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Final Fantasy XIII

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Final Fantasy XIII
Born anew
Premier épisode de la saga sur consoles HD avec cinq longues années de développement à son actif, Final Fantasy XIII se veut être l'épisode du changement. Malgré la capacité des Final Fantasy à se renouveler sans cesse, la rupture de certains schémas bien ancrés dans la série instaurés par les épisodes Playstation, voire l'annihilation pure et simple de certains éléments du J-RPG, la présence de Masashi Hamauzu à la bande son ainsi que la "casualisation" à outrance font de Final Fantasy XIII ce qu'il est. Mais derrière ce sommaire en apparence peu aguicheur se cache une aventure humaine qui vaut amplement le coup d'être vécue.

Fate

Cocoon, estrade de l'humanité située dans les cieux, est en proie à d'étranges phénomènes. Le Sanctum, le gouvernement de Cocoon, organiserait des "Purges" consistant en l'exil de personnes qui auraient été en rapport de près ou de loin avec un certain fal'Cie de Pulse. Ce dernier s'avérerait être une entité en provenance du monde inférieur tant redouté et craint de tous et serait synonyme de misère, dévastation et apocalypse : Gran Pulse. Cette phobie de l'inconnu donne par conséquent lieu à cette expatriation abusive vers ces terres jamais explorées, phénomène qui est accepté par l'opinion publique, considérant cela comme un sacrifice nécessaire à la pérennité de Cocoon.
Lightning et Sazh, deux personnes prêtes à lutter contre ce destin funeste pour des personnes qui leur sont chères, se trouvent à bord d'un des trains qui mènent les "condamnés" vers les contrées désolées de Pulse. Mais c'est également le cas de Snow, Vanille ou encore Hope qui se situent tous au même endroit au même moment, à proximité du fal'Cie, l'être présumé maléfique, chacun luttant pour leur idéal ou tentant de survivre. Ce début in media res plutôt confus nous met donc aux commandes de la quasi totalité des protagonistes de l'aventure, au milieu d'un champ de bataille où les habitants de la cité de Bodhum se révoltent contre le sort réservé aux l'Cie déportés. Ainsi sont nommés les humains auxquels le fal'Cie a confié une tâche très floue à accomplir. En conclusion de cet assaut, les différents héros se regrouperont autour du fal'Cie afin de l'affronter mais se verront au final affublés de la marque des l'Cie, synonyme d'une traque incessante et d'une mort certaine.
Une fatalité, un destin inéluctable : la mort. Voilà le sort réservé à nos héros alors en perpétuelle fuite, tentant d'échapper d'une part au Sanctum mais surtout d'autre part, à leur terrible sort. Ne leur reste plus que le choix d'accomplir la tâche que leur a confié le fal'Cie. Mais déjà, des divergences d'opinions apparaissent, pourquoi satisfaire la volonté d'une entité malfaisante ? C'est dans ce cadre paradoxal où les individus sont reliés entre eux par le même futur mais dans lequel chacun tient à rester fidèle à ses objectifs et ses convictions que l'aventure démarre.

Cette ébauche de scénario laisse la place, en premier lieu, à de nombreuses interrogations, résultat de la confusion suscitée par ce départ en trombe de l'histoire. Mais bien vite, une narration de premier choix vient combler ces lacunes au fil de l'avancée. On aura donc notamment droit à de nombreux flashbacks très bien amenés et parfaitement mis en forme qui se chargeront de distiller les informations nécessaires à la compréhension. Mais comment ne pas parler ici du casting tant ces retours en arrière participent habilement à la caractérisation de chacun des protagonistes. Final Fantasy XIII est la preuve même que les actes déterminent la personne. On retrouve ici l'un des meilleurs castings de la saga dans lequel les personnalités évoluent, tirent part de leurs expériences, se remettent en question et agissent en leur âme et conscience. Le tout magnifiquement accompagné d'un doublage convaincant aux petits oignons dans lequel on retrouvera par exemple Troy Baker qui a déjà œuvré sur Darksiders ou bien Tales of Vesperia. Mention spéciale à Sazh, le papa chocobo à qui l'on doit quelques séquences riches en émotion.
Final Fantasy XIII
Final Fantasy XIII
Final Fantasy XIII

Together or not ?

