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Atelier Iris: Eternal Mana play2
Bahamut-Omega

le 06/07/2015
7
Je viens de finir Atelier Iris: Eternal Mana, version NTSC-US traduite en français par Atelier Traduction (un grand merci à eux pour leur très bon boulot) en 31 heures.

Avec son air de Grandia, l'histoire ne casse pas trois pattes à un canard mais pourrait se laisser suivre si le rythme de l'histoire n'était pas si mauvais. En effet le jeu nous impose énormément aller-retour pour quelques broutilles, c’est assez énervant à la longue.

Le gameplay est simple est efficace. Le système de combat est au tour par tour à trois personnages jouables, avec une gestion des formations, des placements et de délais de compétences.

Hors combat, on a droit à trois formes de synthèse d'objet.
La première, celle des objets de mana, utilisable uniquement par le héros, y compris en combat. Il suffit qu'il ait trouvé l’objet et les Esprit de Mana, puis d’avoir assez de Mana requis pour fabriquer l'objet.
Les synthèses d'objets au magasin, réalisable par un pnj, qui nous demande de lui trouver des matériaux pour créer des objets (utilisables par n’importe qui en combat) ou équipement.
Et la forge, en associant certains objets aux équipements pour leur donner de nouveaux attributs. Ce système m’a semblé très anecdotique par rapport au deux autres cela dit.
La plupart des quêtes annexes sont liés à la seconde forme de synthèse. C’est assez fun au départ, car malgré la tache rébarbative, chacun des objets créés donnent droit à des dialogues souvent comiques. Mais à la longue je trouve que cela devient assez ennuyant, ça reste du farming pur et dur après tout.

Concernant la réalisation, certes ça ne reflète pas du tout les capacités d'une Ps2, mais ça a le mérite d'avoir très bien vieillis et d'être assez jolis.

L’ambiance sonore par contre est très réussite, les musiques sont belles, variées (trois compositeurs en même temps) et collent bien à l’ambiance du jeu.
Et en plus chose assez rare en 2004, le dual-audio est disponible, nous permettant de choisir entre le doublage américain, mais surtout le doublage original en japonais qui est très réussis.

Atelier Iris: Eternal Mana est un jeu agréable à jouer, suffisamment bon pour me donner envie de tester d’autres jeux Gust, mais loin d’être mémorable.


Tales of Legendia play2
Bahamut-Omega

le 20/11/2014
8

J'ai finis Tales of Legendia en 62 heures.

J’ai été agréablement surpris par ce Tales of pour plusieurs raisons :

Son univers, riche et original, tout en restant dans un style habituel à la saga, de la fantaisie avec quelques éléments de science fiction. L’histoire se passant sur une immense île nommé Legacy qui semblerait être un vaisseau d’une ancienne civilisation.
J’ai trouvé que c’était une façon originale de mêler les deux genres, bien meilleure que les habituels mondes parallèles ou voyages dans le temps.

Son histoire en deux parties.
La première consacrée à Senel, Shirley et à la présentation et développement de l’univers. Senel et Shirley débarquent en catastrophe sur Legacy, et à peine remis de leurs émotions, Shirley, qui est assez spéciale, se fera enlever (à plusieurs reprise même, parenté avec Peach ou Zelda ?) . Senel fera tout son possible pour la retrouver, avec l’aide de quelques autochtones et d’autres touristes qui deviendront ces amis. Jusque là il n’y a pas de quoi casser trois pattes à un canard, mais avec son casting réussis, son univers original et son rythme très soutenue, ça donne quelque chose de très agréable à suivre.
La seconde partie du jeu, loin d’être anecdotique est consacrée aux personnages eux mêmes et notamment à leur venue sur Legacy, chose qui n’avait pas été traité dans la première partie du jeu faute de temps, pour des raisons évidentes, fallait sauver le soldat Shirley, Senel n’avait donc pas le temps de tailler la bavette.
Le casting (des persos principaux comme secondaires) étant un atout majeur du jeu, en ce qui me concerne, en apprendre plus sur eux est très intéressant, riche en émotion et parfois surprenant (l’histoire de Norma !) .

Son OST est tout simplement merveilleuse, normal ce n’est pas Sakuraba et ses musiques d’ascenseurs qu’il pond pour la saga habituellement. C’est à Go Shiina à qui ont doit ces magnifiques compositions.
Concernant le doublage, ayant joué en version undub (VOSTA en quelques sortes) j’ai pu profiter du doublage original époustouflant (avec plein de voix connus en plus d’être talentueuse). Dommage qu’il n’y ait pas eu le choix avec le doublage sur la version US du jeu.

Et concernant la réalisation, les décors sont très jolis et diversifiés, bien qu’un peu vide dans les donjons. Les illustrations des personnages dans certains dialogues importants et dans les habituelles saynètes sont très belles (faut aimer le chara design assez original cela dit), ainsi que les cinématiques.
Dommage que les animations des persos (surtout quand ils se déplacent) soient assez ridicules.

Mais malheureusement tout n’est pas réussi à mes yeux:

Premièrement, le système de combat…
Ce n’est pas tan le retour à «une ligne» qui m’a dérangé, d’autan plus que ça reste assez nerveux et que la difficulté en seconde partie est assez élevé rendant tout les combat un minimum intéressant, ce n’est pas en mitraillant un simple combo que l’on peut s’en sortir.
Ni par l’IA qui suit assez bien les consignes (même si elle ne s’occupe jamais de l’affinité élémental de l’ennemi, c’est toujours à nous de bloquer les sorts à ne pas utiliser, comme dans chaque Tales of).
Mais par les nouveautés comme la jauge Climax, qui peut être très utile quand l’ennemi charge sur le(s) mage(s) du groupe, mais qui se rempli très lentement et se vide trop vite.
Aussi comme la possibilité de lancer un ennemi à terre qui ne peut être fait que par nous même en contrôlant Senel. Donc quand on ne le contrôle pas on ne peut strictement rien faire à un ennemi à terre.
Ou comme la possibilité de créer des artes spécialisés contre un type d’ennemi, qui est difficile à exploité contre des ennemis aléatoires.

Deuxièmement c’est la linéarité du jeu qui m’a embêté, surtout en seconde partie, car la première a une excuse lié à l’histoire. Comme quêtes annexes on a juste droit aux combats de l’arène, à une chasse aux trésors avec un détecteur, et à une chasse aux monstres rares (similaire à la chasse aux trésors).

