Qui ne connait pas la célèbre série de jeu de baston crée par SNK sur Neo Geo? Samurai Spirit (alias Samurai Showdown) fut l'un des premiers jeux de combat à proposer des combats à l'arme blanche. Fort du succès de la saga, SNK décida d'en faire un RPG nommé Shinsetsu Samurai Spirits Bushidouretsuden (communément appelé Samurai Spirit Rpg, plus simple à retenir et à dire). Initialement sorti sur Neo Geo CD, le jeu fut ensuite porté sur Saturn et Playstation. Sachez que si les versions sont très proches, quelques ajouts ont été faits lors de la conversion sur les autres plates-formes.
Six héros, deux quêtes
Le jeu prend donc place dans l'univers du jeu de combat. Vous avez au départ le choix entre six persos (Chamcham, Charlotte, Galford, Haohmaru, Genjuro et Ukyo), l'histoire changeant un petit peu selon le perso principal. La première quête vous amène à vaincre le vil Amakusa. La deuxième vous amènera à détruire sept cloches à travers le monde pour vaincre Mizuki. Enfin vous avez le choix entre les deux chapitres au départ mais c'est l'ordre dans lequel je les ai faits. Les premières minutes du scénario diffèrent selon le perso choisi mais le scénario se recoupe après ces quelques minutes, et vous êtes amené à choisir deux autres persos pour vous accompagner. Il y a en tout à peu près dix persos jouables, plus certains qui viendront vous aider lors de certains combats clés.
C'est classique et accessible
Le jeu est un pur Classical, qui prend donc le schéma classique village/carte/lieux/combats. On se promène de village en villages presque tous typiquement japonais via une très jolies cartes pour chercher des indices permettant d'avancer l'aventure. On peut y faire ses emplettes classiques, faire forger ses armes (même système que Suikoden mais aussi assister à des petits spectacles typiquement nippon, changer de fringue etc etc. Souvent des passages importants de l'histoire y ont lieu et certains lieux débutent dans une ville. Les lieux sont linéaires, il faut juste retrouver son chemin (c'est dur), pas d'énigme ici (ce qui rend le jeu assez accessible). Par contre, gros point noir, la fréquence des combats est excessivement élevée, que ce soit sur la carte ou dans les lieux.
Gameplay SNK
Alors à quoi ressemblent les combats ? Et bien, on a vraiment l'impression de se trouver face au jeu de combat. Les persos, les attitudes, les coups spéciaux... Tout est identique au jeu de combat et c'est vraiment très très beau à voir. Le système de combat est classique. A la manière des Final, une barre se remplit et quand elle est pleine vous choisissez l'action que vous désirez réaliser, taper, coups spéciaux, passer son tour, objet etc etc... A noter un truc très sympa pour les combats. Les coups spéciaux, les esquives etc etc se réalisent à la manette directement (triple quart de tour renversé puis quatre fois avant ... Facile quoi). C'est très original et surtout très fun! Mais faut être fort pour tout passer ! A cause de la barrière de la langue on met un peu de temps avant de maîtriser les combats mais après quelques heures de jeu il n'y a plus aucun problème. Lorsque vous vous prenez des dommages, une barre de furie se remplit comme dans le jeu et lorsque elle est pleine vous avez accès aux furies qui sont EXTRÊMEMENT DÉVASTATRICES. Bref, assez classiques mais extrêmement efficaces, les combats. On peut toutefois regretter la longueur des temps de chargement les précédant et les finissant.
Techniquement c'est bon, si l'on excepte les loadings
Les graphismes hors des combats sont eux aussi très réussis. Très fins (haute résolution), détaillés et colorés. Vraiment SNK maîtrise la 2D à la perfection. Au niveau sonore, l'ensemble est parfois un peu vide mais il y a des mélodies de qualités (style orientale :) ), de nombreux doublages sonores qui rendent le jeu un peu plus vivant et des bruitages bien adaptés..La carte du monde est assez vaste et vous allez visitez du pays et de nombreux villages ! A noter un système de forge d'arme qui fait penser à celui des Suikoden et qui est vraiment bien pensé. On peut évoluer son arme et l'enchanter avec du feu, de la glace etc etc.. En ce qui concerne le scénar' il est vraiment bon, de nombreux rebondissements (j'adore le passage où on revient dans le passé très très bien fait). De plus de nombreux petits détails rendent ce jeu attachant comme le fait de pouvoir voir un spectacle en allant dans un petit théâtre, pouvoir changer la couleur des vêtements de ses héros en allant dans une lingerie etc etc.... Au niveau de la durée de vie là encore c'est impec'... Compter environ 45 heures pour venir à bout des deux scénarios compte tenu de leur relative difficulté (plus le chapitre Amakusa que l'autre d'ailleurs).
