxe et que l'héroïne n'est pas, une fois n'est pas coutume, une banale "plus belle fille fragile oppai uguu du lycée" mais plus une athlète aux attributs "masculins" (je parle de ses muscles saillants). C'est assez rare pour être souligné, c'est plutôt frais même si à titre perso j'attends encore de trouver une héroïne à la silhouette ronde présentée positivement, m'enfin faut pas trop en demander.

Ce n'est pas non plus une tsundere et c'est peut-être la vraie force de ce manga, les réactions des deux tourtereaux sont très timides (je dirais même "japonaises", ils mettent genre 6 volumes avant de se faire un smack ¦3) et assez naturelles mais si mignonnes.


Bouin ;_;


Question dynamique, on reste dans les cordes habituelles. Découverte de l'autre, puis Saotome poursuit peu à peu son ascension dans le milieu de la boxe lycéenne, rencontre des rivales, tient un objectif en point de mire (les J.O). De son côté Satoru gagne en confiance et s’enhardit peu à peu non seulement dans son rôle de "petit ami" mais aussi pour sa propre boxe et son rôle de manager de la star.

Par bien des aspects ça m'a rappelé d'autres comédies romantiques qui prennent pour cadre la boxe, et il y en a peu (contrairement au Baseball utilisé par Mitsuru Adachi) mais suffisamment pour en faire un genre. Open Sesame et Katsu! étaient cools, Saotome Senshu change un peu de focus et c'est rafraichissant.


Rappel du reste de l'année

Pour ceux qui avaient encore plus de retard que moi à la lecture de ce blog que j'en ai à l'écriture, vous pourrez trouver ci-dessous les billets qui concernent mes explorations des étals de libraires. Certaines images ont disparues mais le texte est d'époque. Les titres en gras sont mes recommandations personnelles immanquables.

Octobre 2018
La Fille du Temple aux Chats ; Kingdom ; Born to Be on Air ; Solitude d'un Autre Genre ; A nos Amours.

Septembre 2018

Final Fantasy Lost Stranger ; Cesare ; Un Pigeon à Paris ; Trace ; We Never Learn ; My Teen Romantic Comedy is Wrong as Expected ; Space Brothers ; Silent Voice (le film).

Eté 2018 (2)

Otaku Otaku ; JoJo's Steel Ball Run ; JoJo's Stone Ocean ; Vigilante: MHA Illegals ; The Promised Neverland ; Little Witch Academia ; Beyond the Clouds ; Moriarty ; Last Pretender.

Eté 2018 (1)

Tenjin ; Gloutons et Dragons ; Monster Musume ; Retour aux Sources ; Les Héros de la Galaxie ; Diver ; La Fillette au Drapeau Blanc ; 4 Life ; JoJo's Stardust Crusaders.

Si je compte bien ça fait quand même 40 séries débutées, donc malgré le retard à l'allumage je n'ai pas tant chomé que ça. A la prochaine !


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3 commentaires
Yaone

le 01/02/2019
Edité le 00/00/0000
Toi aussi tu n'as rien compris à Blame ?
Made in Abyss, je ne le mettrai pas entre les mains d'un enfant, c'est plutôt dark au final.
En tout cas, je suis tentée par Après la pluie. J'aime les shojo qui sortent des sentiers battus.
cKei

le 31/01/2019
Edité le 00/00/0000
C'est le cas. hate de voir si le tome 2 confirme. ^^
Medion

le 27/01/2019
Edité le 00/00/0000
My Home Hero a l'air bien cool !
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