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175 commentaires
Final Fantasy VI snes
Herbrand

le 31/10/2012
Edité le 13/11/2012
9
+ Un savant mélange de technologie et de magie
+ Scénario très abouti
+ Les protagonistes attachants et variés, tant du côté allié qu'ennemi
+ Un grand nombre de personnages jouables, chacun possédant ses caractéristiques uniques
+ Bande son mémorable
+ Une des meilleures réalisations artistiques et graphiques sur SNES

- Un taux de combat aléatoire un peu trop élevé qui casse le rythme du jeu et génère un soupçon de lassitude
Final Fantasy VI play
Herbrand

le 31/10/2012
Edité le 02/12/2012
9
+ Un savant mélange de technologie et de magie
+ Scénario très abouti
+ Les protagonistes attachants et variés, tant du côté allié qu'ennemi
+ Un grand nombre de personnages jouables, chacun possédant ses caractéristiques uniques
+ Bande son mémorable
+ Une des meilleures réalisations artistiques et graphiques sur SNES

- Un taux de combat aléatoire un peu trop élevé qui casse le rythme du jeu et génère un soupçon de lassitude
- La version PS1 dispose de temps de chargement beaucoup trop importants. Ce problème est relativement réduit quand on y joue via le POPSloader de la PSP.
Final Fantasy VIII play
Herbrand

le 30/12/2011
Edité le 28/05/2012
9
Autant l'affirmer dès l'entrée, mon opinion relative à Final Fantasy VIII se résume à de multiples retournements de vestes. Après une aventure vécue avec passion en 1999, une seconde tentative m'avait complètement fâché avec ce titre, principalement dû au fameux paradoxe que connait le système d'évolution, paradoxe selon lequel il est préférable de ne pas monter de niveau pour terrasser plus facilement ses ennemis. Je ne manquais cependant pas de reconnaître une nouvelle fois ses qualités tant scénaristiques que techniques.

Mais voilà qu'une troisième tentative, durant laquelle la pression d'optimisation des statistiques a été légèrement revue à la baisse, m'a permis de trancher. Final Fantasy VIII, c'est un savant mélange d'action et de romance, de classique et de moderne, de révélations et de mystères. Son gameplay, une fois maitrisé, se révèle être l'un des plus passionnants qu'il m'ait été donné d'entrevoir dans un RPG. Si le vol de magie peut sembler pénible à première vue, on se prend rapidement au jeu de chercher et obtenir les magies les plus rares dès que possible... à condition de ne pas tomber dans l'excès !

Au final, les 52 heures passées pour cette nouvelle partie m'auront permis de redécouvrir un scénario tendre et captivant, un gameplay recherché et débordant de possibilité et le plaisir de revivre cette aventure d'exception. Je ne peux m'empêcher de considérer ce chef-d'oeuvre comme l'une des meilleures pièces d'une époque lointaine et regrettée.

+ Un très bon scénario empli de mystères, alternant différentes ambiances et émotions
+ Un gameplay aux possibilités nombreuses (les associations)
+ Aucun temps mort
+ Un donjon final d'exception
+ Un émouvant duo de protagonistes (Linoa !)
+ Graphiquement et musicalement très réussi pour l'époque

- Incohérences de gameplay (pourquoi un système d'évolution basé sur le passage de niveau si les combats se révèlent plus aisés lorsqu'on ne monte pas de niveau ?)
- Certaines révélations scénaristiques insolites (les pertes de mémoire, Norg, ...)
- Aucune différence entre les personnages au combat, si ce n'est leur limit break
- Le scénario étant principalement axé sur le couple Squall/Linoa, on en vient rapidement à trouver les autres personnages jouables inutiles.
Final Fantasy X play2
Herbrand

le 24/06/2013
9
FFX nous conte une histoire émouvante, très centrée sur l'émotion ressentie par les protagonistes. Si le système de combat revient à un tour par tour presque classique, par opposition au bien connu système ATB, le sphérier apporte une dimension stratégique très appréciable dans la gestion de l'évolution de nos combattants. Outre la réalisation bluffante pour l'époque, on peut également le louer pour être l'un des J-RPG sur console les plus fournis en terme de contenu.
Final Fantasy XIV: A Realm Reborn play3
Herbrand

