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146 commentaires
Final Fantasy IX play
Bahamut-Omega

le 28/12/2011
Edité le 27/08/2014
10
C'est pour moi le meilleur Final Fantasy existant à ce jour et le meilleur RPG (et même jeu vidéo tout court) auquel j'ai joué jusque là.

Sur l'aspect technique je n'ai jamais rien vu de plus beau sur Ps1, les graphismes sont somptueux.

Musicalement c'est sublime, un vrai plaisir pour les oreilles.

Au niveau du gameplay, c'est très classique, pas tellement innovant, un retours aux sources quoi. Mais j'ai apprécié le système d'apprentissage de compétence et fait que l'on puisse, à nouveau, jouer avec 4 persos en combats. J'ai apprécier aussi que les persos ne soit plus polyvalent et qu'il aient un "Job" attitré (voleur, mage noir, mage blanc/invoqueur, chevalier, ninja, chevalier dragon et mage bleu).

La durée de vie est conséquente , l'histoire elle même peut être bouclé en une 40aine d'heures mais il existe de nombreuse quête annexes permettant d'augmenter la durée de vie de 10-20 heures.

Concernant le scénario, bien que le début puisse paraître niait, notre héros Djidane, doit enlever la princesse d'Alexendrie pour l'arracher des griffes de sa mère qui visiblement est en train de perdre la tête, aveuglé par le pouvoir. Mais plus on avance dans l'histoire, plus elle devient intense et bourré de réflexion sur la vie, la mort et la peur.

Les personnages sont tous très bien travaillés, sauf 3 de nos héros, surtout un en particulier qui ne sert qu'à détendre l'atmosphère. C'est là un des seuls défauts du jeu avec le système de "transe" ("fury") à mes yeux.


Suikoden II play
Bahamut-Omega

le 28/12/2011
10
Jeu magnifique en tout point, graphisme 2D assez jolis, OST sublime (une des meilleures que j'ai pus écouter), duré de vie honorable (40 heures environ), gameplay ayant bien évolué par rapport au 1° (plus de rune par persos, menu moins archaïque,...). Et surtout un scénario captivant, à la foi simple et intéressent, bourré en rebondissement, parfois prévisible, parfois non, et avec des persos très charismatique.
Les seuls défaut sont que les héros sont très jeune, trop même, certains passage de l'histoire sont peu crédible, mais bon, c'est un jeu... Et que la traduction française made in Konami est juste compréhensible.

Super Robot Taisen OG Saga Masou Kishin: The Lord of Elemental nds
Bahamut-Omega

le 21/05/2013
10
Super Robot Taisen OG Saga Masô Kishin: the Lord of Elemental :
C'est dans ce jeu que l'on en apprend plus sur Masaki Andoh, un des héros du premier univers SRT et son ennemis juré: Shû Sirakawa. Le jeu est en 2 partie, une se passe avant SRT 2 (Famicom, GB et Ps) et une après SRT 4 (S Famicom et Ps) ou SRT F - F Kanketsuhen (Ps et Saturn) . Dans la première partie nous découvrons donc l'univers d'adoption de Masaki, La Giars, un monde "intérieur" à la Terre, fortement inspiré de Byston Well (l'univers de l'anime Aura Battler Dunbine de Tomino) où l'alchimie existe et est la source principale d'énergie.
Lors des premières heures de jeux on voit Masaki, jeune orphelin japonais se faire invoquer dans La Giars, dans le royaume de Lan Gran précisément. Il rencontre Tutty qui lui explique rapidement se qu'il arrive avant de prendre par à une bataille face à des terroristes, à bord d'un Masôki, un robot magique.
Après quelques péripéties, Masaki se liera d'amitié avec les habitants de Lan Gran qui deviendront sa famille.

+ L'univers : Un monde fantastique, à mi chemin entre le médiéval et le contemporain.
+ Le scénario : Là où le genre "Real Robot" rencontre le "Super Robot", l'histoire d'une guerre en statue quo entre 3 pays, envenimée par une secte prônant la résurrection d'un dieu maléfique. 4 fins possibles, une triste, 2 incomplètes et une heureuse et officielle.
+ Les personnages : nombreux et variés, parfois stéréotypés, parfois très loufoques. Les héros sont très attachants, très humains. Concernant les ennemis on a de tout, le fier soldat défendant son idéal / sa patrie, au politicien aux ambitions démesurés en passant par le prêtre machiavélique ou le scientifique devenu fou.
+ Le gameplay : Habituel aux autres SRT à la différence que les robots sont en taille réelle, le fait qu'ils soient originaires d'un même univers le permet (peu de différence de gabarit). Les map ont donc des différences de topographie qui agissent donc sur la portée et la précision des armes, ou le déplacement des robots. L'orientation du robot sur sa case compte aussi dans le calcul des dommages et du taux d'esquive et de coups critiques. Dans cet opus on a aussi droit à une roue élémentale (feu vent terre eau …) Les versions NDS et PsP proposent un mode New-Game + très pratique pour voir les différentes fins.
+ Réalisation : Déjà très belle sur S Famicom (bien qu'un peu "figée" lors des combats) , la version DS est une refonte intégrale du jeu, avec l'ajout de magnifique scène de combat en 3D et d'artwork pour illustré les scènes marquantes du jeu. La version PsP améliore tout ça, sans atteindre le niveau du second opus parût en même temps pourtant. Elle a l’avantage d’intégrer un doublage améliorant l'immersion. L'OST est bien moins grande que dans les autres opus mais globalement plus soigné, notamment dans les scènes hors bataille.

