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Commentaires de Zanxthiloide avatar
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105 commentaires
The Legend of Heroes: Trails In The Sky SC pc
Zanxthiloide

le 12/11/2015
8_5 pc
Trails in the sky SC, c'est FC mais en mieux : plus de liberté dans le choix des combattants dès le début, une première moitié de scénario supportable et un final encore plus grandiose que celui de FC.

Pour peu qu'on ait survécu à FC et qu'on soit intéressé par la suite de l'histoire, TitS SC est un RPG qui vaut le coup d'être fait jusqu'au bout (plus de 50 heures !)

A noter que la version PC dispose d'un bug qui ralentit le farming en fin de partie, mais qui n'empêche nullement de profiter à 100% du jeu.
Tales of Zestiria pc
Zanxthiloide

le 03/11/2015
8 pc
Malgré un à priori négatif suites aux critiques provenant du Japon, j'ai apprécié ce Tales of Zestiria.

Les combats sont excellents, encore plus intéressant que dans Graces (qui partage avec Zestiria le même système de combat à 2-3 détails près). Dommage cependant que le système de fusion (armatization) soit très simpliste, j'aurais apprécié que les fusions avec Sorey et avec Rose donnent un panel de coups différents.
Je ne sais pas si c'est l'expérience qui parle, mais je l'ai trouvé bien plus simple que les autres opus, et la difficulté semble s'être encore amenuisé lorsque j'ai augmenté d'un cran la difficulté (hard-> intense).

L'autre gros point positif du jeu, c'est la musique. La plupart des pistes sont excellentes (le thème de Zaveid ... qui n'apparaît que 2 fois dans le jeu, les thèmes des temples) et on y sent vraiment l'appel à l'aventure voulu par le staff du jeu.

Concernant les points noirs j'ai moyennement aimé le système de skill sur équipement qui est trop random et qui finalement est inutilisable (et inutile) sans un farm monstrueux avant la fin du jeu. Il aurait suffit de rendre le transfert de skill plus contrôlable pour rendre le tout plus intéressant, dommage.

Malheureusement, encore une fois depuis Xillia, la plupart des donjons se ressemblent (forêt normale, forêt de pierre, ruine bleue, ruine rouge ...) et sont constitués de pauvres couloirs et salles vides : on pourrait presque croire que les 3/4 des donjons ont été générés aléatoirement comme dans un rogue like.

Le plus grand raté du jeu est le scénario : les scénarios de tales of ont beau être simples/classiques/dénués d'intérêt, ils ont au moins pour avantage de rester compréhensibles et cohérents. Ici, je n'ai rien compris de ce qui se passait au delà de la moitié du jeu (à cause des incohérences et des non dits). En outre, après 50 heures en compagnie des personnages, je ne sais toujours pas pourquoi 3 d'entre eux sur les 8 jouables nous suivent (passe pour Edna, mais Rose et Zaveid se greffent à l'équipe sans réelle raison).
C'est comme si le scénario avait été amputé de quelques paragraphes.
Les personnages restant sont inintéressants et ne contribuent finalement en rien au scénario où seuls Sorey et Lailah semblent pertinents.

Bref comme d'habitude, il ne faut pas jouer à un tales of pour son côté rpg, mais pour leur seule et -souvent- unique qualité : les combats.
Radiata Stories play2
Zanxthiloide

le 29/03/2021
6 play2
Radiata Stories avait un fort potentiel de hit : un casting gigantesque, un univers unique (la grande majorité des NPC ont un modèle unique !), et une direction artistique axée manga très jolie.

Mais c'était sans compter sur le fait que le jeu a été très mal fini (au sens figuré comme littéral) : le système de combat et le level design sont médiocres. Ces mauvais points conduisent inexorablement à casser ce qui devait être le point fort du jeu : le recrutement et l'utilisation des 177 personnages. Quel intérêt de jouer avec tel soigneur plutôt qu'un autre quand on en recrute 3 en même temps, qu'ils ont tous des compétences très proches, et qu'il n'y a pas de réel "donjon" où les jouer avant de passer à une nouvelle équipe ?

Avant de conclure, il faut aussi mentionner l'OST vraiment... très spéciale. Alors que le scénario perd son aspect comique et devient tragique, les musiques restent bon enfant et n'entrainent jamais vraiment dans l'action ou les scènes qui se jouent.