Et pour finir, deux défauts liés à la seconde partie du jeu, la disparition des doublages dans les dialogues (cela dit quand on joue à une version US officielle ce n’est peut-être pas un gros défaut, mais en undub c’est bien triste). Et le fait que l’on revisite les donjons de la première partie (pas plus de deux fois dans tout le jeu heureusement) , un petit tour en dehors de Legacy n’aurait pas été de refus, ou à la limite raccourcir la durée de certaines Character Quest.

Mais vous l’aurait compris, malgré ces défauts que certains ne supporteront pas, j’ai adoré le jeu, des Tales of comme ça j’en reprendrai bien un morceau.


Star Ocean: Till the End of Time Director's Cut play2
Bahamut-Omega

le 06/11/2014
5_5
Je viens de finir Star Ocean Till the End of Time en 51 heures (dont une dizaine de farming...).

Globalement je suis assez déçu par ce jeu.

Premièrement par son univers, encore une fois le coté Space Opera ou Science-Fiction est mis très tôt de coté dès le début. Après 2-3 heures de jeu, notre jeune héros se retrouve dans un univers Médiéval-fantastique assez banal, pour revenir dans un Space Opera très peu exploité (avec un retour sur les planètes déjà visité, et dans les mêmes environnements pour couronner le tout).

Déçu par son histoire, en plus d'être très longue à démarrer, le seul passage marquant ce passe au 3/4 du jeu avec une révélation choc et assez culotté (qui ne plaira pas à tout le monde) ayant un rapport avec les autres jeux de la saga, mais qui retombe très vite à plat sur la fin.

Déçu par ses personnages. Sur 10 (dont 2 qu'il faudra laisser sur le ban de touche vers la fin), 5 se sentent réellement concernés par les évènements du jeu, les autres ne font que de la figuration.

Déçu par son système de combat, qui me semble avoir très mal vieillit.
Pas de verrouillage de cibles. Les ennemis n'étant pas trop bêtes, bougent tout le temps; on passe plus de temps à taper dans le vide, surtout quand des problèmes de collision s'en mêlent.
I.A au fraise, non seulement les propositions de configurations sont parfois débiles (proposer à un mage de ne pas utiliser de magies... quel intérêt ?) et qui de toute façon ne sont pas respectés. Il arrive même que le persos ne fasse strictement rien du combat (bug ?).
Pas de vrai combo, juste un enchainement de 2-3 coups, parfois plus quand on envoi un ennemi en l'air et que l'on profite d'un bug de collision (encore).

Et déçu par l'ensemble du gameplay, Avec entre autre, les nombreux allé-retours que l'on doit faire dans la quêtes principales mais surtout dans la recherche des PA.
Ou l'Item Creation, très lourde d'utilisation et mal expliquée, mais surtout quasi obligatoire pour les deux derniers donjons (et les optionnels) tan la difficulté augmente brusquement (comme d'habitude avec les jeux tri-Ace).

Heureusement il reste la réalisation, qui a un peu mal vieillit mais qui reste très potable aujourd'hui. Les environnement sont très variés et bien détaillés.

L'OST est agréable, mais je n'ai pas trouvé de thème très marquant (Motoi Sakuraba en même temps, tellement présent que d'un jeu à l'autre j'ai l'impression d'entendre les même musiques).

Sinon ayant joué dans une version US Undub j'ai pu profiter du doublage original d'excellente qualité et du 60 Hz. Dommage que ce ne soit pas le cas pour les versions officielles PAL (et US pour le doublage)

Et la duré de vie est conséquente, avec notamment plusieurs donjons optionnels très longs et difficiles et les battles trophies.

Au final je considère Star Ocean 2 comme le meilleur de la saga, suvis par the Last Hope International qui malgré la naïveté dégoulinante de ses personnages, maîtrise le mieux le concept de Space Opera. Loin devant Star Ocean premier du nom qui est très old school et Till the End of Time.
Final Fantasy XII: International Zodiac Job System play2
Bahamut-Omega

le 25/10/2014
8
Finis Final Fantasy XII International Zodiac Job Systeme en 59 heures.

Je ne vais pas répéter mon avis sur la première version du jeu, dans l'ensemble je trouve qu'IZJS est bien une version supérieur pour 3 bonne raisons:
_ Le système de Job bien sur, qui nous empêche d'avoir plusieurs "clone" dans l'équipe ou de laisser 3 persos sur le ban de touche.
_ le bouton turbo.
_ Les modes Nouvelle Parties +

Mais c'est loin d'être parfait à mes yeux.
Premièrement, certains des 12 jobs sont quand même assez limités, voire très nul.
Deuxièmement, le système de coffre à contenue "aléatoire" est toujours présents et toujours aussi nul.
Troisièmement, le farming toujours aussi importants pour les annexes.

Du coup cette version du jeu est bien plus compliquée que la première, vu que l'on a moins de compétences variées et que les équipements sont toujours aussi long à fabriquer ou compliqués à trouver.

J'ai beau considérer cette version comme légèrement supérieur à l'originale, je ne conseillerai pas de la faire en priorité pour autant, car elle est malgré tout plus exigeante et frustante. Maintenant si vous aimez le farming et les défis faites vous plaisir.
Final Fantasy XII play2
Bahamut-Omega

le 31/08/2012
Edité le 25/10/2014
7_5

J'ai trouvé que les gros points forts de ce jeu sont l'univers d'une richesse incroyable, la qualité des dialogues, ainsi qu'une partie du gameplay. J'ai apprécier le système de combat avec les gambit (ordres précis pour les IA) , même si vers la fin du jeu, le joueur n'a pas grand chose à faire à cause de la polyvalence des persos.

Les persos sont très réussis, sauf Penelo qui ne sert qu'à se faire enlever comme Peach dans Mario, ou de narratrice pour l'épilogue (sont plus beau rôle du jeu, même sa tenue à changé pour l'occasion).

La réalisation est impeccable, l'OST est très réussite.
Et concernant le doublage US, c'est tout simplement un des meilleurs que j'ai pu entendre dans un jeux japonais.

J'ai moins apprécier le scénario, peu "fantastique" (pour un Final "Fantasy" c'est un comble). Mais bien écrit pour le coup.

