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[Souvenirs] Mes premiers pas dans le jeu vidéo.
Par Ragna, le 10/07/2019 à 00h09 (575 vues)
Catégories : Divers, Jeux vidéo
Sorti en 1993, cette pépite de la Megadrive marqua en son temps de par son subtile mélange des genres. Hybride entre jeu de plateforme, beat'em up, shoot'em up et séquences de nage, Rocket Knight Adventures se démarquait ainsi de la plupart des jeux. Il fait partie de mes coups de coeur de la génération de consoles 16 bits, et des perles de Konami des années 90. Une suite baptisée Sparkster: Rocket Knight Adventures 2 est sortie quelques temps sur le même support, restant dans la continuité des évènements du premier opus. Tandis que Super Nintendo, un autre jeu de la licence vit le jour sous le simple titre Sparkster, ce dernier étant surtout un spin off. Enfin en 2010, c'est un épisode en 2.5D qui sortit sur les consoles Xbox 360 et PS3, sobrement appelé Rocket Knight. Il s'agit du 3ème épisode de la série Sparkster.
Place maintenant à ma critique sur le 1er opus, celui qui lança les bases sur la Megadrive / Genesis, j'ai nommé Rocket Knight Adventures ! Mais d'abord, un peu d'histoire pour se fondre dans l'univers.
[quote]L'histoire prend place dans le monde d'Ethorn, et tout particulièrement au sein du Royaume souverain de Zebulos. Une ancienne guerre fut menée jadis contre un peuple extra-terrestre. Ces envahisseurs étaient arrivés par l'intermédiaire de la Pig Star, un vaisseau spatial. Le premier roi, El Zebulos, se dressa contre les envahisseurs et mena son clan à la victoire après bien des batailles ardues, scellant par la même occasion la Pig Star afin d'éviter que sa technologie ne tombe entre de mauvaises mains. La clé du sceau fut mise sous bonne garde, entre les mains de la lignée royale, au cours des générations. Afin de se protéger contre toute attaque de l'extérieur, un escadron militaire de chevaliers rockets capable de voler et maîtisant des techniques ancestrales d'escrime fut créé.
Sparkster est un opossum orphelin de guerre et chevalier rocket prometteur. Un jour, un mystérieux chevalier rocket corrompu déroba un ancien livre sur les arcanes et les techniques ultimes des rocket knights. Mifune Sanjulo, mentor et père adoptif de Sparkster, en était le gardien mais il fut capturé et grièvement blessé après un terrible duel contre Axel Gear, au point de perdre toute combativité. Sparkster fit le serment solennel de venger son maître et père adoptif, s'entraînant intensivement pour faire partie des chevaliers rocket triés sur le volet et partant en quête de retrouver son ennemi juré. Les années passèrent...
Alors que des rumeurs parlaient d'un chevalier rocket à l'armure mauve et sombre, la quiétude du royaume de Zebulos est à nouveau troublée par de nouvelles attaques menées par l'empire de Devotindos, sous la houlette de l'empereur Devligus Devotindos. Dans la confusion, Axel Gear refait surface et en profite pour enlever la princesse Sherry du château royal, dans le but de forcer le roi à lui remettre la clé du sceau pour réactiver la Pig Star. Revêtu de son armure bleue rutialante et équipé de son propulseur fusée cuivré, Sparkster se lance dans une quête sans merci pour rétablir la paix.
Accessoirement, je tenais à mettre en lumière les origines de l'histoire jusqu'au moment où commence l'aventure, lorsque Sparkster s'apprête à en découdre avec les soldats de Devotindos et Axel Gear pour sauver la princesse et son royaume.