Avec un meilleur gameplay, et un monde un peu plus grand le jeu aurait vraiment pu être un des plos gros j-rpg de sa génération. Malheureusement ce ne fut pas le cas.
Breath of Fire V: Dragon Quarter play2
Zanxthiloide

le 02/03/2021
6 play2
Dragon Quarter est un mélange entre un JRPG, un dungeon crawler et un roguelite.

L'aspect rogue lite est vraiment très peu marqué. Il existe effectivement un système de reset partiel ou complet de sa partie (on garde tout de même l'équipement accumulé et d'autres bonus) qui est très mal expliqué au joueur. Le restart complet de la partie n'est en fait pas une obligation mais un ultime recours auquel il faut préférer le restart partiel. Difficile de savoir vers quel expérience CAPCOM dirigeait le joueur car le reset partiel est très facilement abusable et peut casser très rapidement la difficulté du jeu, et le restart complet est très punitif.
Le new game+ -au centre de tout roguelite digne de ce nom- s'avère remarquablement peu pertinent tant les ajouts sont superificiels (quelques salles supplémentaires aux objets inutile car on a déjà finit le jeu, et quelques scènes qui expliquent un tout petit peu plus le conexte cryptique de l'histoire).

Le jeu se présente par son level design comme un dungeon crawler ultra linéaire, auquel s'ajoute une très infime dose d'aléatoire. Ce point se marie très mal avec l'aspect rogue lite du titre.

Enfin pour aborder l'éléphant dans la pièce, il faut parler du D-counter, fameux "timer" qui s'incrémente tout le long du jeu et mets fin à la partie une fois le 100% atteint. Ce compteur n'a pour seul intérêt d'empêcher d'abuser de la dragon form. En pratique, il est quasiment impossible d'atteindre les 100% sans utiliser la forme du dragon (les monstres ne réapparaissent pas et il n'y a aucun intérêt à revenir sur ses pas sur des distances suffisament importantes pour atteindre un % non négligeable). Pour l'exemple, on ne dépassera pas 20% du fameux d-counter à la fin du jeu si la dragon form n'a jamais été utilisée.

Je tiens à conclure cette review en précisant tout de même qu'il faut replacer le jeu dans son époque, où il apparaît comme très novateur. Néanmoins, on lui préfèrera en 2021 Lightning Returns qui propose une expérience semblable mais mieux maitrisée.
Xenosaga Episode III: Also Sprach Zarathustra play2
Zanxthiloide

le 31/12/2015
8 play2
Fin de ma rétrospective Xenosaga presque 10 ans après que je l'ai complétée pour la première fois.

Xenosaga 3 est assurément le meilleur épisode de la saga : il est supérieur à ses ainés en (presque) tout point :
- Le chara design est moins réaliste que le second, moins manga que le premier, parfait pour éviter l'aspect uncanny valley de l'épisode 2
- Les animations rendent le système de combat très dynamique (ce qui manquait cruellement aux deux premiers opus). Cependant, il part dans le classicisme le plus total et manque cruellement de complexité (taper/soigner est suffisant pour arriver sans encombre à bout des plus puissants boss).
- La musique oscille entre le moyen et le bon, mais rien de mémorable (ce qui reste supérieur à l'ost trop inégale du 2 et au vide intersidéral du 1)

Côté scénario, je ne me permettrais pas de juger de la qualité de l'histoire (les goûts et les couleurs).
La mise en scène est très bonne mais malgré l'intégration d'une database exhaustive, cet opus n'échappe pas aux écueils des 2 premiers opus à savoir :
- Le manque de scènes d'exposition : après 3 jeux, le monde dans lequel on évolue et son fonctionnement restent un mystère, ce qui nuit gravement à la compréhension de l'histoire.
- Le casting trop important comprenant beaucoup de personnages inutiles au déroulement de l'histoire
- Les termes bibliques/philosophiques/ésotériques balancés à tout va qui rendent beaucoup de dialogues cryptiques
- Des protagonistes qui n'interviennent pas assez dans l'histoire (MOMO qui ne sert plus à rien, l'histoire de Ziggy baclée)
A cela se rajoute des défauts propre à cet opus (fanservice xenogears à outrance).

Une bonne conclusion à une saga moyenne.
Xenosaga Episode II: Jenseits von Gut und Böse play2
Zanxthiloide

le 26/12/2015
7 play2
Xenosaga 2 commence par une magnifique scène d'introduction parfaitement orchestrée (vraiment, je vous conseil de voir cette scène même si vous ne comptez pas jouer au jeu) : la musique est bonne, le scénario semble avancer et les nouveaux mechas pètent la classe.