Concernant le gameplay, je trouve que la sensation de liberté est fausse, certes on peut en théorie explorer pas mal de lieu dès le début, mais les ennemis qu'on y trouve sont tellement fort qu'il ne vaut mieux pas s'y aventurer.

La polyvalence des persos aide bien au début, mais rend le jeu bien ennuyant sur la fin. Je trouve assez stupide le fait que parmi un bonne dizaine d'armes différentes, seul les épées sont mise en valeur en fin de jeu.

La difficulté est assez bien dosé, ça peut être difficile si l'on est en sous équipement ou si l'on achète pas les Impulsions (attaques ultimes) rapidement (pour l'augmentation de PM surtout).

Les quêtes annexes sont peu nombreuses, les plus importantes sont celles en rapport avec la chasse, à part ça rien de bien utile, en fin de jeu c'est même ennuyant quand il n'y a que du farming à faire avant les boss optionnels ultimes.

Mais le gros défaut du jeu, est son système de coffre... de quoi avoir des envies de meurtre sur ses créateurs, surtout quand le jeu exige d'avoir un bon équipement pour ne pas trop trimer. Quel idée de mettre des contenus aléatoire, ou surtout des coffres qui disparaissent si on en ouvre un qui ne faut pas, comme celui de l'arme ultime.

Malgré tout ces défauts j'ai assez bien aimé le jeu, mieux que lors de ma première partie, même après Xenoblade Chronicle, qui dans le même genre (sauf pour le style scénaristique) l'enterre complètement.


Rogue Galaxy play2
Bahamut-Omega

le 15/07/2012
5
Après l'avoir finis une première fois sans m'avoir marqué, au moment de sa sortie, je viens de le re-terminer et... j'ai été grandement déçut

Son scénario est très basique, d'un ennui mortel, mal rythmé et prévisible. Il y a un mieu vers les chapitre 8 et 9, mais la pression retombe vite après...

A part Jaster, Kisala, et Zegram à moindre mesure les persos sont vraiment peu intéressent. Si, j'aime bien le méchant et sa collaboratrice

Heureusement j'ai trouvé son univers attachant.

Concernant le système de combat, très basique avec quelques défauts, comme les attaques spéciales qui cassent le rythme, les sauts imprécis, les attaques sautées imprécises (on ne saute pas assez haut) et la visée calamiteuse.

Dans le gameplay, on a plein de chose sympatique mais au début seulement
Le système d'évolution des armes fort sympatiques mais interminable, sérieusement quel intérêt d'avoir fait des armes "Ex" qui sont des copies conformes des armes normales, avec seulement un bonus de Stats. Sans compter les améliorations secrètes des armes de Jaster que l'on doit trouver tout seul

L'Usine et bien trouvé, mais l'interface avec les menus bien embêtante.
J'ai pas essayé les Insectrons, ça ne me dis rien et j'avais assez à faire.

Les donjons sont ennuyeux, très "couloir". Merci la téléportation qui évite les allés retours mais rend le jeu bien facile, heureusement les ennemis frappes fort ça équilibre un peu le fait d'avoir accés aux magasins n'importe quand.

La durée de vie est très longue grace aux quêtes annexes et c'est tan mieux, on rentabilise bien le jeu

Les graphismes sont sublimes, j'ai surtout été bluffé par les cinématiques. Les décors sont un peu vides par contre.

L'OST par contre . Ok pour les thèmes que l'on entends 3 fois dans le jeu, qui sont très réussis, mais pour les thèmes de zones c'est banal, voire innaudible, et les thèmes de combats ne sont pas marquants.

Bref grosse déception pour moi.
SD Gundam G Generation Spirits play2
Bahamut-Omega

le 28/12/2011
8
Très bon T-RPG que je recommande à tout les fans de l'Universal Century (le 1° univers) de Gundam. En effet ce jeu reprend les évènements de cet univers dans sa quasi-intégralitée (ceux parrut après le jeu biensûr) . Ainsi on peut jouer avec des persos/MS assez rares pour nous Européen, comme les Blue Destiny, Ksi Gundam, Crossbonne Gundam, etc...
Je n'ai pas noté le scénario, car il n'y en a pas vraiment, ce sont juste des résumés de ce qui ce passe dans cet univers Gundam.
Concernant le gameplay, le jeu est difficile au début (voire très pour quelqu'un qui découvre le genre) on démare avec 3 MS dérisoire et un vaisseau mère très pourrit. On se retrouve souvent en sous nombre, et pour combler ce vide, on se retrouve souvent à acheter des persos avec un faible potentiel et on leur attribut des MS faible qu'il faut "entrainer" pour pouvoir en avoir des plus forts. En gros on est obliger de faire du "lv-up" au début, c'est long et pas tellement intéressent. Mais plus on avance dans le jeu, plus notre armée devient impressionnante et plus on prend du plaisir à y jouer.
Le jeu est difficile aussi, car pour débloquer les persos à fort potentiel on doit faire des scores très élevé pour finir le missions, ce qui nous pousse à les refaire plusieurs fois. L'argent est difficile à gagner, les sommes que l'on gagne sont dérisoire par rapport aux prix des persos "moyen" ou de certains robots. Mais ça rend les robots et persos encore plus désirable et donne une bonne source de motivation.
Concernant le système de combat, c'est assez classique pour un T-RPG, on déplace nos unités sur un damier, les attaques ont un certians nombre de case de portée. La particularité, c'est quand un persos tue un ennemis ou esquive une attaque, une jauge de "tension" augmente, une fois remplis ça puissance double, à l'inverse elle diminue quand il rate une attaque ou se fait toucher, se qui le rend plus faible.
Vers la toute fin du jeu, quand on a une bonne armée, on peut faire les missions avec seulement un perso si l'on veut, tellement que ça devient facile, mais pour en arriver là, faut d'abbord en baver.
Pour conclure c'est un T-RPG réserver aux fans de cet univers Gundam, ou aux fans de T-RPG dont le japonais ne fait pas peur. Personnelemnt je me suis bien amusé pendant plus de 200 heures, c'est assez rares tout de même.

Drakengard 3 play3
Bahamut-Omega

le 06/01/2019
7

Il y a quelques jours j'ai finis Drakengard 3 sur Ps3, en une trentaine d'heures à la louche (sans DLC), avec le platine.

Toujours aussi frustrant d'y jouer à cette saga.

