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Bravely Default: Flying Fairy

crpg 3ds japon
Bravely Default: Flying Fairy
Crystal Odyssey
Noyé parmi les vagues de remakes et autres portages de sa gloire passée, il arrive parfois à Square Enix de prendre des risques et de produire des jeux originaux. Enfin, pas si risqué que ça finalement, puisque Bravely Default: Flying Fairy appartient tout de même à la grande famille des Final Fantasy et plus précisément du spin-off The Four Heroes of Light, dont il reprend certains éléments. Silicon Studio (3D Dot Game Heroes), développeur japonais jusqu'alors peu connu, nous livre donc sa vision de la saga aux cristaux, dont les premiers visuels n'avaient pas manqué d'attiser la curiosité des joueurs.

Les Quatre Héros de la Lumière

Le jeu débute alors que le paisible village du jeune Tiz Ohria est anéanti par l'apparition aussi soudaine qu'inexpliquée d'un gigantesque gouffre béant, emportant son frère cadet ainsi que tous les autres habitants. Peu après cet évènement dramatique, il fera la rencontre d'Agnès Oblige, la prêtresse du Vent accompagnée de la fée Earie, partie en quête de la restauration des quatre grands cristaux corrompus par les ténèbres et menaçant le fragile équilibre du monde. Pourchassée par les hommes de la principauté d'Eternia s'opposant à sa mission, Tiz fera alors équipe avec elle afin de lui venir en aide mais également dans le but de résoudre le mystère entourant la destruction de son village. Durant leur périple, l'énigmatique et amnésique Ringabell se joindra à leur petit groupe, ainsi que la jeune et tumultueuse Idea.

Dès le début, Bravely Default enchante par ses graphismes agréables et sa magnifique bande son. Les arrière-plans lors des combats ainsi que les villes sont vraiment splendides avec de superbes effets de profondeur, et donnent parfois l'impression d'avoir été peints ou dessinés à la main. L'animation des différents personnages est elle aussi très soignée, amis et ennemis disposant de mouvements souples et détaillés, ne faisant que confirmer un bilan technique et artistique de haut vol sur 3DS. Ceci étant dit, les modèles 3D des protagonistes peuvent tout de même perturber un peu certains joueurs allergiques au rendu en SD et qui auraient préféré un traitement plus adulte, comme ce que l'on voit dans l'introduction du jeu ou sur les artworks de Akihiko Yoshida. Un certain aliasing pourrait également se faire sentir si vous y jouez sur 3DS XL, mais rien de vraiment pénalisant. Qu'on se le dise, Bravely Default est véritablement beau et possède une identité visuelle très marquée.

Comme dit précédemment, la bande son occupe une place de choix au rayon des atouts majeurs du dernier né de Silicon Studio. Les mélodies font mouche et ce tout au long de l'aventure, avec des thèmes souvent épiques, parfois mélancoliques, mais en tous cas toujours extrêmement variés. Du métal au classique, le compositeur jongle brillamment avec les styles et les différents thèmes restent en tête bien après avoir éteint sa console. Toutefois on ne peut que regretter une réutilisation abusive de certaines pistes, notamment celle des donjons, nous rappelant le syndrome Radiant Historia, à savoir une OST d'exception mais finalement trop courte. Un constat étonnant quand on sait que la bande originale de Bravely Default possède tout de même un contenu environ deux fois plus fourni que le chef d’œuvre d'Atlus. Mais ne boudons pas notre plaisir pour autant, car le travail de Revo demeure incontestablement un régal pour les oreilles. Mention spéciale également pour les doublages absolument incroyables et d'une qualité rare, même pour un jeu japonais. Non seulement la quasi totalité des dialogues est doublée, mais l'interprétation des Seiyû transcende littéralement certaines scènes du jeu et force le respect. Gageons que si une version occidentale est mise en chantier, elle aura fort à faire pour égaler son niveau.
Bravely Default: Flying Fairy
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Bravely Default: Flying Fairy