Le jeu continue d'aller dans le bon sens jusqu'à la fin de la première moitié du CD1, et là c'est le drame : les combats s'éternisent (le système de combat est très mal adapté aux combats normaux), le gameplay des mechas est totalement inintéressant, les 3/4 des personnages du groupe n'apportent plus rien à l'histoire (KOS MOS doit avoir 15 lignes de texte maximum dans tout le jeu) et le grand méchant de cet opus a tout l'air d'avoir été créé juste pour fournir un antagoniste.

Mais le jeu reste tout de même intéressant grâce à son système de skills et de combat (pour les boss) jouissif, et aux nombreuses (parfois trop) quêtes annexes qui viennent diversifier le gameplay (malheureusement souvent en mal passé la première moitié du jeu).
De plus, contrairement à l'épisode 1, la musique est omniprésente (bien que très moyenne) et le chara design est bien plus classe (les personnages sont réalistes au risque de s'approcher de l'uncanny valley/vallée dérangeante).

En somme, une très bonne avancée par rapport au premier opus, mais encore indigne des ambitions de son créateur.
Xenosaga Episode I: Der Wille zur Macht play2
Zanxthiloide

le 01/12/2015
4 play2
Xenosaga épisode 1 était un jeu très moyen à l'époque de sa sortie. Un peu plus de 10 ans après sa sortie, avec plus de recul, d'expérience et connaissant déjà grosso modo la trame du jeu (j'avais déjà complété la trilogie à l'époque de la sortie de chacun des opus, ainsi que xenogear), le jeu reste très faible.

Le système de combat est ultra basique : la magie ne sert qu'à soigner, on enchaîne toujours les mêmes techniques de combat et les monstres meurent plus ou moins rapidement.

Le chara design est trop typé manga (à mon goût), les décors sont désespérément vide et (très) moches. La vacuité des décors est complimenté par une vacuité des musiques : seuls 2 donjons (sur 7) ont une musique, seuls les cutscene sont dotées d'une bande son potable. Il faut mieux aimer le thème de combat car c'est le même pour tous les combats y compris les boss (sauf le boss de fin).

Côté scénario, le tout est faussement complexe à cause du nombre importants de scènes cryptiques (et inutiles) ainsi que du manque d'exposition qui rend certaines scènes compliquées à comprendre. Le rythme est trop haché par les trop longues cutscenes.

Heureusement, le jeu est court pour un rpg (25h en sachant ce qu'on fait).
Atelier Iris 3: Grand Phantasm play2
Zanxthiloide

le 14/07/2014
6 play2
Encore un RPG sympathique mais avec de gros défauts.

Ayant joué en premier aux Mana Khemia (sorti 1 an plus tard), le jeu souffre de la comparaison.

Ici, point de système de combat ultra dynamique, c'est du tour par tour classique avec un système de jauge à remplir pour effectuer de gros combos et de gros dégâts, mais sans grosse attaque spéciale. Comme pour Mana Khemia, il n'y a presque aucune difficulté dans les combats (avec 2 ou 3 exceptions, mais même en étant pas préparé, on peut presque toujours s'en sortir).
A noter la présence d'un système de job qui donne envie de se plonger encore plus dans le jeu... avant de se rendre compte qu'au bout de la moitié du jeu on les a tous débloqué ainsi que tous leurs skills (au nombre de 5, c'est très limité).

Niveau musique c'est très moyen sauf le thème d'introduction qui est bien épique... jusqu'à ce que les paroles en japonais apparaissent.

Les artworks des personnages sont très génériques et manquent énormément de détail, mais ça convient bien à leur caractère.

Le côté exploration est génial ... pendant les 10 premières heures de jeux. Le jeu dure 30 heures et on se retrouve toujours à explorer les mêmes décors pendant les 20 dernières heures de jeu qui ont failli me faire abandonner, surtout vu l'absence de scénario.

Enfin l'alchimie, le petit plus de la série est raté à cause d'un manque de personnalisation des objets, que les rares marchands du jeu ne renouvellent pas leur stock donc on est souvent en rupture de certains matériaux communs, et de pleins de matériaux obtenables uniquement avec des quêtes.
Grandia II play2
Zanxthiloide

le 09/07/2014
6_5 play2
Grandia 2, un rpg que j'avais depuis longtemps dans ma ludothèque mais que je n'ai bizarrement jamais vraiment commencé.