- La progression : Pour trouver la bonne fin, et surtout faire tout les stages, sans soluce, ça relève du miracle. L'organigramme des stages étant très complexe. L'ajout d'un NG+ sur NDS et PsP est une bénédiction.
- Des détails... la légère censure verbale pour les versions NDS et PsP et leur simplification par rapport à la version S Famicom qui n'était déjà pas difficile.
Super Robot Taisen OG Saga: Masou Kishin I & II psp
Bahamut-Omega

le 18/10/2013
10
Super Robot Taisen OG Saga Masô Kishin: the Lord of Elemental :

C'est dans ce jeu que l'on en apprend plus sur Masaki Andoh, un des héros du premier univers SRT et son ennemis juré: Shû Sirakawa. Le jeu est en 2 partie, une se passe avant SRT 2 (Famicom, GB et Ps) et une après SRT 4 (S Famicom et Ps) ou SRT F - F Kanketsuhen (Ps et Saturn) . Dans la première partie nous découvrons donc l'univers d'adoption de Masaki, La Giars, un monde "intérieur" à la Terre, fortement inspiré de Byston Well (l'univers de l'anime Aura Battler Dunbine de Tomino) où l'alchimie existe et est la source principale d'énergie.
Lors des premières heures de jeux on voit Masaki, jeune orphelin japonais se faire invoquer dans La Giars, dans le royaume de Lan Gran précisément. Il rencontre Tutty qui lui explique rapidement se qu'il arrive avant de prendre par à une bataille face à des terroristes, à bord d'un Masôki, un robot magique.
Après quelques péripéties, Masaki se liera d'amitié avec les habitants de Lan Gran qui deviendront sa famille.

+ L'univers : Un monde fantastique, à mi chemin entre le médiéval et le contemporain.
+ Le scénario : Là où le genre "Real Robot" rencontre le "Super Robot", l'histoire d'une guerre en statue quo entre 3 pays, envenimée par une secte prônant la résurrection d'un dieu maléfique. 4 fins possibles, une triste, 2 incomplètes et une heureuse et officielle.
+ Les personnages : nombreux et variés, parfois stéréotypés, parfois très loufoques. Les héros sont très attachants, très humains. Concernant les ennemis on a de tout, le fier soldat défendant son idéal / sa patrie, au politicien aux ambitions démesurés en passant par le prêtre machiavélique ou le scientifique devenu fou.
+ Le gameplay : Habituel aux autres SRT à la différence que les robots sont en taille réelle, le fait qu'ils soient originaires d'un même univers le permet (peu de différence de gabarit). Les map ont donc des différences de topographie qui agissent donc sur la portée et la précision des armes, ou le déplacement des robots. L'orientation du robot sur sa case compte aussi dans le calcul des dommages et du taux d'esquive et de coups critiques. Dans cet opus on a aussi droit à une roue élémentale (feu vent terre eau …) Les versions NDS et PsP proposent un mode New-Game + très pratique pour voir les différentes fins.
+ Réalisation : Déjà très belle sur S Famicom (bien qu'un peu "figée" lors des combats) , la version DS est une refonte intégrale du jeu, avec l'ajout de magnifique scène de combat en 3D et d'artwork pour illustré les scènes marquantes du jeu. La version PsP améliore tout ça, sans atteindre le niveau du second opus parût en même temps pourtant. Elle a l’avantage d’intégrer un doublage améliorant l'immersion. L'OST est bien moins grande que dans les autres opus mais globalement plus soigné, notamment dans les scènes hors bataille.

- La progression : Pour trouver la bonne fin, et surtout faire tout les stages, sans soluce, ça relève du miracle. L'organigramme des stages étant très complexe. L'ajout d'un NG+ sur NDS et PsP est une bénédiction.
- Des détails... la légère censure verbale pour les versions NDS et PsP et leur simplification par rapport à la version S Famicom qui n'était déjà pas difficile.

Super Robot Taisen OG Saga Masô Kishin II : Revelation of Evil God

Pour le coup rien de particulier à dire, c’est la suite directe de Masô Kishin donc forcément c’est un peu décevant :

+ L’Univers : forcément c’est le même que celui du premier opus.
+ Le scénario : Bien que long à se mettre en place. La seconde partie du jeu, une fois sur une des 3 fins possible, est bien plus intéressante. Là où on en apprend plus sur la mythologie de La Giars.
+ Le Gameplay : Reprenant celui de MK en y ajoutant la possibilité d’équiper des bonus aux robots.
+ La réalisation : Encore un cran au dessus de MK (PsP).

- Les personnages : Le point fort majeur du premier opus devient le point faible du second. Les nouveaux personnages sont inintéressants au possible, seul les nouveaux grands méchants tirent leurs épingles du jeu. Tout n’est pas à jeter heureusement, les anciens sont toujours là, et certains sont même grandis comme Mio dans la première partie du jeu.
- Difficulté: Toujours trop facile, ça devient une habitude dans les derniers SRT malheureusement.
The Legend of Zelda: Majora's Mask 3D 3ds
Bahamut-Omega

le 20/02/2015
10
J'ai finis The Legend of Zelda Majora's Mask 3D en 35 heures environ. Avec les quêtes importantes de faites (les masques, équipements et fées égarées) , mais pas à 100%.

