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105 commentaires
Ar Nosurge Plus: Ode to an Unborn Star psv
Zanxthiloide

le 02/08/2015
6_5 psv
Un bon petit jeu mais qui manque cruellement de budget : on combat toujours les mêmes ennemis mais avec plus de hp, les zones sont minuscules et quelques bugs viennent gâcher la progression (mention spécial pour le boss dont les stats ont été swappé avec un autre...).

Le jeu fait office de "suite spirituelle" de la trilogie Ar Tonelico et on retrouve donc un univers vraiment très riche et original.

Le gameplay est encore une fois découpé en 3 sections : le craft et ses scénettes plus ou moins comiques, les dives faisant office de visual novel (bien mieux réussis que pour Ar 1 et 2 à mon avis) et les combats plus ou moins corsés.

Le jeu fait office de suite direct au jeu Ciel Nosurge : il n'est pas nécessaire d'y avoir joué pour apprécier le scénario mais on y perd clairement de l'intérêt. Ainsi, je recommande de lire un résumé en parallèle de votre partie, de manière à découvrir le background en même temps que l'un des protagonistes.
Dragon Age: Origins - Awakening pc
Zanxthiloide

le 19/12/2020
6_5 pc
Cette extension de Dragon Age : Origins a pour mérite de proposer un tout nouveau scénario et surtout plein de nouvelles classes et compétences.

Malheureusement comme pour Dragon Age : Origins le jeu contient encore bien trop de bugs majeurs non résolus officiellement.

La difficulté a fait un énorme pic vers le bas. Désormais vous pouvez foncer dans le tas avec votre seul personnage principal et décimer tout un groupe sans utiliser une potion de soin en difficulté maximale (sur ce point c'est peut-être dû aussi à mon choix de classe...).
Final Fantasy XV play4
Zanxthiloide

le 18/12/2016
6_5 play4
Final Fantasy XV est un bon jeu. Pas révolutionnaire, ni culte, il s'agit d'un bon jeu qui divertira les aficionados des JRPG pendant une quarantaine d'heure.

Néanmoins,il s'agit d'un jeu incomplet et non fini : l'open world est vide, l'univers et les personnages sont très très mal développés et le gameplay manque cruellement d’ergonomie et de diversité.
La marque la plus flagrante de ce manque de finition est le scénario : le jeu a un début (qui est en faite le milieu, le vrai début se situe dans le film kingsglaive ), un milieu et une fin, mais chacune de ces étapes est réduite au stricte minimum. De fait, seuls Noctis (le héros) et l'antagoniste principal sont développés par manque de temps, ce qui est extrêmement dommageable au scénario qui avait un fort potentiel.

Un fort potentiel qui peut encore être partiellement réparé avec le patch de scénario et (malheureusement) les DLC.

A noter la VF qui est non seulement présente mais aussi d'excellente qualité.
Fire Emblem Echoes: Shadows of Valentia 3ds
Zanxthiloide

le 30/05/2017
6_5 3ds
Fire Emblem : Shadows of Valentia est un jeu agréable.
Cependant, son gameplay est empoisonné par son statut de remake avec un système de classe réduit, l'abandon des subtilités du gameplay introduit par les épisodes suivants, et surtout 100% des cartes au level design hideux et se permettant de réapparaitre plusieurs fois au cours de l'aventure.
Du côté du gameplay, il s'agit donc clairement d'une régression complète par rapport à Conquête.

Finalement, ce Fire Emblem ressemble plus à un sous Shining Force qu'à un véritable Fire Emblem.
Grandia II play2
Zanxthiloide

le 09/07/2014
6_5 play2
Grandia 2, un rpg que j'avais depuis longtemps dans ma ludothèque mais que je n'ai bizarrement jamais vraiment commencé.

Alors que Grandia premier du nom cumul les clichés tous en arrivant à garder en haleine par son côté épique, ses personnages attachants et ses superbes musiques, ce second opus ne parvient pas à convaincre. Le scénario est déjà vu et certains personnages manquent totalement de temps de parole (le fidèle pigeon du héros, présent depuis le début du jeu ne sert à rien dans l'histoire par exemple). Une petite pensée pour le second protagoniste féminin - Millenia- qui est très intéressant mais qui passe presque à la trappe au profit de sa comparse avec 2 de QI.