Je vais commencer par les choses qui fâchent, ceux qui se voient le plus. La réalisation date de l'ère précédente. Mais surtout, techniquement c'est honteux. Le patch correctif semble corriger les plantages, mais pas plus. Ralentissement, aliasing, clipping, IA à la ramasse,... bref tout y passe.
La direction artistique sauve un peu le tout, avec en tête le chara-design.

Concernant le gameplay, c'est mieux que le premier opus. Bon en même temps, c'était difficile de faire pire hein? Mais ça à beau être mieux jouable, ce n'est pas plus captivant. Un coté A-RPG assez quelconque et rudimentaire. Avec quelques phases à dos de dragon (pour les boss notamment) et quelques phases de plateforme nullissime qui agaceront aussi l'héroïne. Ainsi que deux-trois missions typées Rail-shooter, là aussi assez basique.

Si tout ça ne vous a pas découragé, sachez que le jeu à quand même quelques points d'intérêts.
La richesse de son univers (lié à Drakengard (1) mais aussi NieR et NieR Automata) et son ambiance assez unique, surtout ces temps-ci, comparativement à d'autres J-RPG.

L'ambiance est moins glauque et pesante que le premier opus. Elle reste très violente et malsaine mais beaucoup plus drôle. Les punch-line du groupe improbable font mouches, encore faut-il aimer l'humour noir, burlesque, et grivois.
Bémol sur la mise en scène qui décline au chapitre 2, mais reste tout de même très correcte, encore une fois si on compare avec d'autre J-RPG.

Le pitch de départ du jeu étant: Zero une "invoqueuse", grossière, impudique et violente; veut tuer ces cinq sœurs invoqueuses qui, elles, sont considérées comme des déesses vivantes, après avoir vaincus grâces à leurs pouvoirs les despotes qui gouvernaient le monde.
Zero est accompagnée d'un tout jeune dragon (de 7 ans d'âge mental aussi) nommé Mikhail, qui est gentil, naïf et pas encore propre. Ce duo improbable sera rejoint par Dito, jeune homme psychopathe. Decadus un intello sado-masochiste (surtout masochiste). Octa un vieux pervers. Et Cent le beau gosse débile profond. Ces 4 hommes aideront Zero tout en assouvissant leurs phantasmes plus ou moins variés, mais tournant autour du sexe et des massacres.
Bien sur il y a une "vraie" raison au voyage de Zero, mais on ne l'apprend qu'à la toute fin du jeu, une fois que les pièces du puzzle se mettent en place.
Puzzle qui restera incomplet, car Yoko Taro oblige, le jeu lui-même ne se suffit pas entièrement. Il faut lire certaines nouvelles pour avoir la compilation des différentes fins du jeu, ajoutant quelques infos au passage. Cette "Dérivation E" servira de base à Drakengard (1).

Dans les autres points positifs, il y a l'ambiance sonore absolument somptueuse grâce à Emi Evans et groupe MONACA composé entre autre de Keiichi Okabe. Deux noms que l'on retrouve dans les OST très identifiable de la saga NieR.
Au niveau du doublage, la version US est exceptionnelle. Tant mieux car même si le doublage original est disponible, il faut payer pour en profiter, je m'en suis donc passé.

Pour résumer, à mon sens, on joue à Drakengard 3 pour Yoko Taro et son univers unique. Mais pas pour trouver un bon "jeu".


The Legend of Heroes: Trails of Cold Steel II play3
Bahamut-Omega

le 16/04/2017
8

J'ai finis Legend of Heroes: Trails of Cold Steel II sur Ps3 en 66 heures.

Une plutôt bonne surprise, car d'après ce que j'avais lus sur le jeu au moment de sa sortie, je m'attendais à un jeu avec bien plus de recyclage et à une histoire qui stagne.

Le jeu reste quand même bien frustrant sur pas mal de points:
_ L'intrigue se passe toujours dans la partie Est d'Erebonia, celle que l'on a visité dans le premier opus. Heureusement on ne nous refait pas traverser les anciens donjons.
_ Pratiquement pas de révélations sur les projets des divers groupes agissants dans l'ombre. Par contre, beaucoup d'autres questions en attentes de réponses, ou des questions qui auraient du être posées.
_ Des combats contres les boss à l'issue très frustrante, on nous fait bien comprendre que notre groupe de héros est bien jeune et faible.

Il faut donc voir se second opus comme une suite à l'introduction de l'arc Erebonia. Où Rean part à la recherche de ses camarades de classe, puis se retrouve plus ou moins contraint à participer à la guerre civile.
Mais la partie traitée dans le jeu est plutôt réussite à mon goût, et le chapitre final très intense et réussis. De même que l'épilogue, si ce n'est un dernier boss sortie de nulle part et ne faisant pas avancer le schmilblick.

Sinon concernant le gameplay, on retrouve excellent système de combat que l'on a à la fin du premier opus. La petite nouveauté étant le système d'Overdrive qui permet d'enchainer trois tours d'action avec des bonus et des soins, pour se sortir d'une mauvaise situation.
Les combats avec Valimar sont aussi moins injustes que ceux présents dans l'épilogue du premier opus, mais plus facile aussi.

Concernant la réalisation, c'est évident que le jeu est tout sauf séduisant. Et techniquement sur Ps3 c'est même assez raté avec des ralentissements assez fréquent dans les scènes. N'a pas les moyens de Square Enix ou Bandai Namco qui veut parmi les développeurs japonais, mais ici on sait où le budget du jeu est passé cela dit.

Quand à l'OST, Sound Team JDK fait le job, mais ça reste un peu décevant par rapport à leur travail habituel. Mais c'est quand même mieux que Trails of Cold Steel (1), ici dans le 2 il y a un peu plus de thèmes marquants à mon goût.

En résumé, le maître mot ici c'est frustration, mais pas déception en ce qui me concerne.
Certes je n'ai pas eu les réponses que j'aurai aimé avoir, mais j'ai quand même passé un bon moment à coté de Rean, du reste de la Classe VII et de leurs alliés. Et j'ai toujours envie d'en savoir plus sur l'univers de cette saga, et de connaitre la suite de l'arc Erebonia.


Disgaea 4: A Promise Unforgotten play3
Bahamut-Omega

le 08/05/2016
8

J'ai finis le scénario de Disgaea 4: A Promise Unforgotten sur Ps3 en 30 heures, avec la fin de "Vulcano".