le 29/12/2013
Edité le 24/02/2014
9
+ MMORPG très flexible ne forçant pas à un investissement colossal
+ Farming délaissé au profit d'un ensemble de quêtes plutôt conséquent
+ Système de classes permettant au joueur de passer instantanément de l'une à l'autre
+ Diversité dans la manière de jouer les différentes classes
+ Un scénario principal présent tout au long de l'aventure et qui, s'il n'est pas excellent dans l'absolu, est bien au-dessus de celui des autres jeux de ce type et propose son lot de moments épiques.
+ Crafting amusant
+ De nombreuses facilités offertes pour diminuer au maximum la frustration que pourrait ressentir le joueur.

- La trop petite part laissée à l'exploration. Tous les donjons sont accessibles uniquement en instance et les zones explorables sont en nombre relativement restreint.
- Quelques défauts de jeunesse qui seront très certainement corrigés à l'avenir et dont certains ont déjà été corrigés dans la version 2.1 "A Realm Awoken".
Final Fantasy XIV: A Realm Reborn pc
Herbrand

le 02/06/2015
9
+ MMORPG très flexible ne forçant pas à un investissement colossal
+ Farming délaissé au profit d'un ensemble de quêtes plutôt conséquent
+ Système de classes permettant au joueur de passer instantanément de l'une à l'autre
+ Diversité dans la manière de jouer les différentes classes
+ Un scénario principal présent tout au long de l'aventure et qui, s'il n'est pas excellent dans l'absolu, est bien au-dessus de celui des autres jeux de ce type et propose son lot de moments épiques.
+ Crafting amusant
+ De nombreuses facilités offertes pour diminuer au maximum la frustration que pourrait ressentir le joueur.

- La trop petite part laissée à l'exploration. Tous les donjons sont accessibles uniquement en instance et les zones explorables sont en nombre relativement restreint.
- Le end game très axé sur le farming des mêmes donjons
Final Fantasy XIV: Heavensward pc
Herbrand

le 13/10/2015
9
Je pense enfin avoir assez tâté de cette première extension / troisième version de FFXIV pour donner mon avis.

+ L'épopée (quête principale) de l'extension a une ambiance bien plus sombre que celle des versions précédentes, à l'image de la ville hivernale d'Ishgard qui met en évidence pauvreté, guerre, corruption et famine.

+ Les nouvelles zones sont magnifiques, et le sont encore plus lorsqu'on les survole à dos de dragon volant ou d'aircraft.

+ Trois nouvelles classes, une pour chaque rôle, qui pour ce que j'en ai vu ont leur propre identité et fonctionnement.

+ Augmentation du niveau maximal et ajout de nouveaux skills pour les anciennes classes. Dans mon cas les ajouts sont bienvenus et offrent de nouvelles possibilités intéressantes. Pour d'autres (Black mage et Bard en tête) ça semble être une vraie catastrophe.

+ L'ancien contenu peut être revisité dans des conditions nouvelles. Par exemple, vous pouvez revivre d'ancien donjons / défis / raids avec une équipe réduite ou avec une synchronisation au niveau minimum pour ces combats, ce qui offre bien plus de liberté et permet, si on le souhaite, de retrouver du challenge.

- Post-game très orienté farm, encore plus que dans la version précédente.

- Le nouveau raid (Alexander) qui remplace l'ancien (Bahamut) est proposé en deux versions : la normale, dont la difficulté est très inférieure à celle de Bahamut à l'époque, et la version sadique, destinée aux hardcore gamers. Si cela permet à tous de découvrir l'histoire associée au raid (qui n'est pourtant pas des plus intéressantes), elle revient quelque part à supprimer un type de contenu qui motivait la "classe moyenne" des joueurs à venir chaque semaine sur le jeu pour tenter d'avancer dans ce raid. C'est, à mon sens, une énorme erreur, qui a conduit plusieurs habitués que je connais à abandonner le jeu. J'aurais d'ailleurs fait comme eux si je n'avais pas eu d'autres motivations à continuer le jeu.

