Alchemist Marie & Elie: Futari no Atelier
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Alchemist Marie & Elie: Futari no Atelier
Si Dieu n'existe pas, alors nous le créerons !
SaGa est assurément l'une des séries de RPG les plus célèbres. Pour autant, cela ne signifie pas qu'elle est accessible, et son éditeur, à la fois prestigieux et tout public, ne doit pas laisser penser qu'il s'agit d'une série revisitant les éternels poncifs posés par les maîtres du genre et par leurs épisodes successifs. SaGa invente dès ce premier épisode, sorti à l'origine sur GameBoy et qui est complètement rehaussé à travers une version en couleurs. On se doute qu'il s'agit là d'une relique, mais y pénétrer relève-t-il seulement d'une leçon d'archéologie ou peut-on encore prendre du plaisir à parcourir cette aventure ?
Saga Tower
Au centre du monde se trouve une tour que les aventuriers de tous horizons tentent de gravir pour atteindre Dieu, ou bien le Paradis. C'est l'occasion pour vous de choisir une race parmi les quatre disponibles, ainsi qu'un sexe. Ce choix n'est pas anodin puisque les différentes races ont chacune un système de progression très différent : si les espers (aucun lien) progressent selon un schéma classique (quoique ce soient les statistiques qui augmentent, et non une barre d'expérience), il n'en va pas de même pour les humains qui ne progressent pas au cours des combats : il faut leur acheter de quoi augmenter leurs statistiques (ils compensent par une capacité à porter beaucoup d'équipements - ce qui a son importance vu que les armes se cassent et que les sorts sont limités). Les monstres, quant à eux, doivent dévorer des restes d'ennemis pour évoluer. Ce système en apparence séduisant crée néanmoins un déséquilibre puisque le jeu est largement plus aisé avec la race la plus classique : les espers.
Différentes manières de jouer s'offrent à vous afin de pénétrer dans la Tour, après avoir bien sûr récupéré quelques artefacts en parcourant le premier monde, afin d'ouvrir la fameuse porte menant dans les entrailles de l'édifice, après avoir aussi pris soin de recruter (selon les mêmes critères que pour le personnage principal) trois alliés à la guilde la plus proche.
Une île flottante
Il faut quelques heures pour prendre la mesure des combats, difficiles en apparence et présentés à la façon de Dragon Quest. Cependant, le levelling n'est pas très long et les personnages (en particulier les espers) montent rapidement : il est facile de se retrouver très fort, pour peu que vous gardiez un œil sur vos armes et vos sorts afin de ne pas vous trouver dans l'obligation de rebrousser chemin parce que vous êtes tout nus. Le jeu n'est vraiment pas très long (nous verrons malheureusement qu'il s'agit presque d'une qualité) et c'est dès le deuxième monde qu'il est temps de remarquer que la bande-son, expressive malgré les maigres capacités du support, est particulièrement répétitive. N'espérez pas retrouver la variété d'un épisode de Final Fantasy.
Ciel ! Ma WonderSwan !
La progression scénaristique se compose de parties dans la tour - durant lesquelles il faut grimper et défier des monstres jusqu'à arriver à une porte close nécessitant l'usage d'un cristal qui n'est bien sur pas en votre possession - et de parties dans des mondes ouverts : arrivé au troisième, faisons le point sur les graphismes. Nous sommes peu habitués à la WonderSwan Color, qui a eu une réputation de prestige plus que de fait sous nos latitudes (officiellement, ce SaGa n'est d'ailleurs jamais sorti du Japon mais un patch anglais permet aux moins orientalistes d'entre nous de s'en sortir). Il faut imaginer une toute petite GBA : le jeu est honorable et les ennemis sont variés et relativement détaillés. Il y a un monde entre cette version et l'originale (d'ailleurs présente sur la cartouche), mais ce ne sont pas non plus les graphismes qui feront de ce jeu une légende.
Ce qu'il reste des Mondes.