Excellent remake d'un de mes Zelda préférés. J'ai toujours hésité entre Ocarina of Time et Majora's Mask pour désigné mon favoris, maintenant grâce à ce remake je peux enfin désigner un vainqueur, Majora's Mask ! En effet la version 3DS gomme pour moi les quelques défauts de gameplay qu'avait la version N64, en plus de nettement améliorer les graphismes.

Malgré les graphismes plus colorés, l’ambiance pesante avant que l’on batte les boss des 4 temples est toujours au rendez-vous. Et on peut toujours se retrouver dans des situations stressantes, même en ayant déjà fait le jeu sur N64, comme par exemple commencer un donjon le matin du premier et se retrouver à 12 heures d la fin du compte à rebours à chercher une (foutue) fée égarée...

Beaucoup de changements on été effectués pour ce remake. Le principal, et le plus décrié, étant le système de sauvegarde. Plus moderne et adapté à une console portable. Certes cela permet des abus, mais comme dans tous jeux vidéo « récents » Est-on obliger d’abuser du système de sauvegarde ? D’autan plus que rien ne peut définitivement être loupé dans ce Zelda, contrairement à d’autres (jeux), plus linéaire.
Les tactiques pour vaincre les boss ont été changés, elles exploitent mieux le gameplay des transformations, rendant les combats plus épiques (mais pas forcément plus difficile).
Pour le reste ce sont des modifications mineures, comme des fées égarées à un autre emplacement dans les donjons, la quête d’un masque qui change d’endroit,…
Il y a surtout de nombreuses petites améliorations de gameplay, comme l’agenda qui devient plus fonctionnel et complet, la possibilité de voir les mélodies que l’on doit jouer, les capacités des transformations plus simples à contrôler,… Et quelques changements de nom de lieux et de masques plus fidèle à la version originale japonaise.
Les seuls changements qui m’ont un peu gênés, c’est d’abord l’échange entre le premier et second cadeau des grandes fées, rendant l’exploration de la zone nord (et de son donjon) plus facile. Et le combat contre un boss optionnel qui a été simplifié.

Donc dans l’ensemble j’ai été conquis par ce remake, il faut dire que la base est très solide. Cette version 3DS est pour moi une vraie amélioration du jeu, on gagne en confort sans nuire à l’ambiance. Il manque peut être une vrai vue subjective sur « old » 3DS, sans avoir recours à l’arc ou au grappin, mais ça reste du détail, l’arc s’obtenant rapidement dans cet opus.
The Witcher 3: Wild Hunt - Game of the Year Edition play4
Bahamut-Omega

le 02/10/2016
10
J'ai finis The Witcher 3: Wild Hunt -Game of the Year Edition- sur Ps4 en 139 heures.

Bon, pas vraiment grand chose à dire, si la perfection n'existe pas, ce jeu s'en rapproche pas mal je trouve.

Histoire captivante, personnages charismatiques et matures, excellente qualité d'écriture (même pour les quêtes annexes), duré de vie colossale, réalisation au top (même sur console de salon, c'est stable, sans bugs gênants et globalement très au dessus des RPG actuels), OST exceptionnelle (que ce soit les thèmes d'ambiances ou d'actions), excellent doublages (on a le choix entre l'anglais, orignal polonais, mais aussi français), gameplay riche et varié avec quatre niveaux de difficulté tous bien dosés, et "service après ventes" des développeurs génial (patchs correctifs, DLC gratuits, extensions riches; bien sur le tout inclus dans cette version GotY).

En étant un peu rabat-joie, je pourrais trouver à redire…
Sur le système de visée, qui ne cible pas par défaut l'ennemi le plus proche. À la longue, j'y faisais attention en ce qui me concerne.
Sur la police d'écriture trop petite sur console de salon.
Sur le fait que ce troisième opus soit édulcoré par rapport au second.
Et sur le système d'évolution de Geralt qui est assez particulier. Les gains d'expériences se font en complétant des quêtes annexes, ça peut devenir compliquer pour concilié difficulté, exploitation de gameplay et rythme de l'histoire. En ce qui me concernant je n'ai eu aucune gêne sur ce point.

Des défauts que je trouve assez mineur par rapport au contenue et à la qualité globale de cet open-world grandiose. Je ne peux que conseiller ce jeu car dans les RPG open-world il y aura certainement un "avant" et un "après" The Witcher 3.
Bahamut Lagoon snes
Bahamut-Omega

le 11/01/2014
9_5
Fini Bahamut Lagoon en 40 heures en ayant fait 3 des 4 missions optionnelles.

J'ai été très agréablement surpris par ce jeu. C'est bien la première fois que je me suis autan amusé sur un T-RPG autre qu'un SRT ou SD Gundam.

Déjà, techniquement c'est magnifique. Les décors sont beaux et détaillés, les personnages très bien dessinés, les animations de combat très fluides. Les map sont moins jolies que dans SRT Masou Kishin cela dit.