Le système de combat est toujours aussi bon avec cette fois-ci un système de magie beaucoup plus facile à utiliser et des skills passifs à équiper aux personnages. On peut facilement personnaliser ses héros pour les transformer en tank/magicien selon ses envies. Dommage que le jeu se révèle si facile : la plupart des combats se bouclent en un seul sort de zone et les boss se résument à claquer tous ses gros skills et sorts à la suite jusqu'à ce qu'ils meurent sans qu'ils ne puissent rien faire. Un vrai gachi.

Côté musique c'est passable, mais beaucoup moins bien que Grandia 1.

La durée de vie est d'une trentaine d'heure pour retourner le jeu à 100% (26 heures à mon compteur).

Bref un petit rpg sympathique pour s'occuper entre deux grosses sorties.
Look Outside pc
Zanxthiloide

le 23/11/2025
6_5 pc
Look Outside est un petit RPG survival horror qui marque surtout pour son ambiance et son histoire inspirée de l'univers de Lovecraft.
Le jeu délaisse rapidement le côté survival une fois qu'on a un peu exploré et qu'on se rend compte que les ressources sont disponibles à profusion. C'est à ce moment que le gameplay dessert l'expérience narrative.

Pour peu qu'on cherche une bonne histoire d'horreur cosmique le jeu vaut le coup d'être fait d'autant plus qu'une partie est relativement courte.
Lost Dimension psv
Zanxthiloide

le 02/10/2015
6_5 psv
Une sorte de mélange entre Danganronpa (10%) et Valkyria Chronicles (90%).

Le jeu avait du potentiel mais le manque de moyen se fait cruellement ressentir.

A noter que la version à laquelle j'ai joué (vita physique) comporte quelques bugs bien lourds (jeu qui plante souvent si on est pas en mode avion) et des temps de chargements inopportuns (2 secondes entre chaque skill...).
Metaphor: ReFantazio pc
Zanxthiloide

le 20/10/2024
6_5 pc
La team Personna s'essaie à un jeu dans un univers Medieval Fantastique. Avec toute leur expérience sur la série Persona qui enchaînent carton sur carton, et l'excellent scénario ajouté dans Persona 5 Royal, ça devrait bien se passer ?

Premier bémol subjectif, le character design : contrairement aux Persona et SMT qui se déroulent au Japon et qui plus est dans un milieu scolaire aux uniformes très codifié, les artistes sont libres de faire ce qu'ils veulent. Le résultat est un mix année 80-90 et médiéval très peu convainquant que ce soit les personnages principaux, les npcs ou les antagonistes.

Second problème auquel je ne m'attendais pas du tout: la bande son. Comme pour ses ainés Persona 3,4 et 5 la bande son contient beaucoup de chansons cette fois-ci en Esperanto. Cependant passé la découverte de cette nouvelle langue et les sonorités exotiques de ses chanteurs, la bande son est très plate. Mention spéciale à la reprise d'un des thèmes les plus mémorables d'Etrian Odyssey remixé extrêmement plat.
Allez écouter EO:TMG The Fallen Capital of Shinjuku pour la comparaison, il n'y a pas photo.


Troisième bourde : l'univers, l'histoire et ses personnages. Les équipes qui ne peuvent plus se baser sur le Japon moderne, son histoire et ses us et coutumes donnent un résultat totalement original mais insipide. Difficile de croire dans l'existence de cette fantaisie tant le background est creux. Un exemple simple et central aux thème du jeu : le racisme entre les différentes tribus qui composent le pays dans lequel le jeu évolue. De façon extrême réductrice, le racisme bien que jamais rationel est basé sur une méconaissance de la culture de la vicitime ou sur une différence physique. Ici le jeu se contente de nous dire que tel et tel population fait l'objet de racisme sans jamais montrer d'où vient ce racisme. Enfin les personnages principaux sont aussi plats, la faute à une histoire qui prends trop de place (pour ne pas dire grand chose) et qui ne laisse aucun moment de gloire à ses personnages secondaires, par exemple via des évènements lié à l'univers (la rentrée, golden weeks, les congés etc. du japon n'ont pas d'équivalent dans l'univers du jeu, qui suit sont histoire sans jamais s'arrêter). Je pourrais continuer longtemps mais en résumé, la team Persona a vraiment fait le strict minimum probablement par manque d'expérience avec l'introduction d'un univers totalement nouveau.

Quatrième erreur : techniquement le jeu est MOCHE. Et ne tourne pas très bien. Bon au moins je n'ai rencontré aucun bug. Mais le jeu fait très PS3/début PS4.