Pas grand chose à dire sur le jeu, du moins rien de plus que Disgaea 3: Absence of Justice. Si ce n'est que j'ai mieux apprécier le scénario et le casting. Donc un point en plus dans la note.


The Legend of Heroes: Trails of Cold Steel play3
Bahamut-Omega

le 03/04/2016
8_5
J'ai finis The Legend of Heroes: Trails of Cold Steel en 67 heures sur Ps3.

Et bien c'est une agréable surprise, après la semi déception du début de Trails in the Sky sur PsP. Que je ne trouve pas mauvais, loin de là, mais juste trop bavard pour les petites sessions de jeu que j'ai l'habitude de faire sur console portable, et donc difficilement appréciable à mon goût.

Ici avec ToCS sur Ps3, j'ai pu mieux profiter du jeu et enfin découvrir un épisode de cette saga.
Et j'ai étais vite scotché par le jeu, grâce à son univers riche et vivant. En lien direct avec les autres opus, façon Suikoden.

J'ai bien aimé aussi les personnages, certes au début ce sont des stéréotypes ambulants, mais j'ai trouvé leurs histoires personnelles et leurs évolutions intéressantes.
Le système de combat au tour par tour vraiment exceptionnel, un des meilleurs du genre à mon goût. Avec en plus une difficulté très bien dosé en normal.
Ainsi que la progression dans le jeu, par chapitre réglé comme du papier à musique. Ça peut paraître répétitif mais je trouve ça cohérent. Nos héros sont dans une académie militaire, qu'ils aient une certaine routine à respecter ne me choque pas. De plus les épreuves de terrains se passent dans divers territoire de l'empire, histoire de variés un minimum. Une manière assez sympa de découvrir les territoires de l'empire et d'apprendre des choses sur l'univers.

Dommage qu'en plus d'avoir quelques défauts typiques des J-RPG de cette génération (bestiaire peu varié, quêtes peu originales, donjons couloirs/labyrinthes ennuyants), le jeu a une réalisation qui date pour 2013 sur Ps3/Vita, mais vu le contenue j'oubliai presque sur quelle console je jouais.
Par contre je regrette vraiment que la localisation Européenne soit si tardive et si limitée. Certes c'est inespéré d'avoir des épisodes de cette saga très bien traduit et doublé en anglais, mais je pense que ça mérite bien mieux, ne serais-ce que le dual-audio avec le doublage original vu le chara-design très "manga".

Malgré ces quelques défauts, j'attends avec impatience les suites de ce jeu.
Atelier Totori ~The Adventurer of Arland~ play3
Bahamut-Omega

le 20/02/2016
5_5
J'ai finis Atelier Totori: the Adventurer of Arland sur Ps3 en 24 heures avec (seulement) 2 des 11 fins disponibles.

Dans l'ensemble c'est un jeu un peu meilleur que son grand frère Atelier Rorona: the Alchemist of Arland.
Tout en reprenant l'ambiance de Rorona (et qui semble être propre à la saga), un scénario y a été ajouté (qui ne casse pas trois pattes à un canard mais qui a le mérite d'être là avec une petite séquence émotion). Le chronomètre est moins stressant (mais toujours important). L'amitié entre personnages est plus facile à augmenter. Les combats sont un peu mieux valorisés, ainsi que le reste du gameplay par la même occasion vu qu'on a tout intérêt à créer de bon objets avec des effets intéressants, et à explorer pour trouver de bons ingrédients. Et l'ergonomie des menus améliorée.

Mais le jeu, est aussi exigeant que son grand frère concernant l'obtention de la vraie fin. Il faut trouver un parfait équilibre entre création d'objets, exploration, leveling, et réalisation de quêtes. Avec tous ça à gérer on loupe très facilement des scènes importantes pour les fins. La re-jouabilité toujours aussi nulle avec un mode New Game + est toujours aussi dérisoire, on conserve seulement l'argent et l'équipement équipé. Et bien sur, aucun progrès sur la réalisation.

C'est mieux que Rorona, mais pas encore la panacée et toujours aussi décevant par rapport à Atelier Iris: Eternal Mana.
Atelier Rorona ~The Alchemist of Arland~ play3
Bahamut-Omega

le 27/01/2016
4_5
J'ai finis Atelier Rorona: the Alchemist of Arland sur Ps3 en 29 heures avec 9 des 14 fins du jeu. Mon second opus sur cette saga.

Et bien j'ai étais assez déçu du jeu pour la simple raison qu'Atelier Iris: Eternal Mana sur Ps2 le bats dans pratiquement tous les domaines. Entre autre les combats mous, et sans challenges. Et surtout un passage à la 3D assez raté...
L'Alchimie a aussi changé, d'un coté le système d'effet ajouté gagne de l'importance et de l'autre les synthèses dérivées ont disparut. Sachant qu'il y a peu d'intérêt à créer des objets avec des effets intéressants, vu que les combats contres les boss sont optionnels, je trouve ce système plus ennuyant qu'autre chose.
Et pour finir avec le coté négatif, il n'y a aucune re-jouabilité. La progression dans le jeu pour obtenir la vraie fin est très exigeante, presque impossible à obtenir lors d'une première partie, donc je trouve dommage de devoir quasiment tout recommencer à zéro car en NG+ seul l'argent possédé est conservé.

Mais le jeu est assez original sur la progression et je suis assez bon public de l'humour de la saga. Et puis il y a le dual audio et la traduction française (oui je grappille quelques bons points, j'ai un peu de mal à en trouver).
The Elder Scrolls IV: Oblivion - Edition 5ème anniversaire play3
Bahamut-Omega

le 13/11/2015
8

The Elder Scrolls IV : Oblivion Edition 5ème Anniversaire finis en 90 heures sur Ps3.

Avec la plupart des quêtes principales de finis (c'est marrant de voir tous les titres que notre persos peu cumuler dans l'aventure). Il me manque "que" les quêtes des deadras (moins développées que dans TES V) et quelques quêtes de récoltes d'objets rares.

Ayant joué à TES V avant, la comparaison est assez rude sur certains points, que ce soit l'ergonomie des menus, la modélisation des visages (et leurs couleurs !), la spontanéité des discussions entre pnj, ou la maniabilité du personnage moins réaliste (et une vue à la troisième personne totalement ratée, heureusement optionnelle).

Mais un fois que je me suis habitué à tout ça, j'ai pris plaisir à découvrir Cyrodiil et le jeu lui même. L'univers des TES est incroyablement riche faut dire, la moindre quête peu prendre des dimensions épiques ici.