C'est donc à un jeu de plateforme 2D en scrolling latéral qu'on a affaire dans sa majeure partie du gameplay, ponctué de phases s'orientant sur d'autres styles de jeux. Dans tous les cas, l'action reste frénétique de bout en bout et les petites séquences entre les niveaux résument bien la progression de notre vaillant opossum. La direction artistique arbore un savant mélange entre ère médiévale et ère industrielle. En effet, le royaume de Zebulos vit dans les moeurs du Moyen-Âge avec des châteaux fortifiés et des chevaliers en armure brandissant des épées. Mais à cela s'ajoute un détail crucial qui épice le gameplay : l'espèce de jet-pack fusée qui permet aux chevaliers rocket de voler et d'exécuter des vols en piqué pour attaquer. Les habitants de Zebulos sont des opossum, ressemblant un peu à des souris. Tandis que les soldats de l'empire de Devotindos jouissent d'une certaine technologie leur permettant de s'élever dans l'industrie, en construisant des machines de guerre et des robots de combat. Ce sont tous des cochons, au sens propre du terme ! Il est d'ailleurs amusant de voir que les toits de leurs maisons, leurs machines de guerre ainsi que de nombreuses gravures de leurs palais sont en forme de tête de cochons. Ces mécréants convoitent la Pig Star, mais Sparkster n'a pas l'intention de les laisser faire.
La jouabilité assez linéaire et très portée action propose son lot de scènes rigolotes, y compris dans les mini cut-scenes. Sparkster peut donner des coups d'épée et envoit des sortes de croissants d'énergie à distance afin d'atteindre des cibles éloignées. Le truc marrant, c'est que les cochons vaincus sont immédiatement dépouillés de leur armure et se retrouvent en caleçon avant de fuir la queue entre les jambes. Peut-être une sorte de clin d'oeil à Ghouls 'n Ghosts. Leurs expressions et leurs réactions très cartoonesques ne manqueront pas de vous faire éclater de rire ! Même Sparkster bénéficie de certaines facettes d'animation et de réactions de dessins animés qui font qu'on s'attache à lui. De plus, il est très mignon et ses exclamations apportent un peu de vie et de fraîcheur dans sa croisade héroique. Tout au long de son périple, il croise des soldats, différents véhicules et diverses machines de combat, des robots sous forme d'animaux ou d'insectes. C'est l'esprit bon enfant et cartoon mais avec des animations dignes d'un manga, qui font la force du soft et jouent considérablement sur l'ambiance.
Comme tout bon jeu de plateforme qui se respecte, notre opossum peut sauter et se suspendre aux branches d'arbre à l'aide de sa queue tout en glissant à droite et à gauche en suivant une certaine physique. Le personnage est souple et répond au doigt et à l'oeil. Il faudra cependant quelques minutes pour prendre en main le système d'attaque-fusée que permet son propulseur sur son dos. Il faut maintenir enfoncée entre 1 et 2 secondes l'une des deux touches d'attaque du pad Megadrive (A & C par défaut), tout en pointant la croix vers une des huit directions possibles, afin que Sparkster effectue un dash dans les airs quelques instants. Exécutant ainsi une puissante attaque en piqué infligeant des gros dégâts aux ennemis. Horizontalement, verticalement et diagonalement. Ce qu'il faut savoir aussi, c'est que l'attaque-roquette permet de faire rebondir Sparkster contre les murs et autres surfaces (y compris ses ennemis) dans le but d'atteindre des plateformes autrement inaccessibles. Élément essentiel du gameplay autant dans les combats que dans la progression plateformesque. Une jauge de charge dédiée sur l'ATH se met à clignoter dès que l'attaque-roquette est sur le point de frapper, il n'y a alors plus qu'à relâcher la touche d'attaque afin de pourfendre de votre lame vos ennemis ou de ricocher entre les surfaces. Il est également possible d'effectuer une attaque de charge statique qui fait tournoyer Sparkster sur lui-même de façon verticale. Quoi qu'il en soit, Sparkster est invincible le temps que dure une attaque-roquette, élément à exploiter stratégiquement contre certains ennemis.
À côté de cette jauge de charge de l'attaque-roquette, sont représentés des coeurs au nombre de 8, définissant bien sûr le niveau de santé de Sparkster. S'il perd toute sa vitalité ou tombe dans le vide, vous perdrez une vie, mais bien entendu on peut toujours gagner des vies supplémentaires à certains endroits du jeu. Comme la plupart des jeux d'époque, Rocket Knight Adventures possède un compteur de score dans l'ATH. À titre personnel, je trouve la montée du score ridiculement basse pour la largeur du compteur, car le cadre du score est assez large pour accueillir 8 chiffres, en parlant de dizaine de millions, avec les 0 devant. Mais on ne fera pas plus de 200,000 pts et des brouettes à la fin d'un run. Étrange choix.