En conclusion, l'extension est de très bonne qualité. Si je déplore les choix de progression dans le post-game, je garde espoir que cela soit rectifié dans les prochaines mises à jour qui pourraient proposer du contenu de difficulté adaptée, comme on en avait dans la précédente version.
Final Fantasy XIV: Stormblood play4
Herbrand

le 03/01/2018
9
FFXIV continue sur la lancée de son extension précédente pour nous proposer un contenu agréable mais prévisible. Peu de changements notables sur la structure du contenu en tant que tel. A noter tout de même un léger remaniement du système de combat, qui le rend plus accessible à la manette.
Octopath Traveler nxn
Herbrand

le 19/05/2020
9
Un JRPG classique avec des combats au tour à tour et un job system bien implémenté. J'ai particulièrement apprécié l'évolution du gameplay: d'abord chacun son job, puis les secondary jobs qui rendent progressivement possibles les clones, et enfin les advanced jobs qui forcent à penser l'équipe comme un tout; surtout pour le combat final, d'ailleurs. Au final le système est très riche et autorise les créations de builds originaux. Globalement, le jeu peut être challenging ou extrêmement aisé, suivant si vous abusez ou non des actions uniques des protagonistes.

La bande-son est top, tout comme la DA (j'ai juste trouvé que le rendu était trop pixelisé à mon goût en mode docked, alors qu'en portable il est très joli). Il ne faut pas s'attendre à une grande épopée historique, mais à 8 petites histoires individuelles apparemment sans lien, mais somme toute assez agréables à suivre. Ce n'est que dans les chapitres finaux et surtout le post-game (juste avant le true end boss) que les liens vont se tisser jusqu'à former un tout cohérent. C'est un peu dommage que cela soit révélé de façon anecdotique mais j'ai, au final, bien apprécié la trame de fond.
Persona 3 play2
Herbrand

le 11/12/2012
9
Voici le RPG qui m'aura le plus émerveillé durant l'ère de la PS2. Tout d'abord, Persona 3 offre une double expérience : durant le jour, le joueur simule la vie d'un lycéen faisant face aux relations avec son entourage, à la manière d'un sim-dating ; la nuit, c'est accompagné de ses amis et ses personas qu'il grimpe les étages d'un donjon horrifique. Ces deux facettes offrent une liberté de gameplay très appréciable, permettant de choisir à tout moment laquelle on souhaite explorer.

Outre l'originalité du titre, il faut également souligner le scénario tenant en haleine au fil de l'année (virtuelle) qui s'écoule, l'ambiance générale du titre, l'OST aussi mémorable qu'originale, ainsi que les systèmes de combat et de fusion de Persona.

Bien que long et, au final, répétitif dans sa structure, les points ci-dessus, plus particulièrement la liberté dans le gameplay, empêchent toute lassitude. Persona 3 est indéniablement une oeuvre comme on en rencontre peu.
Tactics Ogre: Let Us Cling Together psp
Herbrand

le 09/08/2012
Edité le 18/06/2014
9
La grande révélation de 2011. Tactics Ogre est un T-RPG avec un scénario incroyable, avec un background immense et truffé de personnalité. Les différents choix (dont certains sont extrêmement importants) pendant le jeu fournissent une grande replay-value, pour une durée de vie déjà colossale de base. Les émotions ressenties lors de certaines scènes sont indescriptibles. Concernant le gameplay, on notera un système de classes intéressant et de nombreuses possibilités de personnalisation (via équipements et skills). On regrette cependant un grinding conséquent et laborieux sur la fin du jeu, surtout pour les classes obtenues récemment.

+ Scénario et mise en scène
+ Variété du gameplay
+ Durée de vie et replay-value
+ Design globalement sympathique
+ Bonne OST

- Grinding et farming laborieux
The Legend of Heroes: Ao no Kiseki psp
Herbrand

le 02/07/2020
9
Le meilleur épisode Kiseki arrivé à cette étape de la chronologie, bien devant son prédécesseur (zero) et même légèrement devant la trilogie Sky.

Scénaristiquement, on est à un tournant de l'épopée de cet univers génial et le jeu nous le fait bien ressentir. Certains plot twists locaux à la duologie sont également bien amenés, répondant par exemple à une interrogation que je me posais vis-à-vis de la première scène de Zero. Tournant oblige, on (re)découvre des PNJ emblématiques qui contribuent à développer substantiellement la trame de fond. Le jeu est riche en révélations et dynamique dans son déroulement, contrairement à d'autres épisodes qui bondissaient réellement dans leurs dernières heures. Ici, Ao nous tient complètement en haleine du début à la fin. Le seul point noir réside finalement dans la comparaison avec Sky 1 et 2, où l'on perd un peu le côté émotionnel que dégageait continuellement le couple Estelle/Joshua. Même si certains protagonistes d'Ao sont attachants, on reste loin du duo de Liberl.