Le quatrième monde est poussif : la fréquence des combats (parfois insupportable) a ici un effet horripilant et le jeu se complique tout d'un coup, tant au point de vue des combats que de l'exploration (que de passages cachés et obligatoires dans l'ultime tour de ce monde). Il est nécessaire de bien repérer l'auberge la plus proche (chaque HP vaut 1 pièce), de repérer aussi ce curieux magicien qui se trouve dans les villes et qui permet de ranimer - en échange d'un cœur - un personnage mort (les cœurs peuvent heureusement être achetés en boutique, puisqu'ils ne sont qu'au nombre de trois ar personnage au départ) et d'acheter de grosses armes. C'est à cette occasion aussi, pour peu que vous fassiez usage des magiciens, que vous découvrirez l'utilité des sorts "Mort" et "Pierre" qui, dans ce jeu... fonctionnent !
Reste que cette succession de mondes ouverts servant de paliers à la tour offre l'immense avantage de proposer des ambiances variées et une multitude de personnages (par contre développés au minimum), de villes, de moyens de transports (une île ou une moto, par exemple). On ne peut qu'apprécier cette volonté de ne pas avoir limité le jeu à cette tour centrale qui, finalement, n'occupe pas la majorité du temps de jeu.
Il est difficile de noter un jeu comme ce premier épisode de SaGa, parce que même si les rides se lisent à chaque trait de son système (que ce soit dans l'enrobage technique ou dans le système de jeu, bien pensé mais néanmoins mal équilibré), il faut en admirer l'inventivité. Il n'en reste pas moins que, sauf à vouloir découvrir les origines d'une série qui n'aura eu de cesse d'expérimenter et de s'adresser à des joueurs patients, nombre de joueurs risquent fort de ne pas monter jusqu'au bout de la tour, tant le jeu dévoile à peu près toute sa richesse dès le deuxième palier, et ne cesse plus ensuite de se répéter. Gageons que le rebondissement final et la faible longueur de l'aventure sont néanmoins des arguments qui devront inviter les plus courageux à se montrer dignes de ce défi.
Et bien à mon tour de dire que je viens de finir FF7 Rebirth en 76h sur PS5
Bon j'ai enchainé FF7 Remake, Intergrade et Rebirth à la suite donc mon avis est peut être à prendre avec ce recul.
J'ai aimé l'expérience de ce FF7 Rebirth au niveau de l'histoire et du rythme on s'y retrouve beaucoup plus que dans FF7 Remake. J'ai aimé les sides quests comme celle sur le Queen's Blood ou le fait d'avoir la back story de chaque personnage bien détaillée. Ca fait plaisir de se replonger dans l'univers de chaque personnage.
Contrairement à Ragna, le côté mini jeu m'a plu j'ai pris plaisir à jouer à Fort Condor, à faire le Queen's Blood, alors certes certains mini jeux sont justes nazes et on retombe dans le travers avec beaucoup trop de QTE à la con (pour les invocations, pour les spots à rechercher). Ce jeu est trop généreux par moment et à vouloir épaissir la sauce on tombe dans le travers de FF7 Remake. D'ailleurs la partie Open World soyons franc est naze, on a jamais la sensation de découverte et d'espace comme Zelda Switch ou Xenoblade Chronicle X, non on est loin de tout ça.
Mais j'ai aimé ce FF7 Rebirth sur l'histoire, j'avais envie de suivre, de voir le traitement différent qu'ils ont fait, de savoir si Aerith va être vivante à la fin, quel est le traitement de Zack dans tout ça et si les Turks sont toujours aussi badass etc
Bref je mentirai en disant que j'ai pas aimé le jeu pour le scénario. Je l'ai apprécié aussi pour ses musiques, ses graphismes (je suis pas un habitué des jeux PS5 donc ça ne me choque pas).
Alors oui je ne suis toujours pas fan de ce système de combat qui essaie de faire un entre 2 mais bon c'est mon côté vieux con, et je dois dire qu'il est quand même bien plus intéressant que FF7 Remake.