Alors que Grandia premier du nom cumul les clichés tous en arrivant à garder en haleine par son côté épique, ses personnages attachants et ses superbes musiques, ce second opus ne parvient pas à convaincre. Le scénario est déjà vu et certains personnages manquent totalement de temps de parole (le fidèle pigeon du héros, présent depuis le début du jeu ne sert à rien dans l'histoire par exemple). Une petite pensée pour le second protagoniste féminin - Millenia- qui est très intéressant mais qui passe presque à la trappe au profit de sa comparse avec 2 de QI.

Le système de combat est toujours aussi bon avec cette fois-ci un système de magie beaucoup plus facile à utiliser et des skills passifs à équiper aux personnages. On peut facilement personnaliser ses héros pour les transformer en tank/magicien selon ses envies. Dommage que le jeu se révèle si facile : la plupart des combats se bouclent en un seul sort de zone et les boss se résument à claquer tous ses gros skills et sorts à la suite jusqu'à ce qu'ils meurent sans qu'ils ne puissent rien faire. Un vrai gachi.

Côté musique c'est passable, mais beaucoup moins bien que Grandia 1.

La durée de vie est d'une trentaine d'heure pour retourner le jeu à 100% (26 heures à mon compteur).

Bref un petit rpg sympathique pour s'occuper entre deux grosses sorties.
.hack//G.U. Part 3: Redemption play2
Zanxthiloide

le 07/07/2012
Edité le 07/07/2012
8 play2
Un troisième épisode dans la lignée des deux premiers.
Les combats gagnent encore en difficulté et en complexité jusqu'à ce que les pistolets apparaissent: le jeu ne consiste alors plus qu'à stun lock ses adversaires en appuyant frénétiquement sur le bouton x.
Les scénaristes choisissent encore la solution de facilité en nous imposant (encore une fois) un tournoi qui occupe la moitié du jeu et casse totalement le rythme. L'histoire subit malheureusement un retournement de situation digne de Final Fantasy IX dans les 5 dernières heures de jeu, permettant tout juste de tester la dernière forme du héros.
Les nouvelles pistes audio sont très agréables (mention spéciale pour celle de la 3ème ville).
Le héros n'a plus de personnalité et est totalement méconnaissable par rapport au premier épisode, dommage.
La durée de vie est faible (20 heures), et pourtant, le jeu aurait gagné à être condensé.
.hack//G.U. Part 2: Reminisce play2
Zanxthiloide

le 07/07/2012
8 play2
Un deuxième épisode plus réussi.
Les combats gagnent en difficulté et en complexité grâce à une fonction qui permet de changer d'arme en plein combat. De plus, le moveset des armes est amélioré, ce qui leur redonne de l'intérêt.
Côté scénario, ça commence très fort pendant les 3 premières heures de jeu, puis les scénaristes oublient leur cerveau et nous imposent un nouvel arc "tournoi" qui détruit totalement la dynamique pourtant si bien commencée et qui occupe la moitié du jeu. Dommage aussi pour le héros Haseo qui perd en originalité en se transformant en archétype Messianique typique de RPG japonais et déjà mille fois vu.
Côté exploration, le jeu est confronté aux mêmes problèmes que dans le premier épisode.
La durée de vie est encore une fois faible, et les deux premiers tiers du jeu auraient gagné à être fusionné avec le premier titre.
.hack//G.U. Part 1: Rebirth play2
Zanxthiloide

le 07/07/2012
Edité le 07/07/2012
7 play2
Une trilogie de RPG sympathique, mais qui ne restera pas dans les annales.
Les combats dans ce premier épisode sont bien trop simplistes et faciles -mais restent divertissant-, les aires de jeu deviennent rapidement répétitives.
Le scénario est intéressant mais demande trop d'investissement (le jeu ne se suffit pas à lui même) et avance trop lentement (ce premier épisode aurait gagné à être fusionné avec la première moitié du second). De plus, il paraît ridicule au premier abord pour quiconque a touché aux MMORPG, principalement à cause de la manière dont il aborde le "Player Killing" .
Mais le plus gros défaut du jeu, c'est son rythme en dent de scie: à chaque avancée dans le jeu, il faut sortir du jeu "The World" pour vérifier ses e-mails, ce qui fait retomber la pression.
Les graphismes sont très soignés et le chara-design très inspiré (surtout Haseo).
Les musiques sont bien dans le ton, mais sans plus pour ce premier épisode.
La durée de vie est un peu juste, l'effet "vache à lait" est ressentit.
Ar Tonelico II: Melody of Metafalica play2
Zanxthiloide

le 15/07/2011
Edité le 15/07/2011
7 play2
Encore un petit rpg sympathique comme Ar Tonelico 1.