Niveau gameplay, Ao conserve et étend le système des épisodes précédents. Mais surtout il équilibre beaucoup mieux les personnages jouables, évitant à la fois les persos et skills (crafts, en particulier) complètement pétés.
The Legend of Heroes: Trails In The Sky psp
Herbrand

le 23/02/2016
9
"Trails in the Sky, ou comment tomber sous le charme d'un RPG dès les deux premières minutes."

Je n'ai pu m'empêcher d'exprimer ce sentiment il y a un mois, à l'entame de ce qui m'apparaissait pouvant être un grand jeu. Falcom est parvenu à m'ensorceler en moins de temps qu'il ne m'a fallu pour télécharger et installer le jeu. Ça commence dès l'écran titre, où une musique enchanteresse et pleine d'aventure nous accueille. C'est néanmoins quelques instants après que les griffes se referment, lorsque nous rencontrons pour la première fois les deux protagonistes de notre voyage : Estelle et Joshua. Alors que l'on aurait pu assister à l'introduction banale d'une énième répétition des clichés du J-RPG dans toute leur splendeur, on est plutôt confronté directement à une héroïne soupe au lait et diablement attachante, ainsi qu'à un héros mystérieux mais tombant, comme nous, immédiatement en affection pour sa future compagne de voyage. Cette scène n'est que la première pierre à l'édifice de la relation particulière qu'ils vont entretenir au fil de l'aventure. A la frontière entre la fraternité, l'amitié et l'amour, sans pour autant tomber dans la simplicité et la niaiserie, les sentiments réciproques des deux comparses constituent l'un des piliers qui rendent TitS si particulier.

Un second est le soin, le souci du détail et le réalisme apporté aux dialogues. Je n'ai pas souvenir d'avoir vu ça dans un autre jeu du même genre. Chaque interaction, de la plus simple quête Fedex à la plus grande révélation du scénario, donne droit à une réplique naturelle des protagonistes. On pourrait accuser les scénaristes d'être trop bavards dans des dialogues prétendument inutiles ; au contraire, ils ont rendu l'histoire d'Estelle et Joshua extrêmement vivante, ce qui justifie amplement l'envie d'en voir davantage.

Heureusement d'ailleurs, car en contrepartie le scénario du jeu met énormément de temps à décoller et n'atteint jamais les sommets de l'epicness ... avant les cinq dernières minutes de la dernière scène. Les deux premiers tiers du jeu sont dédiés uniquement à nous faire vivre le pèlerinage d'Estelle et Joshua, l'évolution de leur relation, et leur rencontre avec les autres personnages importants de l'univers. Ce n'est qu'après près de trente heures au compteur que les mailles du filet vont se refermer et que le rythme va s'intensifier. On peut donc aisément comprendre certains détracteurs qui accusent ce premier opus de la trilogie de n'être qu'une introduction bavarde. Néanmoins, si j'ai effectivement ressenti un inévitable coup de mou vers la moitié de ma partie, les importantes qualités du titre combinée à un gameplay très agréable m'ont empêcher de ne fut-ce qu'envisager de m'arrêter.

TitS (First Chapter) restera un excellent souvenir d'un RPG très classique mais ô combien envoûtant. J'ai de grandes attentes pour sa suite qui, je l'espère, gardera les qualités de son prédécesseur tout en comblant son (unique ?) défaut.
The Legend of Heroes: Trails In The Sky SC psp
Herbrand

le 04/10/2016
9
Suite directe de Trails in the Sky premier du nom, ce second chapitre débute quelques mois après les évènements qui ont clôturé son prédécesseur. Après une gentille réintroduction, on se retrouve à arpenter les différentes régions de Liberl afin d'y élucider différents mystères, non sans lien avec les questions soulevées à la fin de First Chapter. Durant son périple, on effectue de nouvelles rencontres tout en revoyant des visages bien connus et familiers.