Au final un excellent RPG qui pêche dans les temps de chargement (trop longs!!! Quelle que soit la console!) et dans la difficulté parfois un peu trop élevée dans le chapitre d'Amakusa (qui est cependant assez court comparé à l'autre). L'unique RPG de la console, certes, mais quel RPG!
Le bilan que je fais de Grandia III est sensiblement le même que les autres personnes. L'écart dans les notes vient du fait que chaque jour n'a pas les mêmes priorités dans un RPG .
Le jeu se prend en main facilement, et le joueur se retrouve impliqué efficacement dans la progression de ses personnages. Pas sûr que le gameplay soit meilleur que ses prédécesseurs, mais c'est dans la lignée, vraiment bon.
La réalisation technique est soignée, même si ça n'a pas le charme du premier épisode. Idem pour la bande-son.
Pour le reste, on a la sensation qu'il a fallu produire le jeu très vite. Le scénario et les personnages ne nous invitent pas à nous investir, et l'univers est tout de même assez vide. Les motivations des méchants... je ne peux pas croire qu'un scénariste se satisfasse de ça. Quant aux cut scenes à l'émotion forcée, elles sont souvent embarrassantes.
Comme Grandia II, il s'agit d'un jeu qui se fait avec plaisir, sans laisser de souvenirs. Loin, bien loin de l'Aventure irrésistible du premier épisode.
Le bilan que je fais de Grandia III est sensiblement le même que les autres personnes. L'écart dans les notes vient du fait que chaque jour n'a pas les mêmes priorités dans un RPG ^_^.
Le jeu se prend en main facilement, et le joueur se retrouve impliqué efficacement dans la progression de ses personnages. Pas sûr que le gameplay soit meilleur que ses prédécesseurs, mais c'est dans la lignée, vraiment bon.
La réalisation technique est soignée, même si ça n'a pas le charme du premier épisode. Idem pour la bande-son.
Pour le reste, on a la sensation qu'il a fallu produire le jeu très vite. Le scénario et les personnages ne nous invitent pas à nous investir, et l'univers est tout de même assez vide. Les motivations des méchants... je ne peux pas croire qu'un scénariste se satisfasse de ça. Quant aux cut scenes à l'émotion forcée, elles sont souvent embarrassantes.
Comme Grandia II, il s'agit d'un jeu qui se fait avec plaisir, sans laisser de souvenirs. Loin, bien loin de l'Aventure irrésistible du premier épisode.
Je avez terminé la 3^ playthrough de PoPoLoCrois pour PSP. Avec 99,8% des items, il n’en manque que deux. Le été trouvé qui ne figure pas dans le guide (incomplete!) Gamefaqs, bah... Mieux que ça, si quelque chose se passe dans le 4ème, je retrouverai les deux restants.
Je avez terminé la 3^ playthrough de PoPoLoCrois pour PSP. Avec 99,8% des items, il n’en manque que deux. Le été trouvé qui ne figure pas dans le guide (incomplete!) Gamefaqs, bah... Mieux que ça, si quelque chose se passe dans le 4ème, je retrouverai les deux restants.
Je relance le jeu avec la sauvegarde d'il y a presque 15 ans, je découvert qu'il y avait un peu de polissage à faire. Malheureusement je comprends maintenant que la version Remake est bien meilleure et, n'ayant pas encore la console PS4/PS5, j'ai envie d'y rejouer. Cette version PSP n'a pas la possibilité de revoir les ENDINGS comme dans le remake !