This is my job

Le système des jobs revient une nouvelle fois et ce ne sont pas moins de vingt-quatre classes de personnage différentes que nous propose le titre de Square Enix. De l'indispensable mage noir à la Valkyrie en passant par le pirate ou le ninja, le choix est très large et le panel de possibilités tout aussi étendu. A ce titre, le rendu graphique de nos héros est toujours très réussi quelque soit la classe voulue, bien que je sois un peu forcé d'admettre que cela puisse ternir un peu l'intensité dramatique de certaines scènes à cause de quelques costumes un peu débiles (je pense notamment à "Superstar" ou à "Chasseur"). Bien entendu vous aurez la possibilité de changer de job à votre guise dans le menu mais sachez toutefois que la plupart d'entre eux ne seront gagnés que lors des très nombreuses quêtes annexes que propose le jeu. Une fois la classe choisie, les aptitudes propres à chacune d'entre elles se débloqueront avec l'expérience et vous pourrez ensuite les assigner à votre convenance dans les slots vides prévus à cet effet.

Quant aux affrontements, Bravely Default propose un système de combat à la fois simple et riche en possibilités stratégiques. Pour résumer brièvement, vos personnages peuvent stocker des actions via l'option "Default" qui aura pour effet de les mettre en garde. Ces "Brave Points" (BP) ainsi obtenus pourront ensuite être dépensés afin de déchainer une vague d'attaques successives sur vos adversaires en un seul tour de jeu. Il est également possible d'utiliser des BP en négatif, même si vous n'en avez pas en stock donc, ce qui aura pour effet de mettre vos héros dans une position vulnérable et inactive lors des prochains tours, les BP ne se régénérant que d'un seul point par tour. La mécanique est hyper accessible et se maitrise très rapidement, offrant ainsi un battle system addictif et vraiment amusant, particulièrement lors des affrontements avec les boss qui vous forceront à tirer le meilleur parti des Brave Points.

Silicon Studio s'est également amusé à implémenter tout un tas de fonctionnalités tirant parti des capacités internet de la 3DS. Le village en est l'exemple parfait car il vous laisse la possibilité de reconstruire le village de Tiz en se faisant aider par d'autres joueurs de Bravely Default via le StreetPass. L'intérêt principal de ce "jeu dans le jeu" provient du fait que certaines pièces d'équipement ne pourront s'obtenir que par ce biais-là. N'oublions pas non plus "l'Abilink", cette option autorisant vos personnages à se lier avec ceux d'un autre joueur pour ainsi profiter de ses capacités lors des combats. Bref, plein d'idées fort sympathiques qui enrichissent l'expérience de jeu intelligemment et qui prouve une fois de plus que le soft est loin d'avoir été bâclé, au contraire. Cela dit, si vous êtes un asocial misanthrope qui préfère jouer à ses RPG tout seul dans son coin ou sa grotte (comme moi), ces fonctions ne vous seront probablement pas d'une grande utilité mais elles ont au moins le mérite d'exister.
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Bravely Accessibility

Il ne faut pas non plus oublier que le titre se veut ultra accessible, en témoigne l'écran du bas où la petite fée Earie vous prodiguera continuellement des indications sur la marche à suivre. Comme si cela ne suffisait pas, la carte vous marquera également l'endroit où vous devez vous rendre, en jaune pour la quête principale et en bleu pour les annexes. En clair, il est tout simplement impossible de se perdre ou d'être bloqué dans Bravely Default, ce qui ne manquera pas de plaire aux joueurs qui ne parlent pas japonais et qui voudraient tout de même tenter l'aventure. Néanmoins, ce point pourrait tout autant être critiqué par ceux ou celles qui n'aiment pas subir une progression trop encadrée où l'impression d'être tenu par la main est omniprésente. Le jeu a beau proposer une expérience old school proche de ce qui se faisait durant l'ère des 16 bit, le soft montre malgré tout un minimum de modernité en proposant une progression tout public.

Le jeu n'en est pas facile pour autant et propose une difficulté savamment dosée qui force à élaborer des stratégies, et pas seulement contre les boss. Les changements de statuts sont légions et même les ennemis de base en usent et abusent. On apprécie donc la richesse des jobs et son grand éventail de compétences, lesquels permettront de vous sortir de n'importe quelle situation délicate.