Vous l'aurez compris, dans l'adversité, les chocs et les affinités vont se créer entre nos héros. Et c'est là que le titre tire une partie de sa force. Là où Final Fantasy VIII avait quelque part échoué en ne mettant en avant que les relations qui liaient un couple central, Final Fantasy XIII reprend le flambeau en améliorant la formule et en étendant le phénomène à l'ensemble du groupe. Ainsi, le début du jeu se voit ponctué de séparations ou d'isolements par groupe de deux, ce qui peut donner une connotation assez réductrice au développement des personnages. Mais cette phase, dans laquelle sont traités l'intimité et la découverte d'événements passés, est tellement bien travaillée, qu'elle se révèle être un précurseur absolument indispensable pour la suite qui verra la réunion des héros se produire. De cette façon, de multiples liens relativement profonds se créent, délivrant alors un potentiel humain extrêmement puissant.
On est alors réellement lancé dans l'aventure à proprement parler au bout d'une petite dizaine d'heures après certaines révélations coup de poing, ou coup de cœur pour les plus émotifs. Du reste, le scénario de Final Fantasy XIII réserve tout de même moult surprises et moments forts au sein d'un périple haletant pour le moins plaisant qui se conclut sur une fin assez démente bien qu'assez brouillonne et ce au bout de la cinquantaine d'heures.
Quant au background qui soutient cet univers typé sci-fi futuriste, on pourra se reposer tout le long du jeu sur un glossaire des termes, lieux et autres événements, plutôt riche qui aura vite fait de recadrer les notions incomprises. Il sera d'ailleurs directement mis à jour après chaque nouvel événement, une notification se montrera à chaque nouveauté ajoutée.
Final Fantasy XIII
Final Fantasy XIII
Final Fantasy XIII

El Maestro

Inutile de se le cacher, Final Fantasy XIII regorge de cut-scènes et autres cinématiques aux effets visuels splendides hors du commun (bien que la version Xbox souffre de lacunes techniques par rapport à la Playstation 3). Qualité pour certains, défaut pour d'autres, cet opus, encore plus que les précédents, fait la part belle à l'aspect cinématographique et nous en met plein les mirettes. A la clé, des passages d'anthologie qui ne le seraient pas sans une mise en scène ahurissante de perfection et un accompagnement musical au poil, de telle sorte que lorsque la mélodie démarre, celle-ci arrive à déclencher une sensation, une émotion en nous. Certes il ne s'agit que de l'aspect superficiel, et parfois l'inconsistance de certaines scènes est évidente, mais avec toute cette maestria mise à l'œuvre, nul doute que la forme nous fait aisément oublier le fond pour nous faire prendre notre pied. On remerciera pour cela Masashi Hamauzu qui a su trouver les notes justes pour chaque situation. Cependant, s'il est vrai que les musiques sont en adéquation avec les cut-scènes, il en est tout autre des pistes jouées lors de l'exploration. Bien que de toute évidence celles-ci ne collent absolument pas au contexte dans lequel elles se trouvent, il s'en dégage néanmoins une poésie étrange et inexplicable. Ces musiques d'ambiance ont donc pour la plupart un charme singulier qui opère malgré cette inadaptation au milieu visuel. On est par conséquent parfaitement accompagné sur la longueur par une OST travaillée qui ne lasse jamais, mais qui ne relève pas non plus du domaine du mémorable. Ceux qui recherchent le registre épique dans une composition peuvent d'ores et déjà continuer leur route.
Inutile par ailleurs de dire que les décors sont en accord avec la prouesse visuelle générale du soft, c'est-à-dire magnifiques. On aura le plaisir de défiler dans des environnements tout aussi variés les uns que les autres, d'une jungle sauvage verdoyante à une cité futuriste éblouissante en passant par un Gold-Saucer like. On résumera donc en disant que l'enrobage du soft est une très belle voire magnifique réussite de la part de Square.
Mais malgré tout, en dépit de cet aspect film emprunté au 7e art, Final Fantasy XIII possède assez de substance pour ne pas être un simple "brainwasher sur rail".
Final Fantasy XIII
Final Fantasy XIII
Final Fantasy XIII

Let's break

Le gameplay de cet opus prend la liberté de supprimer certains acquis des anciens Final Fantasy et des RPG en général tels que les points de magie ou l'ATB directe. Ainsi, le but de Final Fantasy XIII est d'évoluer vers un système plus dynamique. Détails...

Première notion à retenir donc, le contrôle d'un seul et unique personnage jouable en combat. Frustrant au premier abord, le joueur se rend vite compte que le système n'aurait pas permis le contrôle, ne serait-ce que d'un second protagoniste. En effet, une jauge d'ATB scindée en plusieurs segments qui se remplit en temps réel sur l'écran définit votre capacité à exécuter des actions. Sachant que vos ennemis possèdent le même système de leur côté, la gestion d'une seule jauge est bien suffisante et parfois assez stressante de cette manière. Afin d'exécuter une action (objet, magie, attaque, coup spécial...), il vous incombera de céder le nombre adéquat de segments de la barre d'ATB. Quoi de plus simple ? D'autant plus qu'une commande automatique qui choisit les compétences à employer selon la situation est mise à disposition. On notera l'IA assez remarquable qui prend souvent les meilleures décisions.

