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Tengai Makyou Ziria: Haruka naru Jipang > Media > Vidéos > PC Engine CD > 1 disponible :

Tengai Makyou Ziria: Haruka naru Jipang

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60 commentaires
Gomlu

le 15/04/2024
8
Ce n'est pas mon premier contact avec la série Ys, mais ça fait du bien d'en connaître les débuts, c'est pourquoi j'ai décidé de terminer les jeux par ordre chronologique. Cette version est géniale, même si le style de combat ne convient pas à tout le monde. La musique est toujours fantastique et l'histoire est simple et efficace à mon avis.
mimylovesjapan

le 07/02/2024
7_5
Une exellente surprise que ce jeu sur PC engine.
Le jeu est juste magnifique pour une console 8 bits, et le level design et la musique fantastiques !
mimylovesjapan

le 06/02/2024
9
très très gros jeu que ce Ys IV.
Reprenant les bases de la serie, (frénétiques), tout en perfectionnant le genre. Plus grand, plus beau, plus fun, plus tout.
C'est fou que l'on ait pu developper un jeu aussi beau sur PC engine. Un niveau de détail, et de fluidité rarement ateint meme sur 16bits.
Le level design est génial, et les boss tellement jouissifs. Tout est micro milimétré.
YS IV, c'est juste la perfection atteinte dans le genre A-RPG.
mimylovesjapan

le 15/08/2023
8
rédaction du test en cours pour le site !
peacecraft

le 04/04/2021
8
Ce qu'il y a de bien avec Ys, c'est que l'on ne se pose pas de questions. Un héros qui arrive sur une île, il se fait accoster par une nana qui lui propose de récupérer des bouquins, et hop c'est parti. Même pas besoin de bouton d'attaque, il y a juste à foncer dans le tas, ça passe ou ça casse. Et si ça casse, un peu de level up pour corriger tout ça et ça repart. Le tout est très fun à jouer, même si la progression peut s'avérer un peu compliquée sans faq, la faute à des indices souvent trop flous. Et encore une fois sur PC Engine, la qualité sonore est présente, des bonnes musiques et même des doublages, surprenant pour un jeu de 1989.
J'ai tout de même une préférence pour le premier, moins prise de tête que le deuxième avec ces donjons labyrinthiques et le level up un peu trop fréquent.
Luckra

le 26/09/2020
7
Dawn of Ys est l'une des itérations de Ys 4 avec la version SNES et le remake Memories of Celceta. Contrairement aux remakes de Ys 1, 2 et 3 (Felghana) qui reprennent la même trame narrative, structure de jeu, histoire et personnages et gameplay général, ce Ys est complètement différent de son remake à quelques personnages, musiques et thèmes clés prêt.
Si j'ai préféré l'histoire et les personnages du remake, bien plus travaillés et intéressants, j'ai beaucoup plus apprécié le gameplay et l'exploration de cette version qui est en fait une suite directe de Ys 1&2 avec plus de magies, d'items, son bump system et son gameplay simpliste mais nerveux. Gros bémol cependant au level design labyrinthiques des donjons passé un point (même souci dans 1 et 2 mais ici amplifié par la taille).
Riskbreaker

le 27/08/2019
5_5
Sûrement la version à préférer pour se lancer dans ce Wanderer from Ys, même si elle pèche sacrement par son scrolling et animations complètement hachés.
Une version plus "facile" que les portages SNES et MD, plus jolie aussi, grâce à 3 scènes animées non présentes ailleurs. Des doublages présents pour la majorité des doublages (même si de qualité très discutable) et surtout… une qualité CD pour les musiques, qui font honneur aux compositions souvent réussies de cet épisode.
Simplement dommage que la PC Engine CD n'arrive pas à gérer les scrollings différentiels comme le font la MD et la SNES. Ça nuit fortement à l'expérience de jeu et certains coups ne "touchent" pas pour cause d'un framerate capricieux.
Après avoir fait les 3 versions, je conseillerais celle-ci pour son contenu, la version MD pour le gameplay + agréable et précis et la SNES pour la version la plus dure mais la plus fluide. 3 versions vraiment distinctes… auxquelles on préférera Oath of Felghana, bien entendu !
Yubashiri

le 26/07/2019
3_5
Réalisation: [0.5/2]
+ Une intro et une fin en cinématique animé en pixel art
+ Le jeu n'est pas spécialement moche...
- Mais il a en tout et pour tout 3 environnements différents (village, grotte et chateau).
- Pas de fond en combat.
- Pas d'animations en combat.
- On ne voit jamais la tête de nos persos à part sur la cinématique de fin...

Gameplay: [0/2]
Difficile de trouver plus basique. Attaque/Magie/Defendre/Objet/Fuite. On apprend les magies en trouvant des mages dans les villes.
+ Comme les persos sont limité sur le nombre de magie qu'ils peuvent porter, il va falloir faire des choix. C'est le seul semblant de personnalisation que propose le jeu.
+/- Les donjons sont basiques, des couloirs avec quelques trésors. Pas grand chose à dire là-dessus.
- Du RPG nature. On peut difficilement faire plus simple...
- Les magies sont presque toute nulles et inutiles: on se limite rapidement à l'utilisation des sorts de soins.
- Vous allez passer 90% du temps a attaquer, y compris contre les boss.
- Pas de combat aléatoires, les monstres se déplacent sur la map, mais c'est un foutoir pas possible: Ça pullule de partout et la quantité d’ennemis sur chaque map est assez hallucinante.
- La world-map est une horreur. Comme précédemment, les monstres se baladent aléatoirement sur la map, mais sont cette fois invisibles. Vous pouvez parfois enchaîner 3 combats avant d'arriver à faire le moindre pas... aberrant!