Je relance le jeu avec la sauvegarde d'il y a presque 15 ans, je découvert qu'il y avait un peu de polissage à faire. Malheureusement je comprends maintenant que la version Remake est bien meilleure et, n'ayant pas encore la console PS4/PS5, j'ai envie d'y rejouer. Cette version PSP n'a pas la possibilité de revoir les ENDINGS comme dans le remake !
L'histoire ne raconte les exploits de Jeanne d'Arc avec précision que surtout dans les premières scènes tandis que l'espace s'ajoute ensuite aux éléments fantastiques dans un pur style japonais, c'est pourquoi la barrière de l'inspiration pourtant présente rend le jeu supportable. Les graphismes sont réalisés de la manière la plus excellente même s'ils sont un peu approximatifs dans la conception des personnages.
L'histoire ne raconte les exploits de Jeanne d'Arc avec précision que surtout dans les premières scènes tandis que l'espace s'ajoute ensuite aux éléments fantastiques dans un pur style japonais, c'est pourquoi la barrière de l'inspiration pourtant présente rend le jeu supportable. Les graphismes sont réalisés de la manière la plus excellente même s'ils sont un peu approximatifs dans la conception des personnages.
Avant la bataille finale, je n'avais que 98 % dans l'Encyclopédie, donc au moins pour ce point, j'ai découvert que c'était le point le plus élevé et, après d'innombrables tentatives de recherche, j'ai également réussi à récupérer les armes et armures ultimes entre le donjon secret et l'Arena online. Un exploit presque impossible. Cependant, je découvre avec amertume qu'après avoir téléchargé le Cleared File, tout l'inventaire a disparu ! Belle arnaque de NIS, merci. Ce RPG souffre d'une caméra fixe et d'un mauvais dosage graphique, il a une incroyable absurdité de difficulté dans l'Arena et contre les Superboss, ils seront cent fois monstrueux que la party soit "wiped out". J'ai bien tout aimé sauf caméra.
Avant la bataille finale, je n'avais que 98 % dans l'Encyclopédie, donc au moins pour ce point, j'ai découvert que c'était le point le plus élevé et, après d'innombrables tentatives de recherche, j'ai également réussi à récupérer les armes et armures ultimes entre le donjon secret et l'Arena online. Un exploit presque impossible. Cependant, je découvre avec amertume qu'après avoir téléchargé le Cleared File, tout l'inventaire a disparu ! Belle arnaque de NIS, merci. Ce RPG souffre d'une caméra fixe et d'un mauvais dosage graphique, il a une incroyable absurdité de difficulté dans l'Arena et contre les Superboss, ils seront cent fois monstrueux que la party soit "wiped out". J'ai bien tout aimé sauf caméra.
Children of Zodiarcs est un T-RPG qui utilise des dés et des cartes dans son gameplay... un mélange assez original et plutôt efficace !
En plus des règles habituelles du tactical-RPG (ordre des tours, cases, déplacements, attaques à distance, attaques de zones, etc), dans ce jeu, vous devrez sélectionner avant chaque bataille les cartes et dés à utiliser lors des combats.
Une carte = une action (attaque, soin, buff/debuff, etc). Au moment de jouer une carte, il faut également lancer les dés (et en sélectionner au maximum deux à relancer une fois pour tenter de modifier le résultat). Chaque dé possède un symbole : fragment (= ajoute des dégâts si attaque, augment les PV récupérés si soin, etc), bouclier (= réduction des dégâts en cas de contre-attaque), soin, étoile (= activation de la capacité spéciale de la carte), pioche ou rejouer.
Cette originalité dans le gameplay est un gros plus pour ce jeu qui se démarque de la concurrence, mais le jeu souffre malheureusement de pas mal de défauts, et notamment un manque de renouvellement de ce gameplay, ce qui donne des parties assez répétitives...
Cette critique sera mise à jour lorsque j'aurais terminé le jeu. Children of Zodiarcs est un T-RPG qui utilise des dés et des cartes dans son gameplay... un mélange assez original et plutôt efficace !
En plus des règles habituelles du tactical-RPG (ordre des tours, cases, déplacements, attaques à distance, attaques de zones, etc), dans ce jeu, vous devrez sélectionner avant chaque bataille les cartes et dés à utiliser lors des combats.