Enfin parlons du gameplay, le seul aspect vraiment réussi à mon goût. En dehors des combats on retrouve un système de calendrier avec organisation des activités entre expédition en donjon, social link qui débloquent de nouvelles options et gain de stats sociales pour débloquer ces mêmes social links. Bref on n'est pas perdu, c'est du Persona 3/4/5 streamliné. Côté combat, on retrouve le Press Turn système de SMT3/4/5 mais on perds toutes les originalités des Persona 3/4/5 introduites progressivement au fil des remake et qui font gagner de l'intéractivité au système de combat (passage du tour à un autre personnage, attaques combinés et j'en passe). Pour finir le jeu propose un système de classe qui autorise une certaine liberté dans le mix des compétences et passifs très interessant, mais qui ne commence à montrer son potentiel qu'à la fin du jeu la faute à des récompenses d'expérience de classe trop faibles, à la liaison de ce système de classe aux social links, et enfin à une difficulté relativement faible (j'imagine que contrairement aux Persona qui offrent une forte malléabilité du protagoniste et une progression fixée des alliés, la difficulté est fortement allégée dans ce titre pour ne pas obliger le joueur à grind 3h avant chaque boss car il a monté les mauvaises classes, à l'inverse d'un Etrian Odyssey sans pitié). J'ai passé 90% du jeu à exploiter les faiblesses des adversaires avec les compétences les plus faibles, et les 10 derniers % à tuer en 2 tours les boss après 3h de grind en difficulté maximale.

En conclusion, Metaphor: ReFantazio affiche les faiblesses d'une équipe artistique qui -sans que la plupart des joueurs ne s'en rende compte- était portée par l'ancrage dans le réel de leurs précédents jeux. Un titre honnète mais oubliable.
Romancing SaGa 2: Revenge of the Seven pc
Zanxthiloide

le 16/11/2024
6_5 pc
Plus de 20 ans après Romancing Saga : Minstrel Song, nous sommes enfin gratifiés d'un nouveau remake de la série avec cet opus.

Etant grand fan de Minstrel Song, je ne peux pas m'empêcher de comparer les deux titres.
Revenge of the Seven est un bon jeu, mais qui s'épuise très rapidement la faute à une progression beaucoup plus permissive que son ainé. Pour certains ce sera un point positif, pour moi je me suis malheureusement lassé d'enchaîner les combats et l'exploration sans vraiment avoir besoin de réfléchir ou faire de choix vers le milieu de l'aventure.

Autre point de comparaison qui fait mal : l'aspect artistique du remake. Là où Minstrel Song affichait une patte unique, Revenge of the Seven est très fade et convenu.

Je suis persuadé que cet épisode plaira davantage aux adeptes d'aventures plus conventionnelles.
Shin Megami Tensei III: Nocturne HD Remaster pc
Zanxthiloide

le 02/08/2021
6_5 pc
Un monument du J-RPG PS2 qui n'a pas su vraiment me convaincre.

Aussi, je me suis tiré une balle dans le pied en jouant au jeu en mode difficile (qui correspond à la difficulté normal de la version originale japonaise) et en refusant de passer en normal.
Le jeu est vraiment très austère et rude, souvent très injuste à coups d'attaques de dos surprises (très communes) qui mènent à un game over sans même avoir pu jouer un tour. Dans d'autres titres d'Atlus, ce scénario peut être anticipé pour réduire les risques. Dans Nocturne il faut serrer les dents et accepter que ça peut se produire et que toute l'optimisation de son équipe et de l'usage de ses magatamas ne peut rien y faire.

Le jeu a quand même bien vieilli grâce à son style épuré et le système de pokemon démons.
The Legend of Heroes: Trails of Cold Steel II psv
Zanxthiloide

le 24/12/2016
6_5 psv
Trails of Cold Steel 1 rebelote.
Pas de grande modification du gameplay (même pas du tout ?), le jeu garde toujours son esprit très verbeux et son rythme en dent de scie.

L'histoire supposément épique qui était annoncée par l'épisode 1 est malheureusement décevante : la guerre civile reste trop "courtoise" et plate, et le final à rallonge
- le tout dernier donjon était-il réellement utile ?-
viennent entacher un jeu qui -à l'instar de Trails in the sky SC- ne pouvait être sublimé que par son scénario.

Mention spéciale du plus grand gâchis scénaristique de l'année (oui même devant FFXV) au motif des antagonistes qui était parfaitement trouvé et structuré pendant tout l'épisode et son préquel mais qui est gâché à la toute fin du jeu
par un Duke Cayenne cliché, une Clothilde Vita stupide et au but final cryptique, et un Rufus Albarea tiré par les cheveux
.