Premier fait marquant : j'ai eu le plaisir de pouvoir commencer Second Chapter quelques mois après FC. Je me souvenais donc parfaitement de certains personnages (notamment Ovide, le business man imbuvable) tandis que d'autres m'étaient complètement sortis de la tête. Force du hasard ou cohérence parfaite, ce fût également le cas de notre héroïne. Son souvenir dépend bien évidemment de ce que vous aurez accompli dans la première partie de la trilogie. Quoiqu'il en soit, cette partialité du souvenir donne un air très naturel au titre de Falcom.

Paraître naturel, voilà bien l'une des forces majeures du jeu, et plus généralement de la série. Je me suis étonné à maintes reprises à quel point tout cela semblait vrai, sans artifice, sans exagération. Bien entendu, TiTS transpire de fantasy et d'éléments shonen comme on en trouve dans de très nombreux J-RPG classiques. Néanmoins, nombre de ses caractéristiques forment un parfum unique qui le démarque de la masse. On citera, à titre d'exemple et en premier lieu, la densité et la qualité d'écriture toujours aussi démentielles, appliquées à l'ensemble des (nombreux) personnages, qu'ils soient jouables ou non, essentiels ou secondaires. Par ailleurs, profitant du background introduit dans FC, SC accorde un temps de scène substantiel à bon nombre de protagonistes, ce qui contribue largement au rythme et à l'intensité de l'aventure. Sans tous ces éléments le rythme aurait été vallonné ; mais dans ces conditions, SC nous tiendra en haleine durant la bonne cinquantaine d'heures nécessaires pour en voir le bout. En tout état de cause, SC reste bien plus intense que son prédécesseur, comme on aurait pu l'attendre d'une bonne suite qui n'a plus à introduire un background aussi immense.

Côté gameplay, SC reprend avec très peu de changements l'ensemble du système introduit par FC. La seule nouveauté réside dans l'introduction des quartz (materia) et orbment slots de niveau 2 et 3. Le reste est l'image exacte du précédent opus, ce qui n'est pas plus mal étant donné que chaque mécanique semble pensée pour ne jamais frustrer le joueur, à l'inverse des RPG ancestraux les plus féroces. Sans exhaustivité, on cite l'absence de combat aléatoire, la possibilité d'éviter tous les combats mineurs, la sauvegarde où et quand on veut, le retry en cas de défaite et l'expérience gagnée proportionnellement à la différence de niveau entre les monstres vaincus et nos combattants.

Le casting, toujours aussi attachant, est complété par quatre nouveaux membres qui s'intègrent parfaitement au groupe. Il est juste dommage que trois d'entre-eux ne sont définitivement accessibles qu'à la toute fin du jeu ; on peut donc considérer qu'il n'y a qu'un seul véritable nouveau personnage jouable. Celui-ci est fort heureusement le plus intéressant, tant pour sa personnalité que ses aptitudes.

Enfin, l'OST est en grande partie (voire en totalité, je ne saurais le dire) reprise de FC et conserve donc sa qualité d'antan.

La conclusion, sans grande surprise, est que Trails in the Sky: Second Chapter m'a complètement conquis. Il constitue, à mon sens, l'incarnation parfaite du J-RPG classique dans tous ses aspects, bien qu'il n'est sans doute ni le meilleur dans tous les domaines ni le plus innovant. Il est également à déconseiller aux joueurs qui ne supportent pas le classicisme extrême, et à ceux qui préfèrent une narration straight to the point à un océan de dialogues. N'en faisant pas partie, je ne peux qu'applaudir des deux mains et remercier Falcom de l'avoir développé et Xseed de l'avoir localisé. Vivement Third Chapter (je rêve), ou à défaut que je mette à Trails of Cold Steel.
The Witcher 3: Wild Hunt play4
Herbrand

le 21/01/2019
9
Un univers, une ambiance et une narration incroyables. Ça fait vraiment du bien d'avoir enfin des quêtes annexes scénarisées qui évitent de tomber dans du fedex ennuyeux. Je dirais que le jeu souffre de deux défauts qu'on oublie très facilement à côté de ses grandes qualités :

- Les combats ont peu de saveur. Ça n'est pas mauvais, c'est même plus que correct, mais rien d'exceptionnel et ça en devient redondant. Même les boss sont plutôt ennuyeux.