Un dernier mot sur les quêtes annexes du jeu qui, non seulement vous permettront d'obtenir la plupart des jobs comme dit précédemment, mais apporteront aussi énormément au récit de l'histoire principale. S'inscrivant complètement dans la trame narrative du scénario et dotées d'un cycle jour/nuit très bien géré, elles seront l'occasion d'éclaircir un peu plus les motivations de vos adversaires et de mieux comprendre ce qui se passe dans le monde de Luxendark. La plupart d'entre elles auraient clairement pu faire partie de la quête principale et il peut donc paraître étonnant de la part du développeur d'avoir fait le choix de les rendre optionnelles. Bien entendu, nul doute que la chasse aux jobs poussera la majorité des joueurs à terminer le plus d'annexes, et c'est tant mieux.
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Fantasy of Old

Avec Bravely Default, Silicon studio a clairement voulu jouer la carte du RPG old school assumé, classique et efficace. Combats aléatoires, tour par tour, monde médiéval fantastique lambda et j'en passe. Au premier abord, seule la patte graphique bien particulière et l’envoûtante ambiance musicale marquent la différence avec les autres jeux du genre, ce qui n'est déjà pas si mal me direz-vous. Et puis les heures défilent et l'on se met à s'attacher à notre petite équipe, alternant avec brio les moments tragiques et comiques, tout en restant sobre et sans artifice ou lourdeur dans le récit. Le jeu dévoile également une histoire moins manichéenne qu'elle n'y parait au départ, qui réserve son lot de surprises sur la toute fin, particulièrement avec la True Ending. Car oui, le jeu peut se terminer de différentes manières mais seule la meilleure fin vous apportera toutes les clés pour comprendre cette histoire simple en apparence, mais plus complexe qu'elle n'y parait au premier abord.

Terminons maintenant ce bilan plus que positif par un dernier point qui fâche, qui m'a fâché, et qui peut potentiellement irriter une grande partie des joueurs. Il est impossible de l'expliquer car il s'agit d'un aspect indissociable du scénario, mais qui se traduit par une lourdeur en terme de progression vers les deux tiers du jeu et est indispensable pour obtenir la True Ending. A ce moment-là, Bravely Default m'a ennuyé pour ensuite se rattraper sur la dernière ligne droite. Je pense (et c'est un avis tout à fait personnel) que ce choix des développeurs aurait pu être évité ou au moins écourté, afin d'éviter une certaine répétitivité dans l'action et le déroulement du jeu.

Review effectuée en collaboration avec Grikarfyn, ce test reflète donc l'avis des deux testeurs.
Bravely Default: Flying Fairy
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Bravely Default: Flying Fairy a décidément tout pour lui. L'élégance de sa direction artistique, l'excellence de sa bande sonore, l'accessibilité et la richesse de son gameplay en font un jeu incontournable de la 3DS et de l'année 2012. Un RPG qui renoue avec le passé prestigieux de l'éditeur, rappelant les meilleures créations de l'ère 16 bit et qui peut se targuer de ressembler davantage à ce que fut Final Fantasy que les derniers opus de la saga principale. Un coup de maître de la part de Silicon Studio qui ne passe pas loin du chef d'œuvre.

12/11/2012
  • La direction artistique
  • Une OST et des doublages fabuleux
  • Les jobs
  • Le sytème de combat
  • L'humour
  • L'histoire
  • Les fonctionnalités en ligne
  • La durée de vie
  • Un choix de gameplay discutable passé les deux tiers du jeu
  • Une progression trop encadrée
  • Un seul slot de sauvegarde
8

TECHNIQUE 4.5/5
BANDE SON 4.5/5
SCENARIO 4/5
DUREE DE VIE 4.5/5
GAMEPLAY 4/5
Bravely Default: Flying Fairy > Commentaires :

Bravely Default: Flying Fairy

8
7

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8 commentaires
Antarka
le 20/09/2023
4_5
Sans dec', je me refuse à mettre la moyenne à ce jeu, que je trouve totalement surcoté.

