Comme prévu, la quête de libération d'hier des dauphins n'a pas eu lieu. Devant le prix prohibitif nous avons lâchement fui (500 euros pour les 3), après avoir tourné sur la carte pendant des heures (aucun level up, en plus).
Mana en a profité pour incanter son caca magique une nouvelle fois.


Notre troupe est ensuite partie a la conquête d'une plage déserte, repère de tortues des mers, X'cacel (prononcez Skacel, rien a voir avec l'illustre joueur de foot). Sur place, nous sommes agressés par une racaille du coin, mais nous parvenons a nous en défaire.


Malgré le temps mitiges freinant notre progression, nous passons un bon moment, et découvrons quelques inscriptions antiques de la civilisation Maya. Je n'y comprends rien, mais ce pourrait être la clé d'une énigme, qui sait.


Après un passage dans un nouveau Cenote, nous rentrons a l'auberge, éreintés. Je profite d'un peu de temps libre pour me cultiver en regardant des "tele novelas" et Jet Li doublé en Mexicain... Les dialogues ne collent pas aux mouvements des lèvres et les intonations font pitié, un régal.

Le lendemain, nouveau passage a X'Cacel, mais le temps est sublime cette fois ci.

Après les iguanes a touriste de Tulum, nous croisons deux iguanes sauvages et presqu'aucun touriste, un bonheur.

Il était ensuite temps de se remplir la panse dans un petit bouiboui local (cochenita Pibil, mmmmh), puis d'aller explorer les ruines de Chichen Itcha. Un sympathique vautour perché sur le panneau d'entrée rappelle les meilleurs westerns.


Comme dans Seiken Densetsu 3, il y a une heure pour tout (matez la culture), et les 17h15 affichées a l'horloge signifient qu'il faudra visiter demain.
Mais, un spectacle de son et lumieres de gros touristes a lieu a 19h, et si la masse flashs d'appareils photos gênent un peu, il faut avouer que la pyramide en jette.

Il y a 91 marches d'escalier par face, ce qui donne 364 au total, plus celle de l'autel, 365, ils étaient forts ces mayas !
Les commentaires racontent l'histoire de la ville, de sa grandeur a sa décadence, et de tous les sacrifices qui s'y faisaient, pour obtenir les faveur des dieux. On peut également voir un terrain du jeu de l'époque, sorte de basket. Le but était de rentrer une grosse balle caoutchouc dans un anneau très haut perché. Le vaincu était tué, évidemment...

Et la, je mets l'aventure en pause, parce que je suis crevé.

¡ Buenas noches legendrianas y legendrianos !

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