Ayant commencé le 1 en même temps que le 2, j'ai pu rapidement me rendre compte que le scénario du 2 était trop peu compréhensible sans avoir fait le premier, la présentation de l'univers passant à la trappe. Mieux vaut donc jouer au premier pour apprécier pleinement l'expérience, surtout pour un j-rpg ayant un univers aussi détaillé.

Comme pour le premier opus, les combats sont trop faciles. Cependant ceux-ci sont beaucoup plus intéressants grâce à un système de combat moins classique rappellant un tout petit peu Valkyrie Profile. En outre, les boss sont suffisamment résistants cette fois-ci pour que les sorts les plus puissants aient un intérêt. Un petit reproche tout de même concernant les petites subtilités, surtout la synchronisation dont l'activation est soit aléatoire, soit incompréhensible malgré ma lecture du tutorial (il m'a fallu attendre la dernier donjon pour en activer une).

Bref un bon petit j-rpg avec un très bon univers, dommage qu'il soit toujours aussi peu exploité, le scénario comme le gameplay s'attachant d'avantage à mettre en avant lourdement son duo féminin.

Petite mention spéciale pour le héros qui -contrairement au 1- ressemble à un gros neuneu (surtout avec sa voix jap) et qui est aussi utile à l'histoire que l'était les coéquipiers du précédent épisode. Je veux un vrai héros .
Ar Tonelico: Melody of Elemia play2
Zanxthiloide

le 08/07/2011
6 play2
J-rpg sympathique mais sans plus.

Un système de combat original mais qui aurait mérité des rééquilibrages (boss qui meurent avant d'avoir pu charger son meilleur sort, reyvateils qui ne servent plus que de buff-bots sur la fin etc.).

La bande son est comme le jeu: sans plus mais avec quelques moments d'éclats grâce aux chants qui insufflent un côté épique à certaines scènes.

Les personnages sont insipides y compris les reyvateils malgré leurs nombreuses scénettes.

Côté histoire, le background est prometteur mais le scénario est convenu. Le 3ème chapitre/épilogue n'apporte rien et est à éviter à moins d'être complétioniste.

Enfin les sprites et artworks sont détaillés et jolis mais les environnement sont souvent assez vides et donnent l'impression de tourner en rond (autant au niveau artistique que pour le malheureux joueur qui n'a pas su qu'il y avait une map avant le tout dernier combat ).

Tales of Xillia 2 play3
Zanxthiloide

le 06/09/2014
Edité le 06/09/2014
8_5 play3
Le meilleur système de combat des Tales of !

La durée de vie est énorme mais dommage que les musiques soient pourries et que le scénario attende le dernier quart pour se révéler un poil intéressant (avec quelques questions qui restent en suspens).

A ne jouer presque que pour le gameplay donc.
Drakengard 3 play3
Zanxthiloide

le 06/06/2014
4 play3
+ les dialogues
+ certaines musiques/chansons

- Une caméra atroce
- le système de combat
- les graphismes "impropres"
- les décors sont vides et manquent d'inspiration
- les deux premières fins inutiles
- le manque de développement des soeurs
- le reste de la bande son

A quand un Drakengard qui se donne le moyen de ses ambitions ?
Tales of Xillia play3
Zanxthiloide

le 14/08/2013
7 play3
Les combats sont très bons (dans la lignée des tales) mais le jeu souffre grandement de ses musiques horribles et de son scénario qui ne devient intéressant que dans les 10 dernières heures.
Le casting était pourtant génial, dommage.

Sympa sans plus.
Tales of Graces f play3
Zanxthiloide

le 20/09/2012
Edité le 20/09/2012
8 play3
L'histoire commence bien, et s'éloigne du cliché du héros messianique qui sauve le monde grâce à sa bonté, mais ce n'est que pour mieux y retourner une fois le premier chapitre de l'âge adulte terminé.