Mais le fait est que, vous n'attaquez pas sans but, celui-ci étant de choquer votre ennemi, non pas en lui montrant une photo de Rotka nu sous la douche mais en faisant grimper une barre de "choc" à son plus haut pourcentage, ce qui vous permettra d'infliger de lourds dégâts par la suite. Et c'est dans ce choc que réside tout l'intérêt des affrontements, qu'il vous faudra boucler le plus vite possible afin d'obtenir les récompenses les plus intéressantes. Cependant, cette barre ne se remplit pas de n'importe quelle manière, c'est là qu'interviennent les stratégies. Chaque personnage peut obtenir jusqu'à six classes de combat différentes (avec plus d'affinité envers deux classes au départ de l'aventure pour chaque héros). Une classe correspond à une façon d'agir en combat et des caractéristiques particulières. Exemple : un défenseur aura une défense renforcée pour pouvoir encaisser les coups et privilégiera la garde tandis qu'un ravageur lancera des sorts de magie en masse et fera drastiquement augmenter la barre de choc. Ainsi, on retrouve les six jobs classiques qui sont ceux de : buffer (tacticien), debuffer (saboteur), soigneur, attaquant, caster (ravageur), et défenseur. Vous pouvez donc enregistrer jusqu'à six stratégies utilisables en combat, composées chacune de trois personnages avec chacun un job. Il faudra par conséquent extrêmement bien savoir comment s'adapter à la situation et réagir de la façon la plus optimale à toutes les éventualités qui se proposeront, les plus gros combats se résumant parfois à une succession incessante de changements de stratégie. Fort heureusement, l'IA alliée est d'assez bonne qualité et ne vous laissera que peu ou prou tomber. Toutefois, ce gameplay peut sembler restreint en apparence avec seulement six tactiques à disposition, le même nombre de spécialités et un système automatique. Il préfère en effet primer le dynamisme et la réflexion avant tout, cette dernière notion étant essentielle au vu des Game Over qui peuvent frapper à n'importe quel moment, bien qu'en moyenne la difficulté soit bien dosée.

Outre des boss plutôt appréciables, on notera la blague des invocations de Final Fantasy XIII, les eidolons. Ces véritables Transformers (même une moto !) se joindront à votre partie une fois que vous les aurez vaincu en duel. Fondamentalement, elles ne divergent pas tant que ça des chimères de Final Fantasy X : une fois invoqués, ces eidolons vous permettront de lancer diverses attaques spéciales dont le coût sera déduit d'un total précis de points. Bien évidemment, chaque eidolon possède son attaque finale qui écrase tous les méchants et il ne tiendra qu'à vous de les découvrir en direct live.

Point de points d'expérience ici, l'ancienne méthode du sphérier de Final Fantasy X est appliquée, limite dupliquée afin de donner le crystarium, un arbre tridimensionnel d'acquisition de caractéristiques et d'aptitudes ou l'on évolue de façon plutôt (voire totalement) linéaire à l'aide des points récoltés en fin de combat. Rien d'extraordinaire en somme, mais toujours efficace. Seul bémol, le crystarium sera bridé en fonction de votre avancée dans le jeu et ne sera entièrement débloqué qu'une fois le new game + entamé.

Alors oui, on le voit clairement, ne serait-ce qu'à travers l'automatisation des attaques sélectionnées et le crystarium, le gameplay de Final Fantasy XIII est designé pour du casual, mais l'expérience reste néanmoins assez jouissive pour satisfaire un bon nombre de joueurs.
Final Fantasy XIII
Final Fantasy XIII
Final Fantasy XIII

Where is Final Fantasy ?

Question indécente s'il en est, je le concède. Mais pour parler plus franchement, le treizième épisode représente-t-il à ce point une rupture dans la série ? Où est-ce un prolongement logique par exemple de Final Fantasy X avec qui il présente quelques similitudes, en partie l'univers, l'ambiance, l'OST ou encore la linéarité ?
Parlons en justement plutôt de cette linéarité, celle qui déplait tant et enlève le charme du J-RPG. Il est certes dommage d'avoir perdu toute interaction, les villages et PNJ ou ne serait-ce qu'un level-design travaillé. Mais tout cela se fait au profit du rythme de l'aventure menée tambour battant et de l'enchainement des événements qui ponctuent l'histoire. L'impression de vivre ce voyage se fait alors ressentir et l'immersion n'en est que plus renforcée, là où elle aurait pu l'être d'une autre manière par les éléments pré-cités. Final Fantasy XIII est par conséquent un jeu très dirigiste, hormis le passage situé aux alentours de la trentaine d'heures où les premières quêtes annexes se font voir, mais elles se résument malheureusement pour la grande majorité à du bash pur et simple de mob.
Pour conclure, je dirais que le craft n'est pas très clairement expliqué dans les tutoriaux, et donc s'avère plutôt aléatoire à première vue, mais une fois les trucs et astuces bien assimilés, la personnalisation n'aura plus de secret pour vous.