J'espère bien mieux de ToCS 3, car après 4 épisodes (7 au japon), la série commence à m’essouffler aussi vite qu'elle a gagnée mon adhésion.
Tokyo Mirage Sessions #FE wiiu
Zanxthiloide

le 20/08/2016
6_5 wiiu
Tokyo Mirage Sessions est un JRPG qui n'a pas mérité l'indifférence auquel il a été soumis.
Si ce n'est évidemment pas le meilleur RPG de sa génération, il en reste un bon titre qui rappel l'ère de gloire que le genre a vécu sur PS1/2.

Le gameplay est le point fort du jeu : atlus démontre à nouveau sa maîtrise des combats au tour par tour avec un mix entre le système de combat de Persona 3/4 et celui des Mana Khemia (comprendre par là un déluge de combo et d'effets spéciaux à chaque attaque et des évolutions de gameplay jusqu'aux 2/3 du jeu). Cependant il se révèle aussi être son point faible : passé les innovations, le jeu se révèle répétitif et les combats se rallongent inutilement malgré une difficulté moyenne.
Le système de montée en puissance est récupéré de Shin Megami Tensei IV avec quelques spécificités bien pensées.

Le jeu est graphiquement propre et le chara design plaisant pour peu de ne pas être totalement réfractaire au graphisme manga. Notamment, les animations sont extrêmement jolies et contribuent à l'attrait du système de combat.
Le jeu est émaillé de nombreuses cinématiques très jolies.
Il faut aussi mentionner le menu du jeu avec l'ensemble des personnages qui est juste magnifique.
Gros point noir cependant sur les temps de chargement qui sont trop nombreux et trop longs (il faut compter 5 secondes de pause à chaque changement de zone ou initiation de combat) et qui rendent les aller retours (très nombreux) fastidieux.

Pour un jeu basé sur l'industrie de la musique et du divertissement japonais, et qui plus est inspiré de Persona, on était en droit de s'attendre à une bande son géniale. Que nenni, les musiques sont passe-partout, et à part peut être les chansons des idoles (encore une fois, si on n'est pas totalement réfractaire au genre) aucune piste ne reste en mémoire. Même les thèmes repris de Fire Emblem font pale figure.

Enfin, le scénario est banal et sans intérêt malgré de le pitch de départ original. Les personnages comme l'histoire manquent de substance. Certains personnages principaux sont introduits mais ne contribuent en rien à l'histoire qui est phagocytée par l'autre moitié du cast. On s'attend pendant tout le jeu à une grande révélation qui vienne rendre le scénario moins superficiel mais le jeu se fait définitivement enterré par le background des deux Fire Emblem les moins réussi à ce niveau.
13 Sentinels: Aegis Rim play4
Zanxthiloide

le 04/10/2020
6 play4
Le dernier né de Vanillaware qui aura su se faire attendre !
Pour l'anecdote leur dernier titre date de 2013 (Dragon's Crown), et si on en croit l'artwork produit pour l'année 2013 par le directeur Kamitani, 13 Sentinels : Aegis Rim incube depuis cette même année.

Le jeu est découpé en deux phases très distinctes : une phase "point & click" du pauvre et une phase "combat"... du pauvre aussi. Très clairement le jeu s'oriente énormément du côté d'un visual novel (c'est à dire une intéractivité minimale). Le jeu laisse presque entièrement libre choix au joueur de s'attaquer à tel personnage, ou à se lancer dans des combats (car sauf à 2-3 moments aucun combat n'est nécessaire pour avancer dans l'intrigue de chaque personnage). Le rythme du jeu est donc entièrement dans les mains du joueur.

Pour chacun des treizes protagonistes, on progresse dans de très courtes branches. C'est dommage car les deux premières heures de jeu laissait entrevoir une plus grande liberté dans le déroulement de l'intrigue. Si vous n'êtes pas prêt à lire du texte pendant 30h (sur 40h de jeu en tout), passez tout de suite votre chemin.
L'histoire est découpée à la manière d'Odin Sphere dans le sens où les histoires s'entremêlent et il devient très vite difficile de se repérer dans la chronologie des évènements.
Que dire de plus sur cette phase sinon qu'elle est saturée en rebondissement (bon point : tous prévisibles en avance pour le lecteur assidu !) ce qui fait pour certain la force de l'intrigue et pour moi aussi la grande faiblesse. (Spoiler indirect du jeu)
L'histoire s'amuse à insérer un bon 90% des "trope" de science fiction populaire, au détriment de l'intrigue qui devient assez faible sur le dernier quart, et de la création de petits trous scénarisitiques.
Au final la plupart des pans de l'histoire sont traités de manière superficielle, y compris sur les fameuses sentinelles.

Les phases de combats à bord des robots sont anecdotiques mais pas insuportables. Leur grande faiblesse réside dans l'absence de la patte graphique de Vanillaware (alors que c'est l'attrait n°1 du jeu). J'ai encore du mal à comprendre pourquoi ils ne se sont pas inspirés de Grim Grimoire (RTS de Vanillaware) ou de Front Mission (tactical).
Faute au manque de profondeur, et malgré les limitations imposés au joueur, le jeu est très facile à l'exception des deux dernières missions et des missions post game (au nombre de 9999).

Au final Aegis Rim, c'est une expérience intéressante mais un jeu assez faible.
Ar Tonelico: Melody of Elemia play2
Zanxthiloide

le 08/07/2011
6 play2
J-rpg sympathique mais sans plus.

Un système de combat original mais qui aurait mérité des rééquilibrages (boss qui meurent avant d'avoir pu charger son meilleur sort, reyvateils qui ne servent plus que de buff-bots sur la fin etc.).

La bande son est comme le jeu: sans plus mais avec quelques moments d'éclats grâce aux chants qui insufflent un côté épique à certaines scènes.

Les personnages sont insipides y compris les reyvateils malgré leurs nombreuses scénettes.

Côté histoire, le background est prometteur mais le scénario est convenu. Le 3ème chapitre/épilogue n'apporte rien et est à éviter à moins d'être complétioniste.

Enfin les sprites et artworks sont détaillés et jolis mais les environnement sont souvent assez vides et donnent l'impression de tourner en rond (autant au niveau artistique que pour le malheureux joueur qui n'a pas su qu'il y avait une map avant le tout dernier combat ).

Atelier Ayesha Plus: The Alchemist of Dusk psv
Zanxthiloide

le 17/09/2015
6 psv
Un bon petit atelier avec un système de craft encore une fois très intéressant.
Le système de combat évolue encore un peu mais c'est encore très loin de l'éclate des Mana Khemia.
L'histoire et la bande son sont malheureusement décevant.
Atelier Iris 3: Grand Phantasm play2
Zanxthiloide

le 14/07/2014
6 play2
Encore un RPG sympathique mais avec de gros défauts.

Ayant joué en premier aux Mana Khemia (sorti 1 an plus tard), le jeu souffre de la comparaison.

Ici, point de système de combat ultra dynamique, c'est du tour par tour classique avec un système de jauge à remplir pour effectuer de gros combos et de gros dégâts, mais sans grosse attaque spéciale. Comme pour Mana Khemia, il n'y a presque aucune difficulté dans les combats (avec 2 ou 3 exceptions, mais même en étant pas préparé, on peut presque toujours s'en sortir).
A noter la présence d'un système de job qui donne envie de se plonger encore plus dans le jeu... avant de se rendre compte qu'au bout de la moitié du jeu on les a tous débloqué ainsi que tous leurs skills (au nombre de 5, c'est très limité).

Niveau musique c'est très moyen sauf le thème d'introduction qui est bien épique... jusqu'à ce que les paroles en japonais apparaissent.

Les artworks des personnages sont très génériques et manquent énormément de détail, mais ça convient bien à leur caractère.

Le côté exploration est génial ... pendant les 10 premières heures de jeux. Le jeu dure 30 heures et on se retrouve toujours à explorer les mêmes décors pendant les 20 dernières heures de jeu qui ont failli me faire abandonner, surtout vu l'absence de scénario.

Enfin l'alchimie, le petit plus de la série est raté à cause d'un manque de personnalisation des objets, que les rares marchands du jeu ne renouvellent pas leur stock donc on est souvent en rupture de certains matériaux communs, et de pleins de matériaux obtenables uniquement avec des quêtes.
Bravely Default II nxn
Zanxthiloide

le 21/03/2021
6 nxn
Bravely Default 2 est dans la lignée de ses ainés Bravely Default et Bravely Second.

Il n'y a pas grand chose à dire sur le titre qui n'ait pas déjà été dit sur les deux opus précédents. Comme les deux titres précédents, le jeu a une forte emphase sur ses combats et son système de classes. Comme ses prédécesseurs, le jeu se fatigue dès que le jeu cesse de proposer de nouvelles classes.