L'OST aussi est très bonne, certains thèmes sont sublimes même, mais pas assez nombreux.

L'histoire est un brin classique, mais comporte quelques rebondissements fort sympathiques.
Les personnages sont très attachants, certains stéréotypés, d'autres assez originaux.

La durée de vie est conséquente, 35-40 heures pour une première partie. Le jeu possède un NG+ permettant d'y rejouer en conservant les niveaux et dragons de la précédente partie.

Mais le point fort du jeu est son gameplay. Premièrement son système de combat, qui mélange T-RPG et RPG au tour par tour. Soit on attaque une case juste à coté de la notre et on déclenche un combat au tour par tour, soit on utilise une compétence ou magie (en consommant des PM) et on attaque de loin en visant une case ou une zone. Au début on contrôle 4 unités de 4 personnages. Chaque unité est lié à un dragon. On ne peut pas le contrôler directement, juste lui donner 3 ordres précis.
Le système de formation est bien pensé aussi. Une unité est composé de 4 membres. Soit on choisis de maximiser les points forts d'une équipe, mais aussi les points faibles; soit on crées des équipes avec équilibrés, mais sans réels atouts. Par exemple avec 4 mages noirs, nos magies sont 4 fois plus puissante (pour un coût identique en combat longues portés, style T-RPG) mais on est très vulnérable en combat courte porté (style RPG).
Les interactions avec les éléments du décors qui sont très importantes. Entre autre, en enflammant une forêt on peut causer de gros dommages aux ennemis pris dans les flammes et créer des passages une fois le feu éteins.
Mais surtout, l'élevage de dragon ! Au tout début on commence avec 4 dragons (un par équipe en fait) qui ont chacun un élément dominant. Le principe étant de faire évoluer ses dragons et les nourrissants d'objets (armes, armures, potion ou objets spéciaux). Ils changeront de formes selon les stats augmentés.

Si je devais lui trouver quelques défauts, le premier qui me vient c'est justement concernant l'évolution des dragons. Certains statistiques atteignent leur potentiel maximum avant les autres. du coup le dragon utilisera principalement ces compétences les plus fortes, en priorité. Jusqu'à la moitié du jeu, il n'est pas rare de voir le dragon utiliser une magie contre un pauvre ennemis déjà bien affaibli, alors qu'une morsure ou coup de griffes aurait suffit à l'achever. On peut se retrouver très vite à cours de PM.
Le jeu est aussi assez facile, il y a peut-être une mission assez surprenante par la puissance des ces ennemis. À part ce sursaut de difficulté, rien de compliqué. Cela dit ce n'est pas plus mal, vu que les dragons sont contrôler par une IA.
J'ai regrettais aussi l'absence de menue principale et de sauvegarde lors des phases de préparations avant les batailles. Pour s'équiper, il faut aller voir un marchant par exemple. Et il ne vaut mieux pas se tromper en donnant certains objets au dragon, si le résultat ne nous convient pas, faut recommencer au début du chapitre (ou jouer sur émulateur pour bénéficier des sauvegarde et chargement rapide).
Et une dernière chose, les formes ultimes des dragons sont très décevantes (et terme de design), personnellement j'ai du volontairement laisser un stats non maxé pour éviter la transformation.

Mais malgré ces petits défauts, j'ai été conquis par ce fabuleux jeu, à faire absolument.
Dai-2-Ji Super Robot Taisen OG play3
Bahamut-Omega

le 28/02/2013
Edité le 19/05/2013
9_5
Ca y est, j'ai enfin platiné ce jeu qui me tien à cœur. Le fan de RPG et de Mecha que je suis est comblé .

+ L'adaptation des différents opus qui composent le casting est très réussis. L'univers est riche et l'histoire passionnante, riche en rebondissement et en émotion.

+ Le gameplay est toujours impeccable, les diverses nouveautés sont sympa et améliore le confort de jeu.

+ Les animations de combats sont sublimes. La modélisation de la carte est très réussite. Là où ça pêche un peu c'est dans les animations 3D des "map attack", ce n'est pas grave, elles sont assez rares.

+ La duré de vie, une 50aine d'heure pour une partie. Le mode New-Game + la rallonge encore plus. Avec au choix un mode normal avec des bonus, EX-Hard qui porte bien son nom (quoi que...) et un mode Special (un mode facile).

+/- L'OST, les thèmes hors combats sont assez classique, sympa mais sans plus. Les thèmes de combats sont par contre magnifiques et d'une incroyable diversité, malgré quelques doublons regrettables, d’autan plus qu'il été facile d'en intégrer de nouveau.

+/- La facilité du jeu. A l’exception de quelques SR assez technique à récupérer, le jeu reste très facile. Tellement facile qu'on ne peut pas réellement profiter de la richesse du gameplay. C'est seulement grâce au mode EX-Hard que l'on peut profiter des subtilités du gameplay.

- L'adaptation de SRT EX, seulement au 2/3. Il manque un des 3 scénarios que possédait le jeu. Et c'est malheureusement le plus important. D'autan plus que le héros de ce scénario est présent dans le jeu. Il reste aussi quelques incohérences mineures concernant l'univers SRT EX / Masou Kishin.