NB : La critique faite ici est totalement indépendante de l'avis présent sur la fiche Playstation 3 du titre. Le but de cette démarche étant seulement le désir d'exprimer un point de vue différent sur un jeu qui a divisé l'opinion.
Final Fantasy XIII
Final Fantasy XIII
Final Fantasy XIII
Au final, plus qu'un simple RPG pour découvrir le genre, Final Fantasy XIII arrive tout de même à procurer une certaine jouissance à travers son système de combat bourrin à souhait, bien que partiellement bridé, une fois le cap du middle game atteint. Mais c'est avant tout et surtout des scènes qui marquent, une bonne expérience humaine, des mélodies enchanteresses et LA claque graphique de l'année. On regrettera toutefois l'écueil des eidolons et des quêtes annexes inintéressantes. Comme quoi, la linéarité n'est pas toujours un tort.

26/09/2010
  • Mise en scène de pure folie
  • Casting hétéroclite
  • L'aspect relationnel
  • Juste beau
  • Les pistes planantes d'Hamauzu
  • Les eidolons
  • Les quêtes qui comportent peu d'intérêt
9

TECHNIQUE 4.5/5
BANDE SON 4/5
SCENARIO 4/5
DUREE DE VIE 4.5/5
GAMEPLAY 4.5/5
Final Fantasy XIII > Commentaires :

Final Fantasy XIII

7.5
6.5

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102 commentaires
Zanxthiloide

le 07/11/2025
5 pc
11 ans après avoir fait une première fois Final Fantasy XIII, je me décide sur un coup de tête de me relancer dans l'aventure cette fois-ci sur PC. Après avoir installé quelques "patchs" non officiels de corrections et de qualité de vie, je relance l'aventure en me convainquant que cette fois, j'irai jusqu'à tuer l'ultime super boss.

La direction artistique est originale mais pas à mon goût, toutefois la qualité graphique du titre est impressionnante pour un jeu de 2013. La bande son de Masashi Hamauzu reste marquante.

Les premières heures de jeu -que je redoutai- sont toujours aussi ennuyeuses : les couloirs et combats sans réel action du joueur s'enchaîne. Une fois cette introduction passée le joueur est enfin laissé aux commandes. Après quelques heures supplémentaires, je reconfirme les critiques que le jeu avait reçu à l'époque : le jeu n'offre quasiment aucune liberté au joueur sur ses 15 premières heures de jeu, que ce soit en combat ou dans la préparation de ceux-ci.
Une fois cette liberté acquise, le jeu casse les dents du joueur car il ne lui a pas appris comment jouer efficacement. Le système de combat est donc gâché.

Ayant joué à l'ensemble des jeux du mythos FFXIII, je connais les enjeux des péripéties subis par notre groupe de héros, et la fatalité du destin qui les attends. Tout le sel du scénario devrait être dans cette fuite en avant tragique, mais je me rends compte -comme à l'époque de ma première partie- que les dialogues et les scènes n'arrivent pas à faire ressentir le pathos de nos héros.

Une fois l'histoire et le gameplay d'un RPG démontés, il ne reste plus grand chose pour me retenir. J'arrive quand même à tenir jusqu'à la fin du jeu et son deus ex machina inexpliqué (il faut attendre XIII-2 et un ret-con bizarre pour comprendre) dans l'espoir de m'amuser sur le post game après un grind optimisé intense à coup de vidéos youtube sur un second écran.
Après 2h à chasser des proies sur Pulse je lâche l'affaire, et je me dis que j'ai été bien trop indulgent envers ce titre dans le passé.

Schwarztraum

le 31/01/2024
8 play3
Square Enix s'est lancé dans une entreprise périlleuse avec FFXIII.

Le parti pris ici est de proposer une aventure dynamique, stressante et menée par des joutes endiablées. En effet, le système de combat est ici à son meilleur: un système ATB qui met en avant la réactivité du joueur et la stratégie en amont, en automatisant les actions les plus basiques. Il faut un peu de temps pour s'y habituer mais j'ai adoré comme le tout s'enchaînait rapidement tout en requérant de la stratégie pour aller au bout des boss les plus difficiles.

Le lore et le scénario sont bien développés et les personnages sont intéressants, avec une bonne dynamique de groupe. C'est notamment une grosse amélioration à ce niveau-là par rapport au XII. Le jeu est magnifique et servi par une bande-son mémorable. Alors qu'est-ce qui pose problème ici?

Eh bien, le problème c'est tout ce qui est périphérique! L'exploration est ici réduite à son expression minimale, et bien que la deuxième partie offre des zones de grande ampleur beaucoup plus intéressantes, il manque toujours le côté "villes à explorer".
Les quêtes annexes sont peu inspirées et se résument presque toutes à faire des combats, encore des combats.
Le cristarium ne permet que peu de liberté contrairement au sphérier du X et finalement la seule personnalisation de "build" possible est l'ensemble "armes-accessoires".