En ayant la version Ps3, je m'attendais à ce que ce soit truffé de bug. Finalement pas tan que ça, je n'ai eu que 4 plantages en 90 heures de jeu. À par ça, je n'ai eu que des problèmes de marqueurs de quêtes, parfois absents, parfois de la mauvaise couleur. Le doublage allemand qui remplaçait le français (pour deux personnages dans tout le jeu visiblement). Sur ce point là jeu reste parfaitement jouable sur cette version, même si la version PC est bien sur à privilégier.

Par contre, cette version souffre de quelques chutes de framerate quand l'écran est chargé. La mission finale du scénario est bien gâchée par ça. Et il arrivait souvent que certains dialogues n'étaient pas traduis en français ni doublé.
Sur ces points, cette version 5ième Anniversaire est assez ratée, elle ne semble rien améliorer par rapport à la version GoTY. A défaut d'avoir du contenue inédit, la correction de ces défauts n’aurait pas été de trop.


Disgaea 3: Absence of Justice play3
Bahamut-Omega

le 25/08/2015
7

J'ai finis le scénario de Disgaea 3 Absence of Justice sur Ps3 en 44 heures (dont une bonne moitié consacrée au farming).

Et bien c’était une agréable surprise de (re-)découvrir cette saga à travers ce troisième opus cette fois-ci traduis en français. J'ai pu profiter pleinement de cette ambiance délirante et unique (aux jeux NIS) et rien que pour ça le jeu valait le coup d'être acheté, ça faisait très longtemps que je n'avais pas autan ris devant un jeu.

Mais l'autre force du jeu, malgré l'absence de grande nouveauté par rapport à l'opus précédent, c'est la richesse de son gameplay. Déjà, de part l'ambiance générale du jeu, c'est très différent de ce que proposent d'autres T-RPG, avec des gameplay bien plus sérieux et réalistes. Mais j'ai étais surpris par le nombre incroyable d'actions possibles que l'on a pendant, mais aussi avant, les missions. Mission qui durant le scénario sont assez diversifiés. Même si l’objectif est systématiquement de tuer tous les ennemis, les situations peuvent être tantôt gaguesque où un simple lancer de tonneaux explosif bien placé peut éliminer tout nuisible, tantôt sembler dramatique avec des ennemis qui sont placés sur une demi douzaine de case à bonus qui faut détruire astucieusement. En fait le scénario, et ces quelques pics de difficulté pour nous obliger à nous servir de l’Item World ou du système de Réincarnation, est presque un immense tutoriel en vue de nous préparer à l’immense post-game.

Post-game que je n’ai pas eu le courage de tenter… Car explorer l’Item World, cet enchainement de map assez similaire à difficulté croissante au sein d’un objet, en vu (entre autre) d’améliorer ces statistiques, est assez ennuyant. De même que faire du leveling pour explorer de nouvelles zones et récupérer des objets encore plus puissants. Le tout pour vaincre des boss lv 2000, 5000 ou 9999 avec des statistiques à millions de points.

Mis à part cet aspect du gameplay que je n’ai pas aimé mais qui peut-être considéré comme un atout, voire le fer de lance de la saga Disgaea et d’autres jeux NIS. La réalisation du jeu est décevante. Ce n’est ni plus ni moins qu’un portage Ps3 non HD de ce que proposait Disgaea 2 sur Ps2, et encore la réalisation sur ce dernier n’était pas son point fort non plus.
Heureusement la touche artistique, la bande son et l’excellent doublage original japonais (au choix avec un doublage US) font passer la pilule bien plus facilement.

Et pour finir, j’ai trouvé l’ergonomie des menus où la gestion de la caméra assez archaïque. Notamment proposer de masquer les couleurs des géopierres avec le joystick droit, mais de ne pas pouvoir bouger la caméra avec ce même joystick.

Mais dans l’ensemble j’ai apprécié jouer à Disgaea 3. Malheureusement ne pas faire le post-game me laisse une désagréable impression de ne pas avoir finis le jeu, tout comme sur Final Fantasy X (version PAL) et ces quêtes à farming bête et méchant sans grand intérêt.


Dark Souls II: Scholar of the First Sin play3
Bahamut-Omega

le 26/06/2015
7_5
J'ai finis le "scénario" de Dark Souls II: Scholar of the First Sin version Ps3 en 130 heures, en prenant mon temps.

Dans l'ensemble j'ai été très satisfait de cet opus, même si la comparaison avec la version complète du premier opus est assez rude, du moins concernant le jeu en solo.

On a de nombreuses zones, certes très variées, mais aussi très courtes, avec peu de secrets, et qui s'enchainent sans réelle logique façon J-RPG standard.
Ensuite, le placement des ennemis est parfois étrange, comme mettre des soldats géants dans des souterrains où théoriquement ils ne peuvent pas utiliser leurs épées géantes tan c’est étroit, tout en y arrivant en profitant de bugs de collisions.
Les boss m’ont semblait moins charismatiques, moins forts et parfois ils sont même recyclés.
Et pour finir on a droit à un immense pic de difficultés concernant tous les boss et zones purement optionnelles, par rapport au reste du jeu (notamment celles des DLC où la coopération est incitée sans qu’elle ne soit facilitée).

Mais le gameplay a été bien amélioré dans son ensemble.
Que ce soit la gestion du leveling, avec des statistiques tous potentiellement utiles. Pyromancie liée à la Sorcellerie, ce qui l’a rend moins abusée. Un mode carcasse, plus pénalisant et donc des morts encore plus punitives. Ambidextrie possible. Farming possible, mais limités afin d’éviter les abus. Le Soul Memory qui empêche les invasions de joueurs avec un trop grand écart de level (même si ce n’est pas la panacée pour les amateurs de challenges low-lv). Et les Serments plus variés.

Concernant la réalisation, c’est beau, il y a un net progrès depuis DkS I, les environnements sont jolis et détaillés. Cependant on est loin du résultat promis à je ne sais plus quel conférence en 2013. Mais c’est souvent comme ça avec les jeux consoles et malheureusement pas exclusifs à DkS II. La Framerate est bien plus stable il peut y avoir quelques ralentissements assez rares dans certaines circonstances un peu chargées à l’écran, mais on est loin du Hameau du Crépuscule de DkS I par exemple.
Il y a malgré tout quelques bugs d’affichages, avec par exemple des coups ennemis ou des effets de lumières capable de traversés les murs.