Scénario: [0.5/2]
Vous êtes un prince en exile, et va falloir péter la tronche du grand méchant magicien qui a piqué votre trône. Et le poursuivre sur tout le globe. En gros.
+ Il y a un scénario... C'est déjà ça on va dire.
- L'absence de portrait (Et les noms pas très inspirés de la version anglaise) fait qu'on s'embrouille souvent sur qui parle pendant les dialogues.
- Et les doublages n'aident pas, mais on en reparle juste après!

Ambiance sonore: [1.5/2]
+ Des musiques bien groovy des années 90, en qualité CD s'il vous plait! Sans rire, c'est le seul truc qui m'a motivé à finir le jeu!
+ Les doublages du schnaps! Il doit y avoir à peu près 3 doubleurs pour tout le jeu, qui jouent très mal en plus de ça! Ça donne des séquences absolument ridicules, et donc légendaires, où on a l'impression que le héros est juste en train de se parler à lui-même en faisant des accents tout pourris.

Durée de vie: [1/2]
+ 15h pour le finir en ligne droite. C'est bien suffisant pour un jeu limité comme celui-là...
- Pas de contenu annexes
(En tout cas je n'en ai pas vu à part un village caché sur la map à la fin du jeu)

- Beaucoup de temps passé à faire des allez-retour entre les villes pour trouver quel dialogue va faire avancer le jeu.

Conclusion: [3.5/10]
Un jeu classique et pas très intéressant, mais heureusement court. On retiendra surtout la bande son bien énergique et les doublages des enfers qui font quand même bien marrer!
Luckra

le 03/04/2016
6
Un JRPG extrêmement classique à tous les niveaux mais assez plaisant à faire. Il a la particularité d'être assez facile pour l'époque et donc plutôt court (pas beaucoup de grind pour artificiellement allonger la durée de vie) et surtout il est doublé en anglais et ça vaut de l'or.
auty

le 18/09/2015
7

Après l'injouable Shadowgate qui n'a été terminé à la loyale que par une poignée de masochistes y jouant 18 heures par jour pendant un semestre, cette suite part avec un héritage lourd à porter. Il va pourtant sans sortir étonnamment bien. Si on retrouve tout le coté point'n'click agrémenté de nombreuses énigmes, le coté jeu d’aventure en temps réel apporte un plus indéniable qui change radicalement de son ainé.

On reste dans du Shadowgate donc c’est plutôt dur, mais loin d'être aussi frustrant que l'opus fondateur et sa difficulté ubuesque. Ici, point de système de torche pourri bon à te faire abandonner au bout de cinq minutes ni d'énigmes à la logique nébuleuse. Ces dernières sont bien calibrées, même si on échappe pas occasionnellement à quelques phases tests où l'on utilise le même objet un peu partout pour en trouver la fonction (cf le poivre). Il n'est d'ailleurs pas nécessaire de toutes les résoudre pour finir le jeu, mais c’est un plus non négligeable pour augmenter ses chances de réussites.

Le coté action en temps réel offre quelques phases beat'em all pas forcément très souple, à l'image du perso bien raide, mais les ennemis ne sont pas trop ardus une fois qu'on a pigé comment les battre. Par contre, le début du jeu te met direct dans le bain, et entre les groupes de gardes, les monstres et les premières énigmes, c'est une phase d'apprentissage par moment éprouvante. Mais une fois arrivé en extérieur, le plus dur est derrière soi, et l'on acquis une bonne compréhension du gameplay. Il est recommandé de sauvegarder souvent, les morts brutales et inopinés sont légions, avec certains pièges offrant un bel aperçu de la sournoiserie des développeurs.

Par contre le jeu est un peu salaud avec sa liberté. Certaines possibilités peuvent être bousillés par de mauvais choix auxquels on ne prête guère attention sur le coup, et il est possible de se bloquer définitivement dans sa partie si on est pas trop chanceux. J'y ai échappé de peu avec le coup des pièces d'ors limités en nombre en utilisant la dernière pour un objet qui m'a permis de terminer le donjon final. Mais j'aurais pu ne pas avoir cette chance.

Les environnements sont variés et offrent de nombreuses interactions, descriptions ou animations gratuites de la faune pour le coté fun. C'est statique car sous forme de peinture, mais ça rend bien et l'intégration des PNJ/bestioles est réussite. Les persos ont un style bande dessinée, et leurs expressions en sont parfois issues (les gros yeux et diverses grimaces). Et le jeu est assez gore, surtout dans les morts du héros. C'est sanglant et parfois crade.

Il y a gros travail sur les effets sonores, très reconnaissables, et les doublages dans les nombreuses discussions sont suffisamment honnêtes pour être compréhensible à l'oreille, mais il faut comprendre l'anglais car pas de sous-titres et les indications de vos interlocuteurs sont souvent vitales pour comprendre où aller ou quoi faire. Les très bonnes musiques ajoutent à cette ambiance dark-fantasy dans lequel cette univers baigne. Cela se passe d'ailleurs longtemps après le premier Shadowgate. Il y a de nombreuses références à cet opus et on apprend pas mal de chose sur l'univers de la licence, qui mine de rien, a un sacré potentiel. Dommage que ça manque au final de lore, pas mal de chose restant mystérieuses. Quelques bouquins à feuilleter auraient été bienvenues.


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