Il manque donc quelques éléments importants pour faire de ce jeu un chef d'oeuvre...mais malgré tout j'ai beaucoup aimé.
kaf3

le 12/11/2023
4_5 xb360
Le Final Fantasy le plus oubliable auquel j'ai joué !!!
Riskbreaker

le 22/04/2022
3 pc
Second run du titre pour moi, 12 ans après l'avoir terminé sur PS3, on réitère l'expérience sur PC. Et… c'est le choc.
L'avis - relativement correct - que j'avais à l'époque s'est ici totalement écroulé. J'ai peiné à avancé tant la consternation est quasi omniprésente. Le casting est minable, caricatural, en raison de dialogues d'une pauvreté et d'une nullité affligeante. On avance, bien obligé, en enchaînant mini scène sur mini scène, en assistant à des réactions et des choix de nos héros aberrants voire insensés. Il est impossible pour moi d'y voir une histoire bien tenue et logique. Toutes nos actions n'ont aucun sens, les personnages ne font que se jeter dans la gueule du loup tout en sortant des punchlines à base de "on est les héros" risibles. Snow en tête, bien évidemment. Narrativement, c'est mauvais, très mauvais.
Le système de combat a une base correcte mais est trop vite frustrant sur certains points. Le leader mort = game over est aberrant, le switch de jobs est trop lent, la difficulté en dents de scie crispante et tous les personnages ne se valent pas. Visuellement, et c'est son unique point fort, il tient la route et même une décennie après sa sortie, il reste un très beau jeu, c'est impressionnant.
Mais bon, 35 h de calvaire. Un couloir interminable, du facepalm permanent, un casting totalement raté, une bande sonore en total décalage avec le jeu, et une fin facepalm… C'est la dégringolade.
Kliee

le 06/08/2021
6 xb360
Un bon jeu mais un mauvais RPG/mauvais FF. C'est comme cela que je résumerais FFXIII, que j'ai tout de même fini et apprécié dans une certaine mesure.
Ce qui ne va pas, tout le monde l'a déjà dit.
Linéarité, il n'y a pour ainsi dire pas de world map. Grand Pulse ne compte pas vu qu'elle ne connecte pas entre eux les villes, villages et donjons du jeu dans lesquels on ne peut retourner. Non qu'il y ait un quelconque intérêt à ça, il n'y a rien à y faire.
Aucune interaction intéressante avec le monde, les magasins eux-même sont dématérialisés et localisés dans les terminaux de sauvegarde.
Certains personnages sont irritants (Hope en particulier), surtout au début.
Les quêtes annexes sont sans saveur, on se rend juste sur Grand Pulse où des stèles nous demandent d'aller tuer tel monstre. Il y a un petit texte justifiant chaque mission en guise "d'histoire".
Les combats se résument à smasher la touche A 90% du temps. Un poil plus de finesse est requis pour les boss et certains mob. Il s'agit plus de réactivité que de stratégie.

Qu'est-ce qui va dans FFXIII ?

La réalisation. La vidéo d'introduction donne vraiment envie et les passages narratifs sont souvent bons une fois que Hope accepte ce qu'il lui arrive.
Le scénario est prenant, suffisamment pour que l'on veuille continuer à aller de l'avant.
Le jeu a une identité visuelle et sonore marquée avec une bande son correcte et surtout collant bien à l'ambiance.
Pour cette génération de console, les graphismes sont magnifiques et la modélisation des personnages impressionnante.
Certains combats peuvent être malgré tout prenants.
Jonathan Ingram

le 16/12/2019
8 play3

Fini Final Fantasy XIII (PS3) en 52h.

Pour fêter les 10 ans de la sortie de Final Fantasy XIII j'ai enfin décidé de m'attaquer à ce titre polémique et clivant qui a fait couler beaucoup d'encres.

Avant de rentrer dans le vif du sujet, je souhaite mettre en avant le fait que j'ai vraiment apprécié mon expérience et passé du bon temps sur ce Final Fantasy, je m'attendais "au pire" et j'ai été agréablement surpris, je n'ai pas vu passé la cinquantaine d'heures de jeu, la magie qui entoure la série Final Fantasy est présente dans ce FF XIII et on a clairement l'impression de faire partie d'une grande aventure, un point essentiel me concernant. Certes le jeu est bourré de défauts (on va y revenir) mais l'ensemble fonctionne très bien, on ressent d'ailleurs le manque de finition du titre, si Square avait pu fignoler son bébé en profondeur l'expérience de jeu en aurait été bonifié, dommage. Malgré ses défauts j'ai trouvé FF XIII vraiment fun, le scénario n'est pas le meilleur de la série mais je me suis laissé emporter par la trame proposé, le système de combat est excellent, l'OST grandiose, la technique est bluffante, même après 10 ans ça arrache la rétine, je me suis surpris à contempler les panoramas de toutes les zones du jeu, assez incroyable, bref il y a vraiment du bon (très bon?) dans ce Final Fantasy ... Et du moins bon, sans surprise.