L’OST est très belle, bien qu’un peu moins marquante que celle du premier opus. Mais Sakuraba a su prouver qu’il était capable d’autre choses que ces habituelles fourre-tout comme il le fait souvent pour les Tales of. Et le doublage original en anglais est toujours excellent.

Quand au scénario, ça reste fidèle à l’esprit de la saga. A priori pas grand-chose à part une vidéo présentant brièvement l’univers du jeu et une vidéo de fin. Mais les discussions avec les PNJ et les descriptions des objets et équipements (encore faut-il les trouver ou prendre la peine de les acheter) nous donnent les éléments nécessaires à la compréhension de l’histoire. Un style qui ne plaira pas à tout le monde mais qui a le mérite d’être assez orignal, surtout pour un J-RPG; et ça a aussi l’avantage de ne pas casser le rythme du jeu.

En bref, j’y ai passé d’agréables heures dessus, et ça continuera avec un NG+ dans quelques temps, malgré la comparaison assez rude sur certains points où DkS I excellait.
Dai-3-Ji Super Robot Taisen Z: Tengoku-Hen play3
Bahamut-Omega

le 23/05/2015
7_5
J'ai finis ma seconde partie sur Dai 3 Ji Super Robot Taisen Z Tengoku Hen (SRT Z III-2) sur Ps3 en 126 heures au total (71 heures pour la première partie).

C'est toujours un peu triste de finir un univers à cette saga, d'autan plus que l'année dernière c'était au tour des Masou Kishin.
Le manque d'ambition des épisodes de cet univers depuis les seconds opus sur PsP gâchent un peu la fête. Un seul héros et robot au choix en début de jeux, peu de secrets, casting vaste mais finalement peu exploité avec pas mal de séries sans grande implication dans le scénario, et le manque de variétés des missions (ou trop de mission "de remplissage").
Ici dans cet épisode, on a eu droit à beaucoup de missions avec des ennemis originaux. C’est normal pour un épisode final, mais plus de variétés dans les robots ennemis et des antagonistes plus nombreux et développés n’auraient pas été de trop. Cela dit, on a toute les réponses aux questions laissées en suspens et l’histoire est agréable à suivre.

La réalisation aussi est décevante, comme pour SRT Z III-1, rien à voir avec les magnifiques OG2 de 2012, DP de 2013 ou dans un autre style MK III en 2013 et MK F en 2014. Là on a droit à l'équivalent d'un joli portage HD des opus sur PsP. La qualité des animations des robots varient beaucoup d’un robot à l’autre. Parfois c’est très réussis comme pour le Zeta Gundam ou Nu-Gundam, et parfois nullissime comme pour le Dancougar Nova.

Concernant l’OST, les pistes originales sont toujours très sympas et concordent bien à l’action ou au personnage et à son robot, même si la qualité sonore date.
Mais les adaptations des musiques des différentes séries sont honteuses pour un jeu en 2015. Heureusement un mode Custom BGM est disponible, et a même été amélioré depuis Z III-1. Mais il faut passer du temps à réarranger soit même ses propres musiques pour pouvoir en profiter dans le jeu.

Le gameplay (avec l’histoire et l’univers) sauvent la mise. Même si je regrette un peu le système de trio de Z premier du nom, le système de duo choisis ici est simple et efficace. Créer des équipes en faisant attention à la diversité des magies des pilotes et sans que les robots ne se gênent par rapport à leur(s) terrain(s) de prédilection est assez addictif.
La difficulté est assez bien dosée, en mode normal c’est à peine plus difficile que le précédent. Dommage qu’il n’y ait pas de mode Extra-Hard, même si le joueur peut facilement s’imposer des règles de jeux pour ce le créer artificiellement (ne pas acheter de compétences aux pilotes et ne pas améliorer les robots, entre autre).

J’ai bien aimé parcourir deux fois ce jeu, il me manque une demi-partie pour avoir le trophée de platine correspondant au 100% réels du jeu. Mais ça devient un peu lassant à la longue.
Dommage que cette saga se finissent dans cette période bien morose pour les jeux japonais sur console, le manque d’ambitions et d’investissement des développeurs sur ce jeu "de niche" c’est pas mal fait ressentir, on est loin de ce que proposé SRT Apha 3, épisode final du second univers SRT, dix ans plus tôt.
Super Robot Taisen OG Saga: Masou Kishin F - Coffin of the End play3
Bahamut-Omega

le 30/09/2014
Edité le 05/11/2014
9_5

Finis SRT Masou Kishin F en 56 heures avec les 2 fins.

Tout ce que l'on pouvait attendre pour ce final y est, tout les héros ont leurs robots à 100% de leur puissance. Et tout les antagonistes apparût dans MK II et III, ainsi que des nouveaux sont présents donc pas « d’oublis » .

Mais on a quand même deux choix scénaristiques un peu douteux :

Pendant une bonne moitié du jeu, nos héros sont « indisponibles » , pour des raisons scénaristiques très valable mais c’est très dommage d’en être privé pendant si longtemps.
Ainsi que les fins (quasi identiques dans leur déroulement en plus) qui sont assez ouvertes. Pas de réel "adieu" à l'univers et aux personnages, juste de très brèves discussions. Il y a clairement un lien vers un éventuel OGs3 ou une nouvelle saga, mais c'est dommage de ne pas avoir eu plus de nouvelles des personnages après leur nombreux combat pour sauver Ra Geas.

Et je regrette aussi le manque d'illustrations dans les phases de dialogues, il y en a presque deux fois moins que dans les précédentes opus, et représente uniquement les robots et donc peu de scènes marquantes.

Le gameplay, identique à celui de MK II et III, si ce n’est un meilleur équilibrage de la difficulté (gros défauts de ces opus). En clair MK F est plus difficile que MK II et bien plus facile que MK III. Les unités (alliées comme ennemis) sont plus résistantes. Les boss ont bien plus de PVs, et nos attaques ultimes moins coûteuses. Le jeu est donc, à mon goût, bien plus agréable à jouer que les précédents SRT. Un peu facile quand on connaît bien la saga mais rien de dramatique.

Concernant la réalisation, c’est un cran au dessus de MK III, mais toujours moins fluides que les opus « classique » en SD/2D comme OGs2 ou Z III-1.