Pour ajouter ce que j'appelle un bug visuel de collision, il y a comme une sorte de hitbox des ennemis qui ne touche pas Sparkster, que ça soit à cause de leurs corps ou de leurs projectiles, faisant que les sprites du personnage et des ennemis se croisent légèrement sur leurs contours en marquant une légère collision. Rien de bien méchant dans l'absolu, mais cela reste parfois un peu déroutant.
Quoi qu'il en soit, ne vous attendez pas à un jeu simple, loin de là. RKA propose suffisamment de challenge pour maîtriser d'une part Sparkster, et d'autre part apprendre par coeur les patterns de vos assaillants. Proposant ainsi plusieurs niveaux de difficulté afin de rendre l'expérience rejouable. Les 7 stages que comprend l'aventure peuvent se boucler en moyenne entre 1h00 et 1h30, avec éventuellement quelques vies perdues au passage. Mais une fois que vous le connaîtrez par coeur, cela pourra se faire en un peu moins d'une heure, dépendant de votre aisance et de votre niveau de skill. C'est un jeu assez plaisant à refaire, particulièrement fun avec ses scènes aussi comiques et qu'épiques à tire-larigot. Ni trop long, ni trop court.
Venons au plus gros atout du titre qui fait varier les plaisirs comme les styles de jeu. Si le genre plateformer prédomine, on a droit également à des séquences de shoot'em up à scroll horizontal, comptant parmi les plus marquantes. Il y aura par ailleurs quelques rares phases de nage avec un niveau d'eau où il faudra manoeuvrer prudemment pour éviter les pièges et les ennemis. Un passage en vagonnet dans les montagnes vous donnera même une petite dose d'adénaline. D'autres phases vous obligeront à progresser le plus rapidement possible car l'écran défile de droite à gauche ou de gauche à droite, afin d'échapper à un danger. Des courses poursuites seront donc de la partie, en passant même par un combat de méchas. Ça et autres petites subtilités se greffant à la jouabilité. Bref, la variété est au rendez-vous et c'en est jubilatoire à souhait ! En toute logique, le bestiaire est également varié et vous rencontrerez des ennemis différents dans chaque niveau, jamais le même skin plus d'une fois ou avec des couleurs différentes. Des mid-boss viendront saupoudrer votre épopée chevaleresque et ce, aussi bien en début, en milieu ou en fin de niveau. Tandis qu'un boss s'interposera à la fin de chaque stage. Les boss sont généralement de grande taille et présentent une routine particulière pour les vaincre.
Les dessins graphiques sont de très bonne qualité pour le support et l'époque, notamment pour un jeu de plateforme en 2D où se marient différentes couleurs et certains effets de mouvement chiadés comme les chutes d'eau ou les bulles pétillantes à la surface d'une rivière de lave. L'animation des sprites est propre pour de la Megadrive, et malgré l'importante diversité des étapes et de certaines sous-étapes dans ces étapes, l'ordre des niveaux reste cohérent avec la progression de Sparkster. Un interlude aura lieu entre chaque niveau, présentant Sparkster dans une postion héroique en vue d'affronter le niveau qui s'ensuit, avec une mémorable musique de présentation qui donne juste envie de découvrir la suite. En parlant des musiques, c'est du miel pour les oreilles. Chaque niveau possède son propre thème principal, et parfois un autre thème alternatif. Le titre enivre musicalement et inspire dans l'ensemble héroisme et dépaysement, mais le style reste propre au jeu. Les mid-boss ont leur propre thème, quant au boss c'est un thème magistral ajoutant une tension évidente. Les pistes se jouent toujours avec entrain, jamais sans le moindre temps mort, si bien que l'envie d'un petit détour dans le soundtest des options se fera sentir pour se les remémorer. Un sans-faute.