Pour ordre d'idée, j'ai effectué 40 quêtes annexes, je n'ai donc pas compléter l'intégralité des side quests, je pense les compléter d'ici la fin de l'année.

Cela étant dit passons donc en détail les points forts et faibles de Final Fantasy XIII.

  • Commençons par la technique, comme évoqué dans mon paragraphe liminaire le jeu est beau, très beau, les environnements notamment de la première partie du jeu sont à coupler le souffle, les panoramas sont magnifiques et variés, on ne reste pas plus de deux heures dans les mêmes zones, du bon boulot. Dès que j'arrivais dans un nouvel environnement, je me posais et bougeait la caméra de partout, incroyable, et plus on avance dans le jeu plus c'est beau, mention spécial pour le ciel (oui oui) du Chapitre 4, j'avais jamais vu un ciel réalisé comme ça. Bref vous avez compris, d'un point de vue technique Square a fait fort, et je vous confirme que 10 ans après sa sortie l'effet carte postal est toujours présent, un tour de force. En ce qui concerne les combats, techniquement c'est impressionnant, ça ne rame jamais, pas un freeze, le jeu tourne comme une horloge, l'animation est très bien décomposée, ça pète de partout et pourtant le jeu n'est pas pris en défaut une seule fois, du bon boulot la également.
  • En ce qui concerne le scénario, une fois l'indigestion des 5 premières heures de jeu et les termes faussement technique assimilé on se laisse porter par le destin tragique de notre équipe en fuite. Ce n'est clairement pas à mon sens le point fort du jeu mais le tout fonctionne, et cela malgré un casting en demi teinte. La trame scénaristique est bien rythmée, l'ensemble bien ficelé, on sent l'effort de Square pour nous proposer une aventure épique avec un scénario robuste, sans non plus être transcendant. Mais je lisais beaucoup de choses négatives concernant le scénario et me concernant j'ai apprécié, l'ensemble est cohérent et travaillé. A noter que des notes explicatives sont présentes dans le menu du jeu, plutôt une bonne idée, ce n'est ni trop long ni trop court et cela permet de se remettre la trame en tête et de s'assurer d'avoir bien cerné le scénario. De plus, la direction artistique (métallique futuriste) est bien implémentée dans la trame scénaristique, on ressent vraiment la cohérence de l'univers, certains n'ont d'ailleurs pas apprécié la DA, personnellement ça m'a plu, petit bémol tout de même concernant le bestiaire et les eidolons mais on y reviendra.
  • Passons au système de combat, un des gros points fort de ce Final Fantasy XIII. A première vue le système parait "classique" et sans réel intérêt, on martèle la touche Auto Combo sans réfléchir, du moins lors des 5/10 premières heures, une fois ce cap dépassé les possibilités in-game sont décuplées et le tout se révèle très stratégique, notamment contre certains mobs et Boss. Les combats de Boss sont d'ailleurs tous très intéressants et tactiques, il faudra mettre une stratégie en place sinon ça ne passera pas. La synergie entre vos équipiers sera donc nécessaire et jongler aux bons moments entre les classes et bien timer nos attaques sera la clé de la réussite. Ce système de combat est sublimé par l'apparition de la jauge de choc, une excellente nouveauté, chaque ennemi dispose de sa propre jauge de choc qu'il faudra atteindre le plus rapidement possible pour infliger de gros dégâts ainsi que des afflictions, on a d'ailleurs le retour au premier plan des afflictions dans ce FF, le rôle Saboteur est excellent et dévastateur, appliquer certaines afflictions sera d'ailleurs plus aisé une fois l'ennemi en choc. Vous l'avez compris, les combats sont vraiment tactiques, il faudra réfléchir sur la meilleure stratégie à mettre en place faute de se prendre un bon gros game over, le jeu proposant une difficulté parfaitement dosée, le challenge est présent. Du reste, le game over n'est pas une sanction à proprement parlé, on a la possibilité de recommencer le combat sans perdre son avancée, un défaut en temps normal mais ce système est parfait pour ce que propose FF XIII.
  • Le système de progression des personnages est caractérisé par le fameux "crystarium", un sphérier à première vue ressemblant à celui de Final Fantasy X mais qui malheureusement ne propose pas une profondeur digne de ce nom et la possibilité de faire des choix concernant l'évolution de ses personnages. On se retrouve donc à débloquer les cristaux au fûr et à mesure des points de compétences engrangé à la fin de chaque combat sans aucun choix ou presque sur l'architecture que l'on souhaite donner à son personnage. Un système so so comme dirait les anglais même si tous les sphériers sont différents entre eux ce qui finalement fait le job, on aurait tout de même apprécié avoir la possibilité de customizer son équipe. La customization à proprement parlé est tout de même possible car tous vos personnages pourront apprendre toutes les classes, votre attaquante pourra par exemple être aussi votre soigneur, mais a un degré moindre qu'un véritable soigneur. Une certaine profondeur ressort donc de ce système de progression mais le tout aurait pu être beaucoup plus sexy !