Une carte = une action (attaque, soin, buff/debuff, etc). Au moment de jouer une carte, il faut également lancer les dés (et en sélectionner au maximum deux à relancer une fois pour tenter de modifier le résultat). Chaque dé possède un symbole : fragment (= ajoute des dégâts si attaque, augment les PV récupérés si soin, etc), bouclier (= réduction des dégâts en cas de contre-attaque), soin, étoile (= activation de la capacité spéciale de la carte), pioche ou rejouer.
Cette originalité dans le gameplay est un gros plus pour ce jeu qui se démarque de la concurrence, mais le jeu souffre malheureusement de pas mal de défauts, et notamment un manque de renouvellement de ce gameplay, ce qui donne des parties assez répétitives...
Cette critique sera mise à jour lorsque j'aurais terminé le jeu.
Je ne conaissais pas trop cette série, à cheval entre un Fairy Tail et un One Piece. Ce rpg était donc une bonne occasion de m'y plonger. Aucun regret, vraiment, le tout est bien orcherstré, on ne s'ennuie pas une seconde, c'est très beau, fun, et pas trop long. On suit les aventure d'une héroine ou d'un héro, en fonction de son choix de départ, à la tête de l'équipage d'un vaisseau volant, lancé à la poursuite d'une ile paradisiaque. Les évennements vont vite tourner au vinaigre, pour nous faire voir un peu de pays, accompagné de notre petite troupe qui s'agrandira au fur et à mesure de l'aventure. Pour les fans de shonen (surtout du style des 2 pré cités), c'est du bonheur. Chaque chapitre peut s'apparenter à 1 ou 2 épisodes si on compare à un animé, et surtout, est ponctué par un combat de boss de toute beauté. Les couleurs explosent de partout, c'est nerveux, épique, nos poils se hérissent quand on s'apprete à affronter la colère d'un boss transformé, ou bien son attaque ultime. Les musiques qui accompagnent le tout ne sont pas en reste. Les personnages ont chaqun leur façon de se battre, et on trouve forcément son style parmis toute la clique. Les paysages sont assez classiques, mais sans fioriture, quand aux 2 villes, elles sont juste magnifiques. Elles sont vivantes, respirent la fantasy avec ses populations variées, et on se plait à se perdre entre un moulin et un bosquet pour trouver un petit coffre, ou entreprendre une quête secondaire à la demande d'un autochtone. Tout ceci paraît classique, mais le jeu le fait très bien. Et ça, c'est cool. Je n'ai rencontré aucun bug, ce qui rend l'aventure d'autant plus sympathique. Il faudra entre 20 et 30 heures pour parcourir la majeure partie de ce que propose le jeu, sachant qu'une fois l'histoire finie, se propose tout un tas de choses, comme le mode en ligne pour jouer en coop, refaire les différents chapitres pour chopper ce qu'on a loupé, ou tout simplement finir toutes les quêtes qui se débloquent, ou qui étaient en suspens. En résumé, une très belle surprise, qui se parcourt sans temps mort, avec de bons gros moments épiques, d'un gameplay aux petits oignons, le tout accompagné de belles musiques, et d'un cast très attachant (doublé par des Seiyus hyper connus).