En bref, si vous êtes fan de vieux classiques d'action/plateforme de la génération 16 bits à la sauce médiéval fantasy & industriel/futuriste, à l'action survolté et à l'humour bon enfant, Rocket Knight Knight est le jeu parfait. Surtout grâce à son habile mélange des genres faisant toute sa richesse.
C'est donc avec un plaisir nostalgique que je lui octroie un 9/10.[/quote]



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GENÈSE
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Aujourd'hui, je vous propose un petit voyage dans le temps pour vous parler de mes tout premiers jeux vidéo (hors support de jeux électroniques que je considère personnellement comme passe-temps de récré à l'école, et pas du vrai jeu vidéo, même si quelque part ça reste du jeu vidéo), c'est-à-dire ceux auxquels j'ai pu jouer sur ordinateur avant même de posséder ma propre console, qui est la Mega Drive et ses jeux mémorables. Mais je reviendrai plus tard sur cette dernière. En effet, c'est donc sur ordinateur que j'ai découvert les JV pour la toute première fois, à l'époque où je partais en colonie de vacances presque tout l'été, en montagne avec néanmoins quelques installations disposant de salles de jeux, espace détente et multimédia pour quand on n'était pas de sortie, tout particulièrement le soir. J'étais un môme, je devais avoir dix ans, et en ce temps-là, j'étais un féru de jeux de construction LEGO, et dans une moindre mesure de Construx. Cette passion que j'avais pour les jeux de construction se dissipait à petits feux au fur et à mesure que je m'aventurais sur le terrain du JV. Ma période coloniale sur Atari 7800 aura, d'une certaine manière, contribué à la genèse de ma passion pour les jeux vidéo, mais elle aura atteint son point culminant lorsque mes parents m'achetèrent une Mega Drive / Genesis de première génération, dans son pack séduisant comportant Sonic et Streets of Rage ainsi que deux manettes.
Et ce fut là, en goûtant à ces deux grands classiques de SEGA, que je devins addict à cet univers virtuel si passionnant et fascinant.

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PETIT À PETIT...
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Revenons-en donc à mes débuts sur Atari, avec trois jeux complètement différents dans leurs genres et leurs approches, et pourtant ayant laissé des traces indélébiles dans la sphère vidéo-ludique.
Le premier est peut-être le plus connu des trois, car il s'agit de Donkey Kong. Il était sorti en plusieurs versions, certaines faisant ressembler l'illustre gorille créé par Shigeru Myamoto à un yéti lançant des boules de neige à la place des barils. Et c'était ça, en fait, un gorille qui lançait des barils roulant sur des plateformes inclinées pour tenter d'écraser le célèbre plombier moustachu de Nintendo. Sans le savoir, à cette époque, je contrôlais déjà Mario alors que je n'ai jamais vraiment aimé ce personnage et que je préférais de loin Sonic, le hérisson bleu de Sega. Mais bon, affaire de goûts ! Le fait est que j'avais apprécié ce Donkey Kong, ça, c'était clair et net. Aujourd'hui, je dois m'en foutre royalement mais c'était le moment présent qui comptait, cet instant T, qui laissa un souvenir encore bien doré dans mon esprit car je me souviens m'être bien amusé dessus. Ouais, c'est sans doute celui auquel je jouais le plus des trois, mais c'était aussi le plus dur à mes yeux. Peut-être pour m'améliorer, que je le privilégiais. On avait toujours le choix des jeux en colo, du moment que le jeu que tu souhaitais était dispo. Je faisais déjà en sorte dès le premier niveau de trouver le bon timing pour sauter au-dessus du baril au bon moment et empocher 100 pts pour gonfler le score, car même si je perdais rapidement par la suite dans les niveaux supérieurs car ça devenait plus retors, battre mon record de points était déjà en soi une victoire et une satisfaction personnelle. Autrement, il y avait les échelles à grimper afin de rejoindre le but au sommet. Et puis, ça m'entraînait, quelque part.