- La disparition de l'Huckebein, le robot "not-Gundam" phare du premier univers. Mais son remplaçant l'Exbein est pas mal tout de même.
Ōkami HD play3
Bahamut-Omega

le 14/12/2013
9_5
Je vais faire assez court, tout simplement car ce jeu est une pure merveille.
L'histoire captivante et émouvante.
Univers haut en couleur et incroyablement riche.
Les personnages sont très attachants.
Le gameplay est excellent.
Graphiquement c'est sublime (déjà sur Ps2 c'était le cas) et l'OST est divine.
Et pour finir le jeu possède une excellente durée de vie (40 au minimum, et un New Game +).

Dans les défauts, le jeu est trop facile.
Il y a aussi pas mal de répétition des les dialogues, en plus on ne peut pas les accélérés, parfois c'est très long.
Et pour finir j'ai trouvé une petite baisse de rythme sur le milieu du jeu mais rien de dramatique.

9,5/10
Super Robot Taisen OG Saga: Masou Kishin F - Coffin of the End play3
Bahamut-Omega

le 30/09/2014
Edité le 05/11/2014
9_5

Finis SRT Masou Kishin F en 56 heures avec les 2 fins.

Tout ce que l'on pouvait attendre pour ce final y est, tout les héros ont leurs robots à 100% de leur puissance. Et tout les antagonistes apparût dans MK II et III, ainsi que des nouveaux sont présents donc pas « d’oublis » .

Mais on a quand même deux choix scénaristiques un peu douteux :

Pendant une bonne moitié du jeu, nos héros sont « indisponibles » , pour des raisons scénaristiques très valable mais c’est très dommage d’en être privé pendant si longtemps.
Ainsi que les fins (quasi identiques dans leur déroulement en plus) qui sont assez ouvertes. Pas de réel "adieu" à l'univers et aux personnages, juste de très brèves discussions. Il y a clairement un lien vers un éventuel OGs3 ou une nouvelle saga, mais c'est dommage de ne pas avoir eu plus de nouvelles des personnages après leur nombreux combat pour sauver Ra Geas.

Et je regrette aussi le manque d'illustrations dans les phases de dialogues, il y en a presque deux fois moins que dans les précédentes opus, et représente uniquement les robots et donc peu de scènes marquantes.

Le gameplay, identique à celui de MK II et III, si ce n’est un meilleur équilibrage de la difficulté (gros défauts de ces opus). En clair MK F est plus difficile que MK II et bien plus facile que MK III. Les unités (alliées comme ennemis) sont plus résistantes. Les boss ont bien plus de PVs, et nos attaques ultimes moins coûteuses. Le jeu est donc, à mon goût, bien plus agréable à jouer que les précédents SRT. Un peu facile quand on connaît bien la saga mais rien de dramatique.

Concernant la réalisation, c’est un cran au dessus de MK III, mais toujours moins fluides que les opus « classique » en SD/2D comme OGs2 ou Z III-1.

L’OST est toujours très réussites, avec des thèmes toujours très beaux et très variés.
Et le doublage, comme toujours pour la saga, parfait.

Malgré ces quelques imperfections dans le scénario, j’ai beaucoup apprécié ce jeu. Pour le moment c’est mon coup de cœur de 2014. Et ça fait plaisir à voir dans cette période bien triste pour les J-RPG sur console de salon.


Xenogears play
Bahamut-Omega

le 28/12/2011
Edité le 19/05/2013
9_5
On m'avait dis que c'été le RPG Ultime, et bien je dois dire que sur le plan scénaristique c'est bien le cas, jamais je n'ai été aussi emporté par l'intrigue d'un jeu et j'ai trouvé la pluspart des persos charismatiques et très attachant pour les héros (sauf Chu-Chu faut pas déconner non plus, même si elle est bien drôle par moment) . Le mecha-disgn des Omnigears et Boss sont vraiment pas mal, celui de Gears normaux moins je trouve. L'OST est sublime, la musique Light from the Netherworld en tête. Par contre dire que c'est le RPG Ultime est exagéré, à cause de sa faiblesse esthétique mais surtout à cause de son CD2 qui à souffert de coupes budgetaires dragstiques (à cause de Final Fantasy VIII, désormais je sais pouquoi ce jeu est assez boudé). Le CD2 ressemble à la lecture d'une nouvelle, entrecoupée de scènes et de combats contre des boss (facile au début, super tendus sur la fin de la partie purement linéaire du CD). Emeralda et Maria ne récupèrent pas d'Omnigears (alors qu'il étaient déssinés et conçus tout de même) et des donjons ont étaient supprimé. Malgrès ces gros défauts (indépendants de la volonté des créateurs), ça reste un des meilleures jeux auquels j'ai joué.
Je le conseils à tout bon fan de RPG ayant un niveau en anglais assez élevé (ou qui aiment jouer sur émulateur) .

Bloodborne - Game of The Year Edition play4
Bahamut-Omega

le 18/02/2016
9

J'ai finis Bloodborne: Game of the Year Edition sur Ps4 en 61 heures.
Un BGE à l’instar de Dark Souls Prepare to Die. J'ai eu le même plaisir à parcourir le jeu (et des moments de rage aussi, mais c'est un peu normal).