  • Concernant les armes et les objets Final Fantasy XIII a misé sur un système de progression d’évolution des équipements via l'onglet "modification". A la fin de chaque combat, en plus des PC vous pouvez recevoir des butins, certains propre à chaque monstre et plus ou moins rares qui vous permettront de faire évoluer les armes et objets. Un système faussement complexe, carré, mais qui ne m'a pas plus transporté que cela, j'aurai préféré finalement avoir un système classique d'armes et objets à acheter ou looter avec de meilleures statistiques. On peut d'ailleurs très bien finir le jeu avec des équipements de base non évolué, ce qui à mon sens souligne l'implémentation bancale de ce système. Peut mieux faire.
  • Parlons désormais du point polémique du titre : l'architecture des zones couloir. Est-ce que cela m'a gêné que le jeu soit linéaire, qu'il n'y ai pas de PNJ et de villages ? Pas plus que cela, alors oui c'est étrange pour un RPG, encore plus pour un Final Fantasy mais j'étais au courant, je savais comment ça allait se passer, je savais à quoi m'attendre. Finalement je peux presque dire que j'ai été agréablement surpris, le jeu étant rythmé et les zones en elle même plutôt intéressante ça ne m'a donc pas plus gêné que cela que le jeu soit linéaire et couloiresque. Il faut dire que l'aspect graphique joue pour beaucoup également. Certaines zones sont moins bonnes que d'autres comme le Nautillus, grosse déception, on sent d'ailleurs la encore le manque de temps voir d'investissements pour sublimer cette zone. La grosse bouffée d'air frais se ressent une fois que l'on atteint Gran Pulse, la seule et unique zone ouverte du jeu, c'est le grand écart ! Et finalement le fait que le jeu soit en couloir sublime encore plus Gran Pulse, le sentiment de liberté en est décuplé. Gran Pulse qui sans surprise est un autre gros point fort de ce FF XIII et qui tombe à pic, bouffé d'oxygène nécessaire à ce stade du jeu. On regrettera tout de même le schéma des quêtes annexes (activation de stèles), la encore on ressent le manque de temps des dev. Malgré quelques défauts cette plaine est vraiment une aparté excellente et j'ai apprécié parcourir cette zone, en totale dissonance avec l'univers métallique du titre. C'est d'ailleurs marrant de jouer à FF XIII après FF XV, on ressent beaucoup de similarités entre les deux titres, j'ai cru parfois joué à FF XV en parcourant Gran Pulse.
  • Comme évoqué plus haut j'ai été déçu par le bestiaire, peu varié, heureusement le système de scan permet de relever le niveau rendant les combats dynamiques et différents malgré un manque de variété des ennemis. Certains mobs emblématique des Final Fantasy apparaissent seulement sur Gran Pulse, c'est dommage la également. Les Eidolons quant à eux sont vraiment mauvais, servant presque à rien finalement avec un design douteux, surprenant ...
  • Petite déception au niveau du casting, à la fois de notre équipe mais également des vilains. Il n'y a finalement que Lightning, voir Sazh qui m'ont réellement plu, le reste c'est très moyen. Même topo concernant les vilains (Cid WTF?!), entre Benoit XVI et les militaires à la ramasse je n'ai pas été convaincu par ce cast. Mais quelque part il est normal qu'il n'y ai pas de méchants charismatiques dans ce Final Fantasy car jusqu'au début du chapitre neuf il existe déjà de nombreuses dualités entre les personnages principaux, Vanille et Sazh, Lightning et Fang, Hope et Snow. Nous avons aussi la dualité entre les fal'Cie de Cocoon et de Pulse, le Sanctum et les l'Cie, plus loin nous avons Barthandelus et la Cavalerie. Y avoir inséré des méchants supplémentaires auraient alourdit de beaucoup le scénario et aurait nuit à sa narration. Les l'Cie et Orphan à la toute fin, s'opposant dans un combat désespéré, qui déjà est en lui même une dualité, pour réussir leur tâche et détruire leur propre monde donne une fin qui nous tient en haleine jusqu'à la dernière minute. Déception donc mais l'architecture du scénario pour les vilains est plutôt cohérente.
  • Pour finir je souhaite mettre l'accent sur l'OST, tout bonnement exceptionnelle. Alors oui nous sommes habitué dans les Final Fantasy mais la encore c'est du travail de qualité, je vais me procurer l'original soundtrack d'ici peu (comme celle de FF X). Enormement de thèmes marquants, le thème revisité des Chocobo est top (malgré ce que j'ai entendu par ci par la), l'OST colle parfaitement à l'ambiance pesante et mélancolique du titre. Clairement une de mes OST préféré des FF.