À mesure qu'on avançait, les niveaux devenaient plus complexes, et il fallait craindre d'autres pièges que les barils, comme des flammes pour sauver la princesse Peach des griffes du vil gorille. Car oui, c'était le méchant à l'époque, et plus tard il devint un gentil au travers de ses aventures avec Diddy Kong sur la SNES. Le plus drôle dans l'histoire, c'est que je découvris plus tard la Super Nintendo avec Donkey Kong Country, qui reste assurément un des meilleurs jeux de la console, et je m'étais bien éclaté dessus en le retournant dans tous les sens. Enfin bon, ça, c'est une autre histoire que je reporterai à plus tard en détail dans un autre billet, aux côtés d'autres jeux que des consoles m'auront fait découvrir. Bref. Tout ça pour dire que je m'amusais bien avec ce petit jeu. À l'époque, il suffisait de peu pour en faire beaucoup. Comme quoi...

Pour rester encore plus sobre niveau contenu, comment ne pas parler du cultissime Arkanoid ? Eh oui ! J'y ai joué. Toujours sur Atari 7800. Arkanoid. Vous savez ? Ce jeu d'arcade où le but est de détruire des briques colorées avec une balle rebondissant sur les angles en la récupérant à l'aide d'une plateforme-plateau que l'on dirige latéralement en la faisant coulisser. Il faut récupérer la balle à tout prix en détruisant tous les obstacles du mur multicolore, sous peine de perdre une vie si elle tombe dans le vide, comme un flipper quoi !


Et plus on avance, plus ça s'accélère, apportant ainsi une difficulté croissante bien significative. Il me semble qu'on appelle ça un jeu de réflexion. La boule réfléchit car il y a justement une part de physique à prendre en compte en ajustant le plateau pour détruire les briques, car, d'une certaine manière, le jeu obéissait déjà aux lois de la physique pour l'époque, et c'est là que repose d'ailleurs le gameplay. Et donc, il fallait avoir des réflexes du feu de dieu pour pas perdre la boule car ce jeu pouvait rendre fou ! OK, je sors...
Je ne l'ai jamais terminé, j'étais pourtant arrivé loin, plus loin que DK en tout cas. Difficile, mais addictif. D'un autre côté, on n'avait pas trop le temps de passer des heures sur des jeux vidéo proposés par des moniteurs en classe de colo, car je vous rassure, on faisait clairement plus d'activités en plein air que de geeker. Encore heureux. ^^

Et pour finir, toujours sur le même support, un jeu d'hélico qui devrait rappelait quelque chose aux joueurs de jeux rétros mettant en scène cet appareil volant, j'ai nommé Choplifter ! Le rôle de l'hélicoptère était assez particulier puisqu'il n'était pas seulement question d'abattre les ennemis, comme les tanks sur le plancher des vaches, mais principalement de repêcher des survivants sortant de bâtiments, tout en évitant les feux ennemis.


C'est sans doute le jeu que j'aimais le moins des trois, mais je lui trouvais quand même un charme et il fallait dire que pour l'époque, c'était plutôt original. Je crois que ça a été réadapté sur Master System par la suite, mais je n'y ai pas rejoué.

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C'EST PLUS FORT QUE MOI...
ET ÇA LE SERA TOUJOURS !
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Voilà donc pour les trois jeux que j'ai découverts sur PC peu avant que mes parents m'achètent la fameuse console noire 16 bits de Sega qui m'aura convaincu pour de bon de suivre la voie du jeu vidéo. Ces trois petits en-cas, si je puis dire, constituaient une brève étape dans mon parcours d'initiation. Sonic, Axel, Adam et Blaze me soufflèrent de m'y lancer, et je repensai alors à ces trois jeux que j'avais joués à la colonie, me les remémorant déjà avec nostalgie en ces temps de jeunesse. Cette nostalgie est loin d'être aussi palpable qu'avec les héros de SEGA (qui aura eu le dernier mot car SEGA C'EST PLUS FORT QUE TOI ! Fallait que je la fasse au moins une fois, hihi ^^), mais elle est bel et bien là, plus floue dans ce fatras de réminiscences car ça remonte à loin, certes, mais d'aussi loin que je me souvienne, j'en garde de bons souvenirs et je voulais donc le partager, et c'est le principal. :-)
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