En reprenant la formule des DkS, Bloodborne propose un gameplay un peu différent, tout en étant toujours aussi exigeant. Cette fois ci, l'agressivité est récompensée car si l'on subit des dégâts, on peut regagner une partie des PV perdu en attaquant l'ennemi, tan que l'on ne traine pas trop. Il n'y a pas non plus de classe défensive à proprement parler et on dispose que de quelques "magies" (utilisables grâce à certains outils de chasseurs). On dispose d'une arme blanche qui a deux modes avec un chacun un maniement différent, ainsi qu'une arme à feu, généralement utile pour déstabiliser les ennemis.

Dans les nouveautés, malheureusement il y a aussi les donjons des Calices, des donjons optionnels à difficulté fixe mais très élevée, où le coté "RPG" peut difficilement sauver le joueur. Et ces donjons sont aussi très monotones à parcourir à mon goût. Ils sont indépendants du scénario, et pourtant on y trouve un boss important à l'univers du jeu. Certes pour quelqu'un ayant déjà finis plusieurs fois le jeu et joue principalement pour le chalenge et/ou le on-line ça peut-être sympa, surtout qu'il y a quelque boss inédits. Mais pour moi qui m'intéresse surtout au solo et à la découverte de l'univers, c'est jute du remplissage maladroit.

Mise à part ces changements, assez important tout de même et ce n'est pas plus mal, on est assez proche d'un style à la DkS, surtout au point de vue de la présentation de l'univers du jeu et du développement de l'histoire. À savoir que l'univers est d'une richesse et d'une cohérence incroyable, mais qu'il est très peu développé dans le jeu, c'est au joueur d'assembler les pièces du puzzle et de se faire l'histoire, avec les interprétations qu'il veut.

Graphiquement, étant donné que c'est mon premier "vrai" jeu sur Ps4, les autres étant des portages, ça a été une claque. Sur la réalisation, cette version GotY possède déjà les patchs corrigeant quelques problèmes de temps de chargement ou de chute de framerate que subissait la version Vanilla.

Et pour finir, concernant les musiques, on est toujours dans un style DkS avec des pistes épiques qui cette fois gagne en intensité au fil du combat. Et le doublage orignal en anglais est excellent, idem pour les bruitages qui ont leur importance.

Beaucoup de comparaison avec Dark Souls Prepare to Die, et même si je préfère le style DkS plus orienté RPG, j'ai adoré jouer à Bloodborne Game of the Year et je le recommande à tous les possesseurs de Ps4.


Castlevania: The Dracula X Chronicles psp
Bahamut-Omega

le 21/05/2013
9
Castlevania : Symphony of the Night (l'A-RPG de la compilation) :

Finis avec la meilleure fin à 197 % (oui le système de pourcentage est un peu spécial...) .

Encore un BGE découvert tardivement, surtout dans cette version assez bien traduite en français (mieux que la version Ps et sa traduction anglais horrible de ce que j'ai cru comprendre) et surtout avec les voix originales Japonaise (dont le grand seiyû Norio Wakamoto, peu prolifique mais très reconnaissable et faisant de grand rôle, Dracula pour cette saga).

La réalisation est impeccable, outre quelque bugs techniques jamais handicapant pour le joueur.

Les graphismes et l'OST sont sublimes, je ne vois pas d'autres mots pour les qualifier, un régal pour les yeux et les oreilles.

Le gameplay est basique mais très efficace. Le coté RPG du jeu peu le rendre très (trop ?) facile, surtout quand miraculeusement on récupère certains équipements rares qui sont parfois bien abusé (l'épée runiques, l'épée Mablung combiné au bouclier méduse,...).

Les boss sont charismatiques et originaux et assez difficiles au début.

Le "gros" défaut de ce jeu c'est son histoire très basique et ses persos peu développé. Les épisodes précédents n'étant pas des RPG, ceci explique cela peut-être. Dracula, Richter et Maria sont déjà connus des fans de la première heure et Alucard est un peu développé dans le jeu pourvus que l'on vise les 2 bonnes fins.
L'autre défaut c'est que le jeu a tellement de secret qu'il faut une soluce pour le finir "à 100%" en une fois. Mais les 4 fins différentes peuvent donner facilement envi de le recommencer.

9 / 10
Chrono Cross play
Bahamut-Omega

le 28/12/2011
9
j'ai vraiment bien aimé ce jeu, ce fût une bonne surprise, les 2 seuls défauts qu'il possède sont le manque de persos intéressents, sur 45 je crois il n'y en a qu'une 10aine qui participent réllement à l'histoire. En plus les autres sont vraiment nul (en stats). Et ce que je n'ai pas aimé aussi, sont les accents ou les tic de langage qu'ont les persos, le franglais, le franllemand ou le créole, l'accent pied-noir et j'en passe, ce n'est vraiment pas plaisant à lire... à écouter ça n'aurrait pas été déplaisant, ça aurrait été originale et même plus réel, vu que les persos viennent des 4 coins d'El Nido.
L'OST est mangnifique, domage que lors du combat final il n'y ait pas du tout de musique .
Au niveau de l'histoire il n'y a rien à redire, mais pour bien faire faudrait se (re-)faire Chrono Trigger juste avant, c'est pas obligatoire mais c'est plus plaisant.
Le système de combat est assez original (tout en conservent les caractéristique du "tour par tour" classique).
Le jeu a une duré de vie honorable (40 heures environ), et dispose d'un mode NG+ permettant de le refaire en concervant plein de choses.
Dark Souls III play4
Bahamut-Omega

le 28/05/2017
9
J'ai finis Dark Souls III: the Fire Fades sur Ps4, en 83 heures (dont 21 heures de farming sans Ps+ pour les objets de serment).