Je ne conaissais pas trop cette série, à cheval entre un Fairy Tail et un One Piece. Ce rpg était donc une bonne occasion de m'y plonger. Aucun regret, vraiment, le tout est bien orcherstré, on ne s'ennuie pas une seconde, c'est très beau, fun, et pas trop long. On suit les aventure d'une héroine ou d'un héro, en fonction de son choix de départ, à la tête de l'équipage d'un vaisseau volant, lancé à la poursuite d'une ile paradisiaque. Les évennements vont vite tourner au vinaigre, pour nous faire voir un peu de pays, accompagné de notre petite troupe qui s'agrandira au fur et à mesure de l'aventure. Pour les fans de shonen (surtout du style des 2 pré cités), c'est du bonheur. Chaque chapitre peut s'apparenter à 1 ou 2 épisodes si on compare à un animé, et surtout, est ponctué par un combat de boss de toute beauté. Les couleurs explosent de partout, c'est nerveux, épique, nos poils se hérissent quand on s'apprete à affronter la colère d'un boss transformé, ou bien son attaque ultime. Les musiques qui accompagnent le tout ne sont pas en reste. Les personnages ont chaqun leur façon de se battre, et on trouve forcément son style parmis toute la clique. Les paysages sont assez classiques, mais sans fioriture, quand aux 2 villes, elles sont juste magnifiques. Elles sont vivantes, respirent la fantasy avec ses populations variées, et on se plait à se perdre entre un moulin et un bosquet pour trouver un petit coffre, ou entreprendre une quête secondaire à la demande d'un autochtone. Tout ceci paraît classique, mais le jeu le fait très bien. Et ça, c'est cool. Je n'ai rencontré aucun bug, ce qui rend l'aventure d'autant plus sympathique. Il faudra entre 20 et 30 heures pour parcourir la majeure partie de ce que propose le jeu, sachant qu'une fois l'histoire finie, se propose tout un tas de choses, comme le mode en ligne pour jouer en coop, refaire les différents chapitres pour chopper ce qu'on a loupé, ou tout simplement finir toutes les quêtes qui se débloquent, ou qui étaient en suspens. En résumé, une très belle surprise, qui se parcourt sans temps mort, avec de bons gros moments épiques, d'un gameplay aux petits oignons, le tout accompagné de belles musiques, et d'un cast très attachant (doublé par des Seiyus hyper connus).
Pas mieux que Lulu. En vrai, j'attends de voir ce qu'apportera le jeu à l'opus principal. En soi, ça fait plaisir comme jeu. Mais c'est vite oubliable, en l'état.
Pas mieux que Lulu. En vrai, j'attends de voir ce qu'apportera le jeu à l'opus principal. En soi, ça fait plaisir comme jeu. Mais c'est vite oubliable, en l'état.
Ni No Kuni 2 ne ressemble pas tout à fait à son prédécesseur. Et quelle surprise se fut. Si, sur le premier opus j'avais souffert du gameplay, de l'exploration et du rythme du jeu, mes craintes de relancer un jeu étaient malheureusement toujours présente, bien que je lance un autre jeu. Et dès les premiers instants, petite claque et gros soulagement. En effet, la narration n'a plus rien à voir avec le premier opus. Nous voilà, dans les 10-15 premières minutes happés dans une histoire, certes classique, mais qui a le mérite de ne pas trainer en palabre. Et 3-4 heures après, la découverte du jeu est complète. C'est bon, on est parti pour une belle aventure. Bien sûr, le jeu souffre de pas mal de défauts, notamment celui de proposer un tutoriel poussé et poussif, puisque la totalité du jeu n'est accessible qu'après une dizaine d'heures. Également l'histoire qui est relativement douce, voire mignonne, mais qui fonctionne très bien. Mais j'ai été pris par cette aventure bien plus que je ne l'aurai imaginé. Et petit plus, la gestion de la ville est un ravissement, pour moi.
Ni No Kuni 2 ne ressemble pas tout à fait à son prédécesseur. Et quelle surprise se fut. Si, sur le premier opus j'avais souffert du gameplay, de l'exploration et du rythme du jeu, mes craintes de relancer un jeu étaient malheureusement toujours présente, bien que je lance un autre jeu. Et dès les premiers instants, petite claque et gros soulagement. En effet, la narration n'a plus rien à voir avec le premier opus. Nous voilà, dans les 10-15 premières minutes happés dans une histoire, certes classique, mais qui a le mérite de ne pas trainer en palabre. Et 3-4 heures après, la découverte du jeu est complète. C'est bon, on est parti pour une belle aventure. Bien sûr, le jeu souffre de pas mal de défauts, notamment celui de proposer un tutoriel poussé et poussif, puisque la totalité du jeu n'est accessible qu'après une dizaine d'heures. Également l'histoire qui est relativement douce, voire mignonne, mais qui fonctionne très bien. Mais j'ai été pris par cette aventure bien plus que je ne l'aurai imaginé. Et petit plus, la gestion de la ville est un ravissement, pour moi.