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Super Robot Taisen 64

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Artworks Super Robot Taisen 64
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Aidyn Chronicles: The First Mage > Commentaires :

Aidyn Chronicles: The First Mage

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125 commentaires
Riskbreaker

le 07/12/2017
4
Comptant parmi les rares RPG de la N64, Hybrid Heaven se démarque par un univers SF adulte à la croisée de Metal Gear Solid et Blade Runner (pour les thèmes abordés dans ce dernier). Couplé à un système de combat pour le moins original. L'aventure se termine en une quinzaine d'heures et force est d'avouer qu'elle possède une forte identité visuelle, mais surtout atmosphérique (une ambiance pesante assez unique dans le RPG).
En revanche, ses qualités s'arrêtent là. Techniquement très en retard, avec de nombreux gros ralentissements (encore pires si vous décidez d'utiliser l'Expansion Pack), on bataille souvent avec la maniabilité et cette inertie lors de la course assez bizarre. Les couloirs se répètent inlassablement, très peu de variété dans les décors, les ennemis de même, à peine une vingtaine différents, et on croule sous le nombre de combats. Pesant.
Le scénario lui, se voulant adulte et mature, tombe dans la caricature bien des fois avec ses rebondissements attendus et dialogues ratés. Sans compter l'animation des perosnnages lors des scènes… On est très loin de la mise en scène d'un Metal Gear. Très très loin.
Une curiosité, pas au niveau d'un étron, mais un jeu qui aurait pu proposer bien plus qu'un simple couloir parsemé de combats de catch.
ADL

le 24/04/2017
6_5
Plus intéressant que son prédécesseur malgré le vieillissement.
ADL

le 24/04/2017
5
Un jeu qui a extrêmement mal vieilli, objectivement bof.
Riskbreaker

le 04/10/2016
3
J'ai toujours eu un petit capital sympathie pour ce titre. Un des rares "vrais" RPG du support, forcément qu'il est dur de passer à côté.
Alors, qu'est ce qu'on a ici ?
Un démon enfermé depuis 1000 ans dans une dimension parallèle qui va être libéré (puis défoncé dans la minute suivante) par un jeune garçon de 8 ans que tout le monde considère comme un grand magicien. Ok. Il va aller récupérer les 4 gemmes habituelles (eau / feu / terre / vent), sauver un roi contrôlé par le démon et combattre 103101383 fois. Aucune narration n'est à noter. Tout se passe via des dialogues avec les rares NPC qui peuplent l'aventure. Seuls les différents boss oseront vous parler plus de 4 lignes avant de se faire botter les fesses.

Et voilà.
À côté, on a un système de combat qui peut sembler original mais qui ne l'est pas. Une simplicité trompeuse demandant pas mal de farm. Cinq pistes audio se battant en duel (et loin d'être de qualité). Une durée de vie avoisinant les dix heures (encore que ça, on peut le considérer comme positif). Et des donjons-couloirs vraiment gonflants sur la fin, car osant nous plonger pendant plus de 10 à 20 min (voire plus) dans le même couloir couleur caca, avec des combats tous les 3m.
L'unique intérêt est la recherche des petits esprits paumés un peu partout et qui font évoluer nos magies. Voilà.
C'est moche, les associations de couleurs souvent de mauvais goût et relativement pauvre en diversité. Le pire, c'est que seul le héros et les mobs sont animés. Aucun NPC ne bouge, aucune scène de scénario, juste une succession de clichés. Bouh.

Je n'avais pas de grands espoirs pour ce jeu, mais j'étais parti avec l'idée d'être tolérant pour ce quasi-unique RPG de la 64.
Mais faut pas pousser, c'est du caca.
Popolon

le 20/12/2015
7

Après Beyond Shadowgate qui s'éloignait du premier Shadowgate en proposant un jeu d'action-aventure, ce 3ème épisode revient aux origines en transposant le gameplay de Shadowgate dans un univers en 3D. Il en résulte un jeu d'exploration, sans aucun combat, où on visite le château de Shadowgate, une centaine d'années après le premier jeu. Au fil des errances, on découvre un monde triste et décadent, développé à travers les nombreux livres ramassés en chemin. Le gameplay est à base d'énigmes, d'abord dans le but de s'échapper du château puis une fois dehors pour endiguer la menace de la résurrection du Warlock Lord (le boss de fin du 1er).