Niveaux points forts, la réalisation. Enfin, celle des decors, qui sont plutôt beaux (sans du tout surpasser ceux de quelques jeux PS1, genre FF9 ou Legend of Mana). Hélas le character design est foiré, les personnages étant particulièrement inexpressif.
anhhoi

le 30/05/2014
Edité le 30/05/2014
6_5
Si j'ai beaucoup apprécié le système de job de Bravely Default, j'ai détesté ce que tout ceux qui ont fait le jeu savent, ce qui survient vers les deux tiers du jeu et qui m'a poussé à faire une longue pause pendant un moment tant j'en avais la nausée (vraiment, je ressentais comme un écoeurement).
J'ai aussi été moyennement emballé par le scénario et les personnages.
C'est donc surtout le système de jeu qui m'a accroché et fait tenir jusqu'au bout. La possibilité de régler à tout moment les modes de jeu (difficulté, fréquence des combats, etc) est excellentes (et je plains les japonais qui ont dû se farcir l'horrible partie du jeu sans cette possibilité...).
cKei

le 23/04/2014
7_5
Des années que les vieux rpgistes prônent un retour de leur genre de prédilection aux systèmes tour par tour, ou du moins une alternative au JRPG lisse à la FFXIII. Des années aussi qu'ils sont renvoyés vers des jeux de plus en plus éloignés de ce qu'ils recherchent. Donc quand Square Enix sort Bravely Default, il n'en faut pas plus pour que la hype s'empare des passionnés et qu'il soit propulsé comme Best Game Ever. D'après moi, à tort.
Pourtant BD est plutôt sympa dans le style JRPG oldschool. Il n'est d'ailleurs pas sorti de nulle part, puisque Square avait déjà sorti FF the 4 Heroes of Light en 2010 sur DS, il faut bien le dire dans l'indifférence générale. Dommage, le jeu possédait déjà toutes les caractéristiques intéressantes de BD, défauts en moins.

Le concept de BD est simple: rendre au tour par tour et au style FF leurs lettres de noblesse. Il s'inspire pour cela de façon évidente des mécaniques de FFV agrémentées de fort belle manière. Pour rappel, FFV reposait sur un système de jobs débloqués au fil du scénario ou par l’intermédiaire de quêtes annexes. Chaque perso de l’équipe pouvait équiper un job qui gagnait alors en expérience lors des combats. A chaque niveau supplémentaire, c’est une nouvelle technique qui devient utilisable. La capacité à utiliser la magie blanche à un certain niveau par exemple, ou encore diverses capacités spéciales. Et en plus des capacités inhérentes au job équipé, le personnage peut en équiper une apprise sur un autre job. Le système est repris tel quel dans BD, sauf que les persos peuvent équiper plusieurs capacités en même temps. L’occasion de les associer complémentairement pour créer une équipe sans faille, d’autant que les jobs historiques ont été largement remaniés (le ranger devient enfin très utile) et que de nouveaux jobs malins font leur apparition.

Mais ce n’est pas tout, la vraie trouvaille du jeu est d’implémenter ce système de Brave et Defaut. Pour schématiser, cela revient à accumuler chaque tour un point d’action qui peut-être soit conservé (default) tout en boostant la défense du personnage, soit utilisés en bloc (Brave) pour lancer plusieurs actions de suite. Au risque de se retrouver dans l’incapacité d’agir si on a les yeux plus gros que le ventre.

Arrivé au point charnière de l'histoire, les possibilités offertes par les jobs et les stratégies à mettre en place pour vaincre les boss deviennent vraiment intéressantes. Malheureusement cela ne dure qu'un temps du fait que les possibilités d'évolution des jobs, des persos et de leur équipement atteignent très tôt leur maximum. Passé un certain point, votre stratégie de combat risque de tourner en rond à moins de sciemment choisir de changer tout votre build pour apporter de la nouveauté à très long terme. Mais surtout à cause d'une des plus mauvaises idées de game design qu'il m'ait été donné de voir.