L’OST est toujours très réussites, avec des thèmes toujours très beaux et très variés.
Et le doublage, comme toujours pour la saga, parfait.

Malgré ces quelques imperfections dans le scénario, j’ai beaucoup apprécié ce jeu. Pour le moment c’est mon coup de cœur de 2014. Et ça fait plaisir à voir dans cette période bien triste pour les J-RPG sur console de salon.


Tales of Xillia 2 play3
Bahamut-Omega

le 23/09/2014
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Finis Tales of Xillia 2 en 51 heures avec la fin normale, et la vraie fin.

Assez déçus par ce Tales of, qui devait, soit disant, être meilleur que le premier en tout point.

L'histoire est en effet un peu plus original que celle des autres Tales of, mais reste très prévisible et possède encore une mise en scène catastrophique.

Le système de combat est quasiment le même que celui du premier opus (qui est, pour moi, le meilleur de la saga), en un peu moins bien car on ne peut plus enchainer des chaines d'artes liées aussi facilement. Mais les trois nouveaux persos sont agréables à jouer.

Le système d'évolution des personnages est plus classique, plus automatique mais à mon goût ce n'est pas plus mal, au moins ce n'est pas le pseudo sphérier du premier qui n'avait aucun intérêt en termes de stratégie et nous faisait perdre beaucoup de temps dans les menus.

Voilà pour les bons points en ce qui concerne, maintenant le reste…

Quelques idées originales mais très bancales, comme la dette qui est juste là pour nous limiter les zones, comme si l’histoire très scénarisé des J-RPG ne suffisait pas. Au final il faut juste faire des quêtes annexes (qui ne le sont plus vraiment du coup) très peu diversifiées (chasse, cueillette et livraison…) pour gagner de l’argent et lever des restrictions.

Le héros est muet, on est sensé s’identifier plus facilement à lui. Mais à chaque dialogues il est sollicité, et on a le choix entre deux réponses qui, quand elles ne sont pas humoristiques, vont du tout au tout: une très blessante, mesquine, agressive; et l’autre très gentille, naïve, compatissante. Bref ce n’est pas forcément ce que le joueur aurait à répondre.
Mais le pire c’est que la vrai raison pour que le héros soit muet est dans le scénario, et on peut la deviné très rapidement.

Sinon on a toujours droit à une réalisation dépassée. Il y a bien eu un léger mieux sur les environnements urbains mais c’est à peine visible. Pour le reste c’est vide et moche.

Pareil pour l’OST, si je n’avais pas apprécié le travail de Sakuraba sur d’autres jeux, j’aurai dit qu’il s’agit d’un des plus mauvais compositeurs de musiques de jeux vidéo. C’est aussi un des plus prolifiques et en manque d’inspiration visiblement… Pour ToX2 (et les Tales of de manière général) on a encore droit à deux ou trois pistes sympathiques accompagnées de pistes digne de musiques d’ascenseur.

Les doublages US sont toujours imposés, pas de dual audio. Pour une saga si japonaise dans l’âme c’est une aberration, surtout après Tales of Chronicle qui avait ouvert la voie au dual audio.

Mais plus triste c’est tout le recyclage présent dans le jeu. Déjà on récupère 90 % des zones du premier opus, ça encore c’est un peu normal c’est une suite directe après tout. Mais c’est tout… Pendant une bonne quarantaine d’heure on revisitera plusieurs fois ces mêmes lieux.

Ayant bouclé le premier à 100% je me suis ennuyé ferme sortit des combats...
Dai-3-Ji Super Robot Taisen Z: Jigoku-Hen play3
Bahamut-Omega

le 10/05/2014
7
Finis ma seconde partie SRT Z III-1 sur Ps3, 105 heures de jeux (59 h + 46 h).

Un peu déçu du jeu, les raisons principales sont:

La qualité des animations très inégales.
Dans l'ensemble ça ressemble à un simple portage HD des SRT Z II (sur PsP). C'est jolie, mais sans plus. Certaines (rares) animations sont sublimes, on est pas loin des séquences dans les animes, comme avec le Zeta Gundam, Nu Gundam, Shin Getter ou encore Chouginga Gurren Lagann. Mais beaucoup ont ratés l'étape du portage HD, certaines sont même honteuses comme celle du Dancougar Nova, sortie tout droit de SRT L sur NDS...
De plus avant chaque animation, sur Ps3 on a un temps de chargement de 4 à 5 secondes...
Dans l'ensemble c'est une immense régression par rapport à SRT OGs2/DP ou même Masou Kishin III, c'est très dommage pour le premier SRT "classique" sur console HD.

Autre défaut majeur, sur 24 séries présentent dans le jeu, seulement une moitié est réellement utilisés, et certaines séries utilisés sont très courtes. Le reste du casting fait de la figuration.
On a aussi beaucoup de mission sans intérêt, 61 missions dans une partie (une centaine au total, trois partie pour les 100%) c'est beaucoup trop long.

L'OST aussi est décevante, les thèmes originaux restent sympa et dans l'esprit de la saga.
Mais les thèmes des séries ont pris un sacré coup de vieux sur Ps3.
Heureusement un mode "Custom BGM" est disponible, nous permettant d'attribuer une musique extérieure comme musique de combat. Ce mode à ces limites, notamment avec les chansons de Basara qui restent muettes... Et surtout le musiques que l'on possède n'ont pas toutes un volume identiques (et bonjour pour les régler avec des freewares).

Sinon l'histoire, bien qu'en deux parties (et liés aux précédents épisodes) est assez intéressante, même si c'est à base de dimension parallèle et prison temporelle pour justifier la présence ou non présence de certaines séries. L'univers du jeu est cohérent.

Le point fort du jeu est son gameplay qui a évolué.
Le système de duo est de retour, mais cette fois ci, les membres d'une équipe ne peuvent plus se séparer pendant la bataille (ce qui évite plein d'abus, comme avoir 50 robots lors d'une mission en fin de jeu).
En contre partie, le duo bénéficie d'une jauge de tension qui une fois remplis lui permet, soit d'utiliser un "Maximum Break" (une double attaque sans limite de porté) , soit divers multiplicateurs de bonus.

Le jeu est sympathique à faire une fois. Deux ou trois fois ça l'est déjà moins...
Vivement le grand final, en espérant qu'il n'y ai moins de missions "bouche trou" et que les animations soient digne d'une Ps3.
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