Les énigmes en question sont assez logiques, je ne suis pas resté souvent et longtemps bloqué, et elles ont le mérite de donner du rythme au jeu (tout le passage de la tour des épreuves est vraiment sympa !). Techniquement, les décors sont corrects (on est sur N64 quoi), les musiques agréables et jamais barbantes mais plutôt passe-partout, la modélisation des persos est par contre assez risible mais pour l'époque, ça reste honorable (on est en 1999). La maniabilité nécessite un temps d'adaptation mais on s'y fait. Que dire de plus, si ce n'est que j'ai passé un très bon moment (je n'aurais pas cru) et qu'il vaut le coup d'être au moins essayé, si l'on n'est pas rebuté par un jeu un peu lent, avec pas mal de lecture et très peu d'action.


auty

le 20/12/2015
5

La licence continue son petit bonhomme de chemin avec ce troisième opus. Le gros fait marquant, c'est la passage à la 3D. On se retrouve du coup avec un terrain de jeu invitant bien plus à l'exploration, mais aussi avec les textures dégueux d'époques, surtout avec le ton terne des couleurs pour accentuer le coté sombre et serious business de l'univers du jeu. Une 3D qui vieillit très mal, en plus d'être gênant quand des objets indispensables à la progression se retrouvent difficilement discernable des décors par le joueur. Ou comment se retrouver parfois coincer comme un con sans comprendre.

D'un point de vue game-design, ça reprend dans les grandes lignes le principe de Beyond Shadowgate. On ramasse plein d'items, certains ayant une ou plusieurs fonctions précises quand d'autres ne servent à rien, et il faut trouver où et quand les utiliser. Un coté puzzle game constant, bien moins dur que ses ainés à ce niveau-là, même si on échappera pas à une poignée d'énigmes qui se résoudra plus par de l'expérimentation totale qu’autre chose. Elles sont rares dans ce cas, mais bien présentes, cf l'évasion de la tour du début. Mais il faut reconnaitre une plus grande diversité dans les énigmes, obligeant parfois à chercher dans des notes et/ou bouquins pour trouver un indice capital, et même faire appel à son oreille musical sur l'une d'entre elles.

Mais cet épisode se démarque du précédent par l'absence de tout affrontement. Les ennemis mortels seront présents, mais il faudra user de sa cervelle pour échapper à un sort funeste. On déambulera pendant une partie du jeu en solitaire avant de rencontrer quelques PNJ, accepter quelques quêtes obligatoires pour avancer dans la trame, tout en récoltant de la lecture, le lore s'étoffant suffisamment pour rassasier les amateurs d'univers dark fantasy. Il y a même des références aux précédents opus.

Sinon pêle-mêle, la bande-son fait le job malgré un nombre de pistes très limités. On a droit à quelques tentatives de pseudo-cinématiques semblant sortir d'un jeu ayant 10 ans de plus que le bouzin auquel on joue. L'ensemble est lent, très lent, bordel que c'est lent, l'Halfelin qu'on contrôle devant peser un bon quintal et demi minimum malgré sa silhouette émaciée. Ou alors c'est la gravité du monde où se déroule le jeu qui est supérieur à la nôtre, les PNJ ayant cette même énergie dans les mouvements. L'absence de tout combat ou de course-poursuite est du coup salutaire. Mais les aller-retours dû aux recherches d'indices et/ou items se font sentir à l'allure où l'on se déplace. Heureusement que la durée de vie reste assez courte.