Sans spoiler, arrivé aux deux tiers du jeu votre objectif va être de refaire les boss déjà battus, en boucle, avec une stratégie faiblement affectée par une augmentation purement statistique de la difficulté des combats (le fonctionnement des boss reste identiques). Et ce plusieurs fois, avec un minimum d'évolution des dialogues, à tel point que le petit speech de votre fée au moment de libérer les cristaux (en bastonnant X) reste identique et très saoulant la 20eme fois. La première réaction logique sera de pointer du doigt l'augmentation factice de la difficulté et surtout de la durée de vie (il y a pourtant déjà pas mal d'annexes), à peu de frais. Si scénaristiquement cela s'explique, c'est l'aspect ludique qui en prend un sérieux coup. Et si la répétitivité vous rebute, vous en serez quitte pour être dégouté du jeu. C'est pourtant logique. Lorsque vous rencontrez un boss pour la première fois et réussissez à le battre, vous pouvez être content de votre performance. La quatrième fois, c'est juste usant.

Le reste du scénar n’est d’ailleurs pas plus engageant. Beaucoup de monde semble trouver que les personnages et le ton du jeu sont assez matures pour le genre. Ce n'est pas mon cas. Quand les "méchants" passent leur temps à répéter que les héros se plantent mais qu'ils ne peuvent pas comprendre, j'ai l'impression d'assister à un père qui dit à sa fille de filer dans sa chambre. Et les "quelques" décès ne suffisent pas à en faire une écriture mature. Dommage, on tenait là un jeu à fort potentiel si ces trois points avaient été mieux abordés.

Bravely Default hérite des vieux Final Fantasy le charme un peu insouciant des RPG oldschools, malheureusement trop souvent tempéré par les gadgets modernes comme les "amis virtuels", le pas très moral achat réel de points d'action ou encore la reconstruction du village de Norende, des ajouts pas très en phase avec l'atmosphère heroic fantasy. Ils auraient largement pu faire sans. Mais au final, supporté par des graphismes du plus bel effet et une bande son agréable, Bravely Default fait souffler une petite brise rafraichissante sur le genre.
mimylovesjapan

le 03/02/2013
5
bravely defaut n'est pas un mauvais jeu. Mais il cumule trop de défauts pour dépasser la moyenne.
Les musiques sont sympathiques mais trop peu variés. 1 musique de dongeon, 1 musique de village, 1 musique de carte, 1 musique de fight et 1 musique de boss. Pour 50h de jeu, c'est limité.
Le scénar est vraiment bateau pendant 40 heures puis un retournement de situation sympathique à la fin, c'est vraiment trop peu. Les doublages et l'humour sauvent la mise.
Le systeme de combat est jouissif contre les boss, mais absolument pas adapté aux petits combats de dongeon. Les develloppeurs on bien compris ca puisqu'à la fin, 1 combat sur 2 est un combat contre boss.
Quant aux 10-15 dernières heures, si elles sont justifiées scénaristiquement, et produisent l'effet désiré, on peu dire qu'elles sont clairement gonflantes.
Finalement, le jeu est beau, mais le level design des dongeons est à vomir. des couloirs sans saveur, toujours accompagnés des mêmes musiques.
Néanmoins le plaisir de jouer est souvent là, et on passe de bon moments.
christy

le 03/12/2012
Edité le 18/03/2014
10
idem que magus : squareenix ou nintendo je veeeeeeeeeeeeeeux ce jeu en france !!!!!!!! meme sans l'ajout de " for the sequel " , ce jeu est une pure tuerie : décors ultra magnifiques , musiques démentielles , gameplay aux petits oignons et level design inspiré font de ce jeu un incontournable de la 3ds et tout supports confondus...je ne peux pas comprendre qu'on puisse mettre une note en dessous de 8 a ce jeu a moins d'etre de mauvaise foi...tout est travaillé a l'extreme .
City Hunter

le 20/11/2012
Rah ça donne envie ! Vivement qu'il arrive chez nous !

En tout cas les musiques sont magnifiques, même si un peu trop semblables.
grikarfyn

le 17/11/2012
Edité le 17/11/2012
8
Pas grand chose à ajouter, puisque mon avis est identique au contenu de l'article.

A titre personnel, un jeu très beau aux superbes musiques (et doublages !), un scénario plus subtil qu'il n'y paraît et un système fort. Sans soucis le meilleur RPG de la machine à ce jour et peut être même le RPG de 2012.

Indispensable !
Magus

le 14/11/2012
NEEEEEEEEEEEEEEEEEED !!!

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