Voila pour ma petite review, un très bon jeu saupoudré de quelques petits défauts qui auraient pu être comblé faute de temps (et d'argent?). J'en garderai un excellent souvenir et j'ai désormais envie de me faire la trilogie. Excellente surprise !

8/10


Golden Leaf

le 26/08/2019
8 xb360
J'apprécie de plus en plus cet épisode, auquel je reproche toujours un peu sa niaiserie : le doublage des dialogues n'a clairement pas tiré ceux-ci vers le haut. Cependant, il faut reconnaître une esthétique de haute-volée (et cela inclut une excellente bande-son), des combats superbes et un scénario qui tient la route.

Au final, en y revenant, on s'aperçoit qu'il a de nombreuses qualités !
adventureboy

le 22/05/2019
4 play3
+ C'est vraiment super beau.
+ Les combat sont dynamiques.

- Les personnages complètement inintéressants.
- Un scénario incompréhensible.
- Dialogues lourdingues, vocabulaire confus (Fal'cie, L'Cie etc...).
- Le design de certains persos sont du plus mauvais gout.
- Une linéarité ahurissante. C'est simple, on est plus proche du Beat'em up que du RPG (avancer en ligne droite, battre les ennemis, repeat...).
- Un FF sans ville, sans magasin, sans NPC, sans exploration... On a zéro liberté de mouvement. C'est assez tragique.
- On doit crafter nos armes.
- Invocations digne de Transformers.
MadMax

le 18/08/2016
7 play3
Malgré le fait que le jeu est une ligne droite j'ai apprécier ce FF, pas un des meilleurs mais il a su compenser grâce au reste et tout n'est pas a jeter.

Déjà, des graphisme magnifique même en y retournant de nos jours le jeu est pas dégueu, le scenario j'avoue que j'avait pas tout compris la première fois mais au final j'aime beaucoup l'histoire, et le jeu s'en tire bien pour quelques personnages même si ils ne plaisent pas a tout le monde on eu le mérite de m'émouvoir ( Sazh ), d'autre comme Lightning ou Snow on vraiment un chara design accrocheur malheureusement ils ne sont pas attachant. Sinon je regrette l'absence d'un vrai antagoniste car pour moi Barthandelus j'ai l'impression qu'il s'est perdu sans parler de
Cid Raines
que tu vois a peine et débarque en antagoniste nul qui dure le temps d'un combat.

Le seul endroit ou on est libre est Gran Pulse mais je crois que je préférais quand c'était un couloir, parce que c'est une purge cet endroit, d'ailleurs je trouve que c'est le FF le plus dur pour ma part, j'ai toujours été faiblard même en m'entrainant 30h sur Pulse et surtout par le fait que si leader meurt Game Over ( alors que sur FF 12 osef ).

Au final je trouve pas que c'est le pire mais beaucoup de chose ennuyante et on a du mal a revenir dessus pour autre chose que les graphismes et le fait que c'est un FF.
MadMax

le 18/08/2016
7 xb360
Malgré le fait que le jeu est une ligne droite j'ai apprécier ce FF, pas un des meilleurs mais il a su compenser grâce au reste et tout n'est pas a jeter.

Déjà, des graphisme magnifique même en y retournant de nos jours le jeu est pas dégueu, le scenario j'avoue que j'avait pas tout compris la première fois mais au final j'aime beaucoup l'histoire, et le jeu s'en tire bien pour quelques personnages même si ils ne plaisent pas a tout le monde on eu le mérite de m'émouvoir ( Sazh ), d'autre comme Lightning ou Snow on vraiment un chara design accrocheur malheureusement ils ne sont pas attachant. Sinon je regrette l'absence d'un vrai antagoniste car pour moi Barthandelus j'ai l'impression qu'il s'est perdu sans parler de
Cid Raines
que tu vois a peine et débarque en antagoniste nul qui dure le temps d'un combat.

Le seul endroit ou on est libre est Gran Pulse mais je crois que je préférais quand c'était un couloir, parce que c'est une purge cet endroit, d'ailleurs je trouve que c'est le FF le plus dur pour ma part, j'ai toujours été faiblard même en m'entrainant 30h sur Pulse et surtout par le fait que si leader meurt Game Over ( alors que sur FF 12 osef ).

Au final je trouve pas que c'est le pire mais beaucoup de chose ennuyante et on a du mal a revenir dessus pour autre chose que les graphismes et le fait que c'est un FF.
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