La transition de la saga vers le monde merveilleux de la "troidé" est au final mi-figue mi-raisin. On gagne en possibilité mais l'ensemble est sous-exploité. Et la suite sera annulée, ce qui plongera Shadowgate dans l'oubli jusqu'au récent remake. Curieux de voir ce qu'il donne.


Donni

le 01/09/2015
9_5
Un super souvenir : ma petite soeur avait eu une N64 au noel 98 avec ce Zelda64. On l'a attaqué, et plus lâcher des vacances de noel, pour le finir avant la rentrée des classes
C'était l'émerveillement. La première fois qu'on avait chevauché Epona dans les plaines d'Hyrule on était resté bouche bée. C'était beau, c'était vaste, et surtout y'avait cette ambiance incroyable, encore plus puissante que dans Zelda III !
Je me souviens aussi qu'on avait pas réussi à trouver toutes les araignées cachées.

Je pense que maintenant la 3D N64 doit piquer aux yeux, mais je suis heureux de l'avoir fait au mois de sa sortie. C'était comme un rêve de parcourir ce jeu, et encore mieux, de l'avoir partagé avec ma frangine
Je relancerais une cartouche Zelda64 pour voir ce que ça donne à l'occasion. Je serais peut être surpris. En attendant j'en ai un magnifique souvenirs, aussi puissant que Zelda I sur Nes ou le III sur SNes. Les 3 meilleurs Zelda à ce jour ?


Astram

le 22/08/2015
9
Excellent Zelda du début jusqu'à la fin, tout de même un peu trop classique par rapport à Link Awakening.
Shadow

le 02/03/2015
8_5
Majora's Mask possède une ambiance très atypique pour un Zelda, et même il faut le dire, pour un jeu vidéo en général. Ce jeu est la face sombre de la série, à l'image de l'objet maléfique, un masque en forme de coeur.

On comprend très vite que le jeu s'inspire de son aîné, Ocarina of Time, mais pour proposer un univers qui lui est propre, et qui va mettre le joueur assez mal à l'aise. Il n'y a qu'à regarder la lune gigantesque qui menace de s'effondrer sur la ville dans les 72 heures, et on est convaincu. Pour éviter la catastrophe, Link aura recours à des objets qu'il connaît bien pour résoudre des énigmes, mais également l'ocarina du temps et... des masques! Ces objets tiennent une place essentielle dans cet opus, puisqu'il y en a 24 et que chacun a une influence sur une ou plusieurs quêtes.

Décrire Majora's Mask en quelques mots est pour moi difficile, tant le jeu était novateur et riche sur N64, mais également très particulier. Ce que je peux dire de l'expérience originale, c'est que Termina est un univers où chaque PNJ a son histoire, son propre emploi du temps. Et cela est important à considérer puisque le joueur doit connaître les activités des personnages impliqués dans les quêtes à accomplir. De façon globale, beaucoup d'habitants de Termina souffrent, et la mission de Link est de les aider à trouver la voie du bonheur. Parfois cela s'avère très simple, d'autres fois compliqué et long, et d'autres fois encore, très étrange (le ranch Romani par exemple). Heureusement toute quête, tout personnage important se retrouvent marqués dans un journal qu'il est possible de consulter à tout moment. Si l'on rate une action, il est toujours possible de revenir dans le temps, même si cela implique de devoir refaire certaines actions. Le jeu est pensé essentiellement autour de ces quêtes, ce qui signifie qu'il possède très peu de donjons (quatre), mais que l'accès à chacun d'entre eux est conditionné par l'accomplissement de certains objectifs secondaires. La durée de vie se retrouve par conséquent un peu légère, si l'on trace en ligne droite (une vingtaine d'heures). Ce temps peut facilement être doublé pour qui cherche à découvrir les moindres secrets de Termina.

Majora's Mask en trois mots : unique, exigeant, et épique.


archdemon

le 22/09/2014
8
je vais le refaire sur 3DS, comme ca le com' sera plus neuf
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