Il s'agit donc d'un JRPG sympathique mais qui sera très vite oublié.
Breath of Fire V: Dragon Quarter play2
Zanxthiloide

le 02/03/2021
6 play2
Dragon Quarter est un mélange entre un JRPG, un dungeon crawler et un roguelite.

L'aspect rogue lite est vraiment très peu marqué. Il existe effectivement un système de reset partiel ou complet de sa partie (on garde tout de même l'équipement accumulé et d'autres bonus) qui est très mal expliqué au joueur. Le restart complet de la partie n'est en fait pas une obligation mais un ultime recours auquel il faut préférer le restart partiel. Difficile de savoir vers quel expérience CAPCOM dirigeait le joueur car le reset partiel est très facilement abusable et peut casser très rapidement la difficulté du jeu, et le restart complet est très punitif.
Le new game+ -au centre de tout roguelite digne de ce nom- s'avère remarquablement peu pertinent tant les ajouts sont superificiels (quelques salles supplémentaires aux objets inutile car on a déjà finit le jeu, et quelques scènes qui expliquent un tout petit peu plus le conexte cryptique de l'histoire).

Le jeu se présente par son level design comme un dungeon crawler ultra linéaire, auquel s'ajoute une très infime dose d'aléatoire. Ce point se marie très mal avec l'aspect rogue lite du titre.

Enfin pour aborder l'éléphant dans la pièce, il faut parler du D-counter, fameux "timer" qui s'incrémente tout le long du jeu et mets fin à la partie une fois le 100% atteint. Ce compteur n'a pour seul intérêt d'empêcher d'abuser de la dragon form. En pratique, il est quasiment impossible d'atteindre les 100% sans utiliser la forme du dragon (les monstres ne réapparaissent pas et il n'y a aucun intérêt à revenir sur ses pas sur des distances suffisament importantes pour atteindre un % non négligeable). Pour l'exemple, on ne dépassera pas 20% du fameux d-counter à la fin du jeu si la dragon form n'a jamais été utilisée.

Je tiens à conclure cette review en précisant tout de même qu'il faut replacer le jeu dans son époque, où il apparaît comme très novateur. Néanmoins, on lui préfèrera en 2021 Lightning Returns qui propose une expérience semblable mais mieux maitrisée.
Dragon’s Dogma II pc
Zanxthiloide

le 30/03/2024
6 pc
Dragon's Dogma 2 est essentiellement un redite du premier épisode.

Commençons par les bons côtés : le jeu est très beau, le système de combat quasi identique au 1 est toujours plaisant et la patte artistique a été améliorée.

Cependant... le jeu est très mal optimisé, au point d'être quasi injouable en ville sauf à altérer ses options graphiques spécialement pour ces passages; le jeu nous bombarde de goblins et de loups au point qu'il est presque impossible de faire 10 mètres sans rencontrer un adversaire. Par ailleurs, le système de combat s'épuise une fois atteint environ la vingtaine d'heures de jeu quand plus aucun ennemi n'est capable de vous tuer grâce aux objets de soins en forte quantité et accessibles sans restriction, ou quand vous devenez capable de les tuer en quelques dizaines de secondes boss de fin compris.

Enfin il est nécessaire d'évoquer l'histoire du jeu, ou plutôt son déroulement absolument honteux pour un jeu de 2024 : l'histoire principale passe du coq à l'âne sans réelle logique; des pans entiers du scénario sont abandonnés. Pire encore, les 3/4 des quêtes principales ne servent absolument à rien dans l'histoire. C'est encore pire que le premier épisode paradant déjà lui au top des histoires de RPG les plus mauvaises pour son époque. Pourtant la séquence de fin du jeu sur fond d'apocalypse montre que les auteurs sont bien capables d'écrire une histoire intéressante.

Dragon's Dogma 2 est donc un titre beaucoup trop brut. Il propose toutefois une expérience de gameplay unique qui peut valoir le détour pour peu de faire fi de ses énormes défauts.
Kingdom Hearts III play4
Zanxthiloide

le 16/02/2019
6 play4
Une longue attente pour un épisode décevant.

L'histoire est parasitée par les 9 (?) épisodes précédents dont les fils laissés en suspens essaient de tous se résoudre dans un joyeux bordel aux règles ésotériques.

Le gameplay reste plaisant mais trop répétitif et facile.

Les graphismes et l'ambiance de chacun des univers disney sont parfaitement retranscrits en jeu.

Les nouvelles pistes musicales originales sont anecdotiques.
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