À mon goût, le meilleur Dark Souls tout simplement. Il reprend l'excellente base du premier ainsi que les quelques bonnes idées du second, et dynamise le gameplay façon Bloodborne.
Mais surtout, il oublis les quelques erreurs du II. Cette fois-ci le level-design est inspirés, les boss renouvellés et Sakuraba n'est pas seul à la composition de l'OST.

J'ai trouvé que c'était l'épisode le plus difficile des "Blood-Souls" (cela dit, je n'ai pas (encore) fait Demon's Soul). Pas dans l'exploration, je n'ai pas trouvé de phases très stressantes comme, entre autre, les zones dans le noir complet des deux premiers opus.
Mais plutôt dans ces combats contre les boss, notamment ceux qui ont plusieurs barre de vie, ou ceux qui ont des combos dignes d'un jeu de combat 3D. D'autan plus que je n'ai pas le Ps+, donc pas de fonctionnalité en ligne et donc pas de coopération possible, des PNJs n'étant pas tout le temps disponibles.

Dommage que techniquement ce ne soit pas du même niveau que Bloodborne, on sent malheureusement le multi-support. Et que le "challenge" des trophées en hors-lignes soit encore gâché par ce farming immondes d'objets de serments.


Earthbound snes
Bahamut-Omega

le 26/09/2015
9
Finis Earthbound sur SNES, en 30-40 heures environ.

Conquis par l'originalité de ce jeu. Ce n'est pas tout les jours que l'on joue à une parodie de J-RPG faisant par la même occasion une critique humoristique sur la société actuelle. Où l'inverse ça marche aussi.
Mais même sans aller jusque là, c'est assez rare de trouver un J-RPG de cette époque se passant dans un univers contemporain, ça change pas mal de la med-fan.

Coté réalisation, c'est assez archaïque pour un jeu de cette période, mais la touche artistique unique masque pas mal ce défaut.
L'OST, en accord avec le jeu, est très spéciale, difficile de la décrire en faite. Si je l'avais écouté en dehors du jeu j'aurai détesté la moitié des pistes je pense. Mais dans le jeu ça colle parfaitement à l'ambiance et c'est même assez sympa.

Coté gameplay, tout est très archaïque façon DraQue. Mais dans le système de combat j'ai apprécier quelque chose d'assez original dans le calcul des dommages, les dégâts sont progressifs, nous laissant parfois le temps de soigner in-extremis un personnage, ou de terminer le combat, avant son K.O. Ça donne un peu de dynamisme au combat, tout en restant dans un système de tour par tour.

Mais le gros défaut du jeu à mes yeux, qui tien plus d'un choix artistique que d'un défaut technique je pense, c'est d'avoir choisi de parodier DraQue. L'ergonomie de menus est juste horriblement archaïque...
Grandia play
Bahamut-Omega

le 01/08/2013
Edité le 01/08/2013
9
Je viens de finir Grandia en 51 h sur Ps, et c'était grandiose (ouais je sais elle est pourrie...)

L'histoire est légère et classique au début. Avec Justin qui veut partir à l'aventure en voulant résoudre les mystères d'une civilisation antique. Mais il y a pas mal de rebondissement rendant l'histoire intéressante et agréable à suivre, on a même droit à quelques cène riche en émotions.
Les personnages sont sympathiques et attachants.

Le grand point fort du jeu est son gameplay:
_ Son système de combat, en un mot: parfait. Les choix des actions doivent tenir compte des faiblesse de l’ennemi mais aussi de leurs rapidité d'actions. On doit aussi gérer les positions des persos afin d'éviter certaines attaques très puissantes.
_ Le système d'évolution des personnages, plus on leur fait utiliser des armes ou des magies, plus ils apprennent des techniques nous permettant de pallier à tout nos besoin en combat; et plus les stats augmentent. Simple et efficace.
_ L'exploration, les monstres ne réapparaissent pas une fois vaincu ce qui nous permet de bien explorer les donjons. Bien sur si on quitte le donjon ou le jeu, les monstres réapparaissent. Le lv-up est donc possible en cas de difficulté.

Les musiques sont très belles, surtout les thèmes de combats.
Les graphismes sont pas mal, sachant que c'est un portage d'un jeu Saturn.
Le jeu a une bonne durée de vie, j'ai mis une 50aine d'heure en prenant mon temps et en faisant 2 donjons optionnel.

Maintenant je passe aux défauts...
_ Le jeu est linéaire, heureusement qu'il y a quelques donjons optionnels.
_ Scénario lent au démarrage, avec quelques passages sans intérêt.
_ Il est aussi très facile, en lv normal peu de combat sont stressants.
_ Le doublages US est correct, mais allez savoir pourquoi on a eu droit à un doublage FR risible, heureusement les scènes avec celui-ci sont rares.
_ Difficile de se retrouver... en ville.
_ Le bestiaire est peu diversifié.
_ La dernière forme du dernier boss est ridicule (tan sur le design que sur la puissance).
Panzer Dragoon Saga sat
Bahamut-Omega

le 14/07/2021
9

J'ai finis Panzer Dragoon Saga sur Saturn. En 16 h avec en moyenne 90% du contenue d'après les stats de fin de jeu.

Bon j'ai adoré de bout en bout. De base je suis assez fan de cette univers, et il a très bien été adapté en RPG. Un changement de genre si réussis, c'est rare je trouve.

Le jeu est court, mais intense. L'univers est riche également, un plaisir à parcourir et vouloir trouver les différents livres (in game) pour en apprendre plus. J'ai moins aimé la fin du 3e CD, donjon linéaire avec combat obligatoire, ça n'augurait rien de bon pour le donjon final mais ils ont bien rattrapé le coup je trouve.

Le jeu est très très facile, mais ça ne m'a pas trop dérangé finalement. C'est juste un peu dommage de ne pas être sollicité plus que ça à utiliser l'ensemble du gameplay qui est excellent (les différentes formes du dragon, les nombreuses techniques "berserk" et les mods du flingues).

J'ai été assez surpris de trouver un doublage original, et ce n'est pas plus mal. Et autant de cinématiques 3D et de dialogues doublés.

Dommage que techniquement c'est si mal vieillit. Qu'Edge (le héros) soit si lourd à manier dans ces déplacements en ville. Et que le bestiaire ne soit pas plus fourni, c'est bien là les trois gros défauts que je trouve à ce jeu.


Persona 5 play4
Bahamut-Omega

le 08/05/2017
9
J'ai finis Persona 5 sur Ps4 en 83 heures.

Là aussi je n'ai pas grand chose à dire, car même si ce sont mes premiers pas sur cette saga, je rejoins l'avis général sur le jeu: il est excellent !

C'est vrai que l'écriture "shounenesque" est dommageable. Pour un jeu qui se veut anti-conformiste, il cumule les stéréotypes autour des personnages et sur des sujets sociétaux. Peut-être pour se différencier des Shin Megami Tensei aux ambiances, à priori, plus sombres et plus matures ?
Mais à défaut d'avoir une narration originale ou plus recherchée, l'aventure typée "manga pour ado" est plutôt sympa à suivre malgré tout.

À coté de ça, on a quand même une pépite à portée de main. Que ce soit au niveau de la réalisation, de l'ensemble de son gameplay, de la direction artistique, de l'OST, et du contenue.

Pas sûr pour autan de jouer aux épisodes plus anciens qui semblent plus archaïques et exigeants dans la gestion de la vie sociale (sans parler du coté D-RPG que je n'aime pas vraiment). Mais j'ai hâte de commencer un second run sur ce jeu. Et j'attendrai Persona 6 avec impatience si cette formule et renouvelée et améliorée.
Romancing Saga 3 snes
Bahamut-Omega

le 22/07/2014
9
Finis Romancing SaGa 3 en 42 heures, avec Julian comme héros, et mini jeux de trader fait.

Quelle aventure !
Je vais commencer par les évidences, premièrement c'est magnifique ! La SFC crache ces tripes, tout comme avec Seiken Densetsu 3. Les décors sont sublimes, variés très détaillés et les animations en combat sont belles et fluides.

L'OST aussi est du même niveau, surtout les thèmes de combats.

Le gameplay est génial et archi-complet, il faudrait des pages entières pour en expliquer les subtilités. En vrac :
De très nombreux personnages, il y en a pour tous les goûts que ce soit en termes de chara design ou en termes de style de combat.
En combat cinq persos à contrôler de deux façons différentes.
Des formations de combats avec leurs points forts et points faibles.
Un système d’évolution assez original repris de… Final Fantasy II. Mais pas besoin de vous enfuir en Serbie à l’entente de ce nom, car le système a été amélioré, ici les stats ne peuvent pas baisser.
Un apprentissage de techniques qui se fait pendant les combats. Techniques qui sont très nombreuses et variées, avec beaucoup de spécificité contre tel ou tel type d’ennemis.
Et surtout une difficulté très corsée pour profiter de l’entièreté de ce gameplay.

Mais tout n’est pas parfait.
Déjà l’histoire, sortie de l’introduction des huit héros, il n’y a pas grand-chose d’autres.
Et les 22 autres persos n’ont pas grand-chose à dire et à faire, une fois qu’on les a aidés dans leurs quêtes, ils acceptent de nous aider, c’est tout… Difficile donc de s’attacher à ces nombreux personnages presque anonymes (certains le sont même) contrairement à un Final Fantasy VI ou Rudora no Hihou à moindre mesure.

Et la progression est un calvaire. Sans réel scénario pour nous guider on est lâché en pleine nature et on doit se débrouiller pour trouver des alliés et des quêtes réalisables à notre niveau. Le jeu est très court mais on perd pas mal de temps à trouver le bon cheminement. Seul les plus motivé trouveront le courage de progresser dans le jeu (sans soluce) pour arriver à des boss de fin presque impossible à vaincre sans bon équipements, techniques et suffisamment de HP, et voir ne fin très quelconque.

Le jeu est donc à faire pour profiter de la réalisation exceptionnelle, de l’excellent gameplay assez original sur certains points, et pour le challenge.
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