Le système de combat est très ingénieux et suffisamment complexe pour ne pas s'en lasser avant la fin du jeu, malgré l'incompétence flagrante de l'IA face aux boss les plus difficiles. En effet, l'IA préfère souvent parer les coups les plus puissantes (et faciles à éviter), alors qu'elle est capable d'éviter très facilement les coups les plus rapides, souvent mieux que le joueur.

Le chapitre exclusif à la version PS3 réserve de très bonnes surprises (combats beaucoup plus stratégiques, fanservice, nouveaux donjons...), mais se révèle trop court (5heures) et encore une fois, l'histoire n'est pas intéressante. C'est quand même un bon épilogue pour peu que l'on s'intéresse au trio Asbel/Cheria/Sophie.
The Legend of Heroes: Trails of Cold Steel IV play4
Zanxthiloide

le 11/11/2020
7_5 play4
Enfin, le dernier épisode de l'arc d'Erebonia !

Il n'y a pas grand chose à dire sur la partie technique et gameplay : c'est Cold Steel III bis avec quelques ajouts et équilibrages mineurs.

Le jeu souffre des mêmes problèmes de rythme que ToCS II, à savoir que beaucoup d'arcs narratifs ne servent qu'à rafraichir la mémoire du joueur et sont vites oubliés.
Néanmoins, et malgré une direction scénaristique discutable enclenché à la fin de ToCS III (la malédiction, la prophétie sans queue ni tête), et des lourdeurs apportés par les épisodes précédents ("Class VII" jusqu'à plus vouloir), le jeu apporte une conclusion satisfaisante à l'arc Erebonia ainsi qu'à l'arc Crossbell.

A noter une durée de vie assez folle de plus de 110h.
13 Sentinels: Aegis Rim play4
Zanxthiloide

le 04/10/2020
6 play4
Le dernier né de Vanillaware qui aura su se faire attendre !
Pour l'anecdote leur dernier titre date de 2013 (Dragon's Crown), et si on en croit l'artwork produit pour l'année 2013 par le directeur Kamitani, 13 Sentinels : Aegis Rim incube depuis cette même année.

Le jeu est découpé en deux phases très distinctes : une phase "point & click" du pauvre et une phase "combat"... du pauvre aussi. Très clairement le jeu s'oriente énormément du côté d'un visual novel (c'est à dire une intéractivité minimale). Le jeu laisse presque entièrement libre choix au joueur de s'attaquer à tel personnage, ou à se lancer dans des combats (car sauf à 2-3 moments aucun combat n'est nécessaire pour avancer dans l'intrigue de chaque personnage). Le rythme du jeu est donc entièrement dans les mains du joueur.

Pour chacun des treizes protagonistes, on progresse dans de très courtes branches. C'est dommage car les deux premières heures de jeu laissait entrevoir une plus grande liberté dans le déroulement de l'intrigue. Si vous n'êtes pas prêt à lire du texte pendant 30h (sur 40h de jeu en tout), passez tout de suite votre chemin.
L'histoire est découpée à la manière d'Odin Sphere dans le sens où les histoires s'entremêlent et il devient très vite difficile de se repérer dans la chronologie des évènements.
Que dire de plus sur cette phase sinon qu'elle est saturée en rebondissement (bon point : tous prévisibles en avance pour le lecteur assidu !) ce qui fait pour certain la force de l'intrigue et pour moi aussi la grande faiblesse. (Spoiler indirect du jeu)
L'histoire s'amuse à insérer un bon 90% des "trope" de science fiction populaire, au détriment de l'intrigue qui devient assez faible sur le dernier quart, et de la création de petits trous scénarisitiques.
Au final la plupart des pans de l'histoire sont traités de manière superficielle, y compris sur les fameuses sentinelles.

Les phases de combats à bord des robots sont anecdotiques mais pas insuportables. Leur grande faiblesse réside dans l'absence de la patte graphique de Vanillaware (alors que c'est l'attrait n°1 du jeu). J'ai encore du mal à comprendre pourquoi ils ne se sont pas inspirés de Grim Grimoire (RTS de Vanillaware) ou de Front Mission (tactical).
Faute au manque de profondeur, et malgré les limitations imposés au joueur, le jeu est très facile à l'exception des deux dernières missions et des missions post game (au nombre de 9999).

Au final Aegis Rim, c'est une expérience intéressante mais un jeu assez faible.
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