Bref je lui mets un 7 du coeur, il a des gros défauts mais ça reste un gros FF, un de ceux qu'on a envie de se lever plus tôt pour y jouer, qui nous fait vibrer et je serai là pour l'épisode 3 bien sûr.
Et bien à mon tour de dire que je viens de finir FF7 Rebirth en 76h sur PS5
Bon j'ai enchainé FF7 Remake, Intergrade et Rebirth à la suite donc mon avis est peut être à prendre avec ce recul.
J'ai aimé l'expérience de ce FF7 Rebirth au niveau de l'histoire et du rythme on s'y retrouve beaucoup plus que dans FF7 Remake. J'ai aimé les sides quests comme celle sur le Queen's Blood ou le fait d'avoir la back story de chaque personnage bien détaillée. Ca fait plaisir de se replonger dans l'univers de chaque personnage.
Contrairement à Ragna, le côté mini jeu m'a plu j'ai pris plaisir à jouer à Fort Condor, à faire le Queen's Blood, alors certes certains mini jeux sont justes nazes et on retombe dans le travers avec beaucoup trop de QTE à la con (pour les invocations, pour les spots à rechercher). Ce jeu est trop généreux par moment et à vouloir épaissir la sauce on tombe dans le travers de FF7 Remake. D'ailleurs la partie Open World soyons franc est naze, on a jamais la sensation de découverte et d'espace comme Zelda Switch ou Xenoblade Chronicle X, non on est loin de tout ça.
Mais j'ai aimé ce FF7 Rebirth sur l'histoire, j'avais envie de suivre, de voir le traitement différent qu'ils ont fait, de savoir si Aerith va être vivante à la fin, quel est le traitement de Zack dans tout ça et si les Turks sont toujours aussi badass etc
Bref je mentirai en disant que j'ai pas aimé le jeu pour le scénario. Je l'ai apprécié aussi pour ses musiques, ses graphismes (je suis pas un habitué des jeux PS5 donc ça ne me choque pas).
Alors oui je ne suis toujours pas fan de ce système de combat qui essaie de faire un entre 2 mais bon c'est mon côté vieux con, et je dois dire qu'il est quand même bien plus intéressant que FF7 Remake.
Bref je lui mets un 7 du coeur, il a des gros défauts mais ça reste un gros FF, un de ceux qu'on a envie de se lever plus tôt pour y jouer, qui nous fait vibrer et je serai là pour l'épisode 3 bien sûr.
Technique : 7 à 7,5 (j'aime bien quand même) Bande Son : 8 Scénario : 7,5 Durée de vie : 8,5 à 9 Gameplay : 7 (- 1 pour le bugs et les combats pendant les énigmes)
Note % : 74
:!: EN CONSTRUCTION :!:
Technique : 7 à 7,5 (j'aime bien quand même) Bande Son : 8 Scénario : 7,5 Durée de vie : 8,5 à 9 Gameplay : 7 (- 1 pour le bugs et les combats pendant les énigmes)
Si Final Fantasy VII Rebirth reprend la formule de Final Fantasy VII Remake, il la fait considérablement évoluer.
Le système de combat reste à peu près le même à quelques nouveautés près, le moteur graphique reste sensiblement le même (et s'il étincelait sur PS4, il brille moins sur PS5 au regard des capacités de la machine), ce qui change surtout, c'est... l'immensité de la carte du monde et cette impression de liberté qui émane après le sentiment d'enfermement du FF7 Remake.
En effet, on a affaire ici à un pseudo monde ouvert, qui est en fait constitué de quelques gigantesques zones (régions), dans lesquelles on est lâché et que l'on peut explorer à sa guise. On trouvera également des "donjons" plus classiques qui permettent généralement de faire la transition entre deux régions.
Une autre nouveauté de cet opus, et qui respecte plutôt bien, à mon sens, l'héritage de FF7, est l'avalanche de mini-jeux.
Entre : les mêmes que FF7 Remake - les courses de moto G-Bike, Desert Rush, les squats - et les nouveaux - la capture des chocobos, les épreuves de vol en chocobo, les courses de chocobo, les courses de grenouilles, les courses de dauphin, les maisons mogs, le Queen's Blood (jeu de cartes), le piano, Fort Condor, le stand de tir, les wagons, le "Rocket League", les chasseurs de l'espace, la parade de Junon, Loveless, les combats 3D, Rouages et gambits, dégomme Pampas...
...ça nous fait plus de 20 mini-jeux !! C'est énorme, et c'est un peu trop, surtout que certains sont... dispensables on va dire. Mais je n'ai pas trop été dérangé par cette quantité de mini-jeux : j'ai passé du temps pour faire 100% sur ceux que je préférais (Queen's Blood, piano, courses de chocobo), j'ai délaissé les autres. Rien ne nous oblige, sauf à faire chaque mini-jeu une fois dans un mode facile.
Pour le reste, c'est du grandiose : les personnages sont approfondis, l'histoire est sublimée, les combats sont dynamiques, la durée de vie est gigantesque, l'exploration est chouette, le monde ouvert divise mais personnellement, j'ai trouvé ça bienvenu.
Bémol sur les voix françaises, et surtout celle d'Aerith que j'ai trouvé insupportable, si bien que j'ai switché sur les voix japonaises... ce qui m'a permis de découvrir qu'Aerith (Aeris, l'air) s'appelle en fait Earith (Earth, la terre) en japonais et c'est beaucoup plus logique.
Bémol également sur la région de Gongaga qui m'a saoûlé avec son exploration vraiment pas intuitive à cause des champignons.
Bon mais globalement, j'ai trouvé le jeu vraiment très bon. Je ne me suis pas ennuyé, j'ai trouvé du challenge, de l'exploration, des découvertes, une histoire renouvelée, et c'était vraiment une bonne expérience et une excellente suite à FF7 Remake.
Vivement la suite !
Surprenant !
Si Final Fantasy VII Rebirth reprend la formule de Final Fantasy VII Remake, il la fait considérablement évoluer.
Le système de combat reste à peu près le même à quelques nouveautés près, le moteur graphique reste sensiblement le même (et s'il étincelait sur PS4, il brille moins sur PS5 au regard des capacités de la machine), ce qui change surtout, c'est... l'immensité de la carte du monde et cette impression de liberté qui émane après le sentiment d'enfermement du FF7 Remake.
En effet, on a affaire ici à un pseudo monde ouvert, qui est en fait constitué de quelques gigantesques zones (régions), dans lesquelles on est lâché et que l'on peut explorer à sa guise. On trouvera également des "donjons" plus classiques qui permettent généralement de faire la transition entre deux régions.
Une autre nouveauté de cet opus, et qui respecte plutôt bien, à mon sens, l'héritage de FF7, est l'avalanche de mini-jeux.
Entre : les mêmes que FF7 Remake - les courses de moto G-Bike, Desert Rush, les squats - et les nouveaux - la capture des chocobos, les épreuves de vol en chocobo, les courses de chocobo, les courses de grenouilles, les courses de dauphin, les maisons mogs, le Queen's Blood (jeu de cartes), le piano, Fort Condor, le stand de tir, les wagons, le "Rocket League", les chasseurs de l'espace, la parade de Junon, Loveless, les combats 3D, Rouages et gambits, dégomme Pampas...
...ça nous fait plus de 20 mini-jeux !! C'est énorme, et c'est un peu trop, surtout que certains sont... dispensables on va dire. Mais je n'ai pas trop été dérangé par cette quantité de mini-jeux : j'ai passé du temps pour faire 100% sur ceux que je préférais (Queen's Blood, piano, courses de chocobo), j'ai délaissé les autres. Rien ne nous oblige, sauf à faire chaque mini-jeu une fois dans un mode facile.
Pour le reste, c'est du grandiose : les personnages sont approfondis, l'histoire est sublimée, les combats sont dynamiques, la durée de vie est gigantesque, l'exploration est chouette, le monde ouvert divise mais personnellement, j'ai trouvé ça bienvenu.
Bémol sur les voix françaises, et surtout celle d'Aerith que j'ai trouvé insupportable, si bien que j'ai switché sur les voix japonaises... ce qui m'a permis de découvrir qu'Aerith (Aeris, l'air) s'appelle en fait Earith (Earth, la terre) en japonais et c'est beaucoup plus logique.
Bémol également sur la région de Gongaga qui m'a saoûlé avec son exploration vraiment pas intuitive à cause des champignons.
Bon mais globalement, j'ai trouvé le jeu vraiment très bon. Je ne me suis pas ennuyé, j'ai trouvé du challenge, de l'exploration, des découvertes, une histoire renouvelée, et c'était vraiment une bonne expérience et une excellente suite à FF7 Remake.
Fini également Star Ocean the Second Story R sur switch en 30h pile. Ça a été un vrai plaisir de replonger dans le jeu, le remake mérite vraiment son nom. Tout est mieux fait et mieux pensé, je viens de commencer Eiyuden Chronicles : Hundred Heroes et ça fait bien plus daté... C'est vraiment le meilleur de la série même si pour moi le meilleur star ocean ça reste rogue galaxy :o) . L'histoire n' a rien de mémorable et tout est assez sympathiquement basique. J'ai joué en difficulté galaxie mais je n'ai pas vraiment éprouvé de difficulté par contre ^^' . Le système de craft lui est vraiment addictif et permet de vraiment booster ces personnages et ces capacités. Un bon 8/10
Fini également Star Ocean the Second Story R sur switch en 30h pile. Ça a été un vrai plaisir de replonger dans le jeu, le remake mérite vraiment son nom. Tout est mieux fait et mieux pensé, je viens de commencer Eiyuden Chronicles : Hundred Heroes et ça fait bien plus daté... C'est vraiment le meilleur de la série même si pour moi le meilleur star ocean ça reste rogue galaxy :o) . L'histoire n' a rien de mémorable et tout est assez sympathiquement basique. J'ai joué en difficulté galaxie mais je n'ai pas vraiment éprouvé de difficulté par contre ^^' . Le système de craft lui est vraiment addictif et permet de vraiment booster ces personnages et ces capacités. Un bon 8/10
Jeu sympa mais difficile seulement dans la dernière partie après la bataille finale, il manque le bouton pour sauter les dialogues. Il ne faut pas le sous-estimer, même si cela semble être un RPG ennuyeux pour les enfants mais ce n'est pas le cas : même un vétéran expert a du mal avec les boss finaux et les superboss, ils sont difficiles à mourir.
Il y a le match New Game+ qui ramène tout sauf les affinités et l'obtention du huitième personnage qui sont à refaire.
Jeu sympa mais difficile seulement dans la dernière partie après la bataille finale, il manque le bouton pour sauter les dialogues. Il ne faut pas le sous-estimer, même si cela semble être un RPG ennuyeux pour les enfants mais ce n'est pas le cas : même un vétéran expert a du mal avec les boss finaux et les superboss, ils sont difficiles à mourir. [spoiler]Il y a le match New Game+ qui ramène tout sauf les affinités et l'obtention du huitième personnage qui sont à refaire.[/spoiler]
Le bilan que je fais de Grandia III est sensiblement le même que les autres personnes. L'écart dans les notes vient du fait que chaque jour n'a pas les mêmes priorités dans un RPG .
Le jeu se prend en main facilement, et le joueur se retrouve impliqué efficacement dans la progression de ses personnages. Pas sûr que le gameplay soit meilleur que ses prédécesseurs, mais c'est dans la lignée, vraiment bon.
La réalisation technique est soignée, même si ça n'a pas le charme du premier épisode. Idem pour la bande-son.
Pour le reste, on a la sensation qu'il a fallu produire le jeu très vite. Le scénario et les personnages ne nous invitent pas à nous investir, et l'univers est tout de même assez vide. Les motivations des méchants... je ne peux pas croire qu'un scénariste se satisfasse de ça. Quant aux cut scenes à l'émotion forcée, elles sont souvent embarrassantes.
Comme Grandia II, il s'agit d'un jeu qui se fait avec plaisir, sans laisser de souvenirs. Loin, bien loin de l'Aventure irrésistible du premier épisode.
Le bilan que je fais de Grandia III est sensiblement le même que les autres personnes. L'écart dans les notes vient du fait que chaque jour n'a pas les mêmes priorités dans un RPG ^_^.
Le jeu se prend en main facilement, et le joueur se retrouve impliqué efficacement dans la progression de ses personnages. Pas sûr que le gameplay soit meilleur que ses prédécesseurs, mais c'est dans la lignée, vraiment bon.
La réalisation technique est soignée, même si ça n'a pas le charme du premier épisode. Idem pour la bande-son.
Pour le reste, on a la sensation qu'il a fallu produire le jeu très vite. Le scénario et les personnages ne nous invitent pas à nous investir, et l'univers est tout de même assez vide. Les motivations des méchants... je ne peux pas croire qu'un scénariste se satisfasse de ça. Quant aux cut scenes à l'émotion forcée, elles sont souvent embarrassantes.
Comme Grandia II, il s'agit d'un jeu qui se fait avec plaisir, sans laisser de souvenirs. Loin, bien loin de l'Aventure irrésistible du premier épisode.
Je avez terminé la 3^ playthrough de PoPoLoCrois pour PSP. Avec 99,8% des items, il n’en manque que deux. Le été trouvé qui ne figure pas dans le guide (incomplete!) Gamefaqs, bah... Mieux que ça, si quelque chose se passe dans le 4ème, je retrouverai les deux restants.
Je avez terminé la 3^ playthrough de PoPoLoCrois pour PSP. Avec 99,8% des items, il n’en manque que deux. Le été trouvé qui ne figure pas dans le guide (incomplete!) Gamefaqs, bah... Mieux que ça, si quelque chose se passe dans le 4ème, je retrouverai les deux restants.
Je relance le jeu avec la sauvegarde d'il y a presque 15 ans, je découvert qu'il y avait un peu de polissage à faire. Malheureusement je comprends maintenant que la version Remake est bien meilleure et, n'ayant pas encore la console PS4/PS5, j'ai envie d'y rejouer. Cette version PSP n'a pas la possibilité de revoir les ENDINGS comme dans le remake !
Je relance le jeu avec la sauvegarde d'il y a presque 15 ans, je découvert qu'il y avait un peu de polissage à faire. Malheureusement je comprends maintenant que la version Remake est bien meilleure et, n'ayant pas encore la console PS4/PS5, j'ai envie d'y rejouer. Cette version PSP n'a pas la possibilité de revoir les ENDINGS comme dans le remake !
L'histoire ne raconte les exploits de Jeanne d'Arc avec précision que surtout dans les premières scènes tandis que l'espace s'ajoute ensuite aux éléments fantastiques dans un pur style japonais, c'est pourquoi la barrière de l'inspiration pourtant présente rend le jeu supportable. Les graphismes sont réalisés de la manière la plus excellente même s'ils sont un peu approximatifs dans la conception des personnages.
L'histoire ne raconte les exploits de Jeanne d'Arc avec précision que surtout dans les premières scènes tandis que l'espace s'ajoute ensuite aux éléments fantastiques dans un pur style japonais, c'est pourquoi la barrière de l'inspiration pourtant présente rend le jeu supportable. Les graphismes sont réalisés de la manière la plus excellente même s'ils sont un peu approximatifs dans la conception des personnages.