- La quête principale est meh, surtout à Novigrad et Skellige. Il y a de bons moments, mais dans l'ensemble rien de très passionnant. Les quêtes annexes, surtout celles liées aux personnages clefs de l'histoire, rattrapent largement le coup.
The Witcher 3: Wild Hunt - Hearts of Stone play4
Herbrand

le 19/05/2020
9
Bonne extension dans la lignée du jeu principal. L'histoire est courte mais plutôt intense, avec son lot de personnage mémorable et un combat final épique et original.
Valkyrie Profile play
Herbrand

le 10/04/2013
Edité le 31/07/2014
9
Valkyrie Profile est un incontournable de l'ère PlayStation, principalement de part son univers et son intrigue si particulier. Ses seuls défauts sont (1) l'obligation d'obtenir la meilleure fin pour profiter pleinement du scénario et (2) une certaine répétitivité dans la progression.
Valkyrie Profile: Lenneth psp
Herbrand

le 10/04/2013
Edité le 31/07/2014
9
Valkyrie Profile est un incontournable de l'ère PlayStation, principalement de part son univers et son intrigue si particulier. Ses seuls défauts sont (1) l'obligation d'obtenir la meilleure fin pour profiter pleinement du scénario et (2) une certaine répétitivité dans la progression.

A noter que le portage PSP souffre de temps de chargement assez importants. La version PS1 est à préférer.
Breath of Fire IV play
Herbrand

le 26/10/2012
Edité le 13/11/2012
8
+ Très bon casting, Fou-Lu en tête
+ Scénario permettant d'observer deux points de vue différents sur la même polémique, qui sous-tend la propre réflexion du joueur quant à son opinion, et au final les choix qu'il effectue
+ Réalisation graphique très agréable à l'oeil

- Rythme irrégulier
- Beaucoup de déjà vu pour les habitués de la série
- Caméra agaçante
Castlevania: Symphony of the Night play3
Herbrand

le 07/03/2016
8
Mon premier véritable Castlevania. Le choix de cet épisode n'est pas anodin : on me l'a souvent annoncé comme étant le premier à mêler des aspects RPG à la série déjà bien connue, devenant un véritable précuseur d'un genre nouveau.

Effectivement, on ressent très vite que l'on a devant soi un ancêtre dont les fondements sont encore d'actualité à nos jours. Je n'ai pu m'empêcher de faire de nombreux parallèles avec la série Souls notamment. En SotN, j'ai retrouvé le plaisir de l'exploration et le stress devant les boss que j'ai ressenti lors de ma première partie à Dark Souls. J'ai glorifié le système de levelling up qui me fournissait une assistance plus qu'appréciable lors de certains combats. Néanmoins, plus on avance et plus on se sent invincible, entre la vie qui augmente et les équipements complètement craqués que l'on acquiert dans les derniers moments d'exploration.

Au niveau de l'histoire, si Alucard est un protagoniste d'une grande classe, je regrette beaucoup que la lore ne soit que trop peu présente. Les thèmes de la bande son et l'ambiance générale compensent quelque peu ce manquement.

La plus grande surprise du jeu vient indiscutablement de la seconde moitié du jeu, laquelle n'est accessible qu'en explorant de fond en comble le château de Dracula. Excité de repartir à l'aventure suite à cette tournure originale, j'ai quelque peu déchanté par après : le level design de cette seconde zone n'est pas si malin que ça ; on voit clairement que la plupart des pièces n'est pas aussi bien pensée qu'on aurait pu si attendre. Par exemple, on se retrouve ainsi très souvent obligé de passer une zone en forme bat / mist car les zones surélevées ne sont pas accessibles en sautant. On devient également rapidement trop puissant, au point que les boss deviennent une formalité, moins dangereux que les autres monstres, et présentent peu d'intérêt (à l'exception de l'un ou l'autre comme Beelzebub ou Galamoth). Cela n'empêche pourtant pas de prendre du plaisir à redécouvrir certaines zones et acquérir de nouveaux équipements qui vont largement contribuer à la montée en puissance de notre héros vampire, lui permettant de tout terrasser sur son passage.

Ce fût au final une belle découverte rétro et une excellente